Étiquette : 3-6 ans (Page 74 of 81)

Au fil des pages avec Le Grand Livre de Petit Ours

Nous lisons Le Grand Livre de Petit Ours de John Prater (éd. Les Livres du Dragon d’Or, 2002), un album jeunesse emprunté à la bibliothèque qui regroupe plusieurs histoires ou plutôt des comptines, poèmes et petites scénettes de la petite enfance. Nous suivons Petit Ours avec son père, Grand Ours ou avec ses amis au fil des pages.

Nous retrouvons avec grand plaisir des comptines connus comme « Au clair de la lune », « Pirouette, Cacahuète », etc… Nous lisons nos premiers poèmes avec par exemple un poème de Robert-Louis Stevenson, auteur bien connu de L’île au trésor et de L’étrange cas du Dr. Jekyll et de M. Hyde. Cela me donne envie de lire d’autres poèmes de cet auteur, ayant repéré Petit jardin de poésie ou Au jardin des poèmes d’enfance dans le catalogue de la bibliothèque et même une version pour les petits de L’île au trésor… Mais revenons à Petit Ours tout en fredonnant d’autres comptines de l’album: « Dansons la capucine », « Bateau sur l’eau »… Nous le suivons aussi au gré des saisons qui passent et dans des moments de complicité avec Grand Ours.

Cet album jeunesse tout en tendresse peut être lu pour différents moments de la journée: une petite activité musique et chanson – en sortant bien sûr les instruments de musique et en jouant aux marionnettes ou en imitant Petit Ours – mais aussi pour un moment plus calme, comme avant d’aller se coucher. Les illustrations me rappellent celles de Sam McBratney, l’auteur de Devine combien je t’aime avec ses deux lièvres bruns, un petit et un grand, le père. D’ailleurs, les deux auteurs sont britanniques et de la même génération.

Participation #13 Devine qui vient Bloguer?

Participation #4 Je lis aussi des albums

Challenge Petit Bac d’Enna – #4 catégorie Lecture: « Livre »

Au fil des pages avec Olala

Nous empruntons cette semaine à la bibliothèque un album jeunesse dont l’illustration de la couverture m’a immédiatement attirée. Il s’agit de Olala! de Lisa Charrier et Agnès Domergue (éd. Limonade, 2011). Cet album jeunesse parachève à merveille un week-end de Fête des Mères. Rempli de tendresse et d’humour, il met en scène la relation entre une petite fille et sa mère dans des situations de la vie quotidienne. En tant qu’adulte, on sent le vécu des autrices, que ce soit l’épisode de la tasse de café, le gribouillage des murs ou la lecture d’un livre. Quel décalage entre la vision de l’adulte et celle de l’enfant face à toutes ces « bêtises » ou « surprises »! En effet, au moment de la phase d’opposition, le tout-petit se questionne beaucoup, recherche son autonomie tout en étant dans l’imitation, au risque de faire des bêtises. D’ailleurs, quel parent n’a jamais dû se retenir de rire devant tant de bonne volonté de son enfant? Un vrai coup de cœur pour ce petit moment de lecture toute en mignonnerie! Les illustrations d’Agnès Domergue sont d’une douceur aussi inégalée que peut l’être l’amour maternel (ou paternel).

Participation #3 Je lis aussi des albums

Au fil des pages avec des contes chinois

Comme je l’ai écrit dans mon dernier article, je participe cette année au challenge « Je lis aussi des albums 2019 ». Ce mois de mai est consacré au thème facultatif de la Chine. C’est l’occasion pour nous de découvrir des contes chinois à travers ces deux albums jeunesse empruntés à la bibliothèque et compréhensibles pour les tout-petits.

Nous commençons par Plouf de Guillaume Olive et He Zhihong (éd. des Éléphants, 2015). Un lapin s’enfuit en ayant peur d’un bruyant plouf au bord de la rivière. Il entraîne dans sa peur de nombreux animaux de la savane. La rumeur se propage en effet qu’un danger les guette: « Sauvons-nous, voilà le Plouf ». Mais qu’en est-il vraiment de ce plouf? Cet album jeunesse aborde de façon rigolote un thème bien plus grave qu’est la rumeur. L’écriture de l’histoire sous la forme d’un conte-randonnée entretient le mystère jusqu’à la chute. Heureusement que le tigre était là pour se poser les bonnes questions.

Puis nous lisons Le Pêcheur et le cormoran de Stéphane Sénégas (éd. Kaléidoscope, 2013). Nous avions déjà lu cet auteur avec des tomes d’Anuki, une bande dessinée sans texte ayant pour personnage central un petit indien. Cet album jeunesse comporte peu de texte qui accompagne de très belles illustrations. Nous suivons la naissance de l’amitié qui va lier un cormoran et un pêcheur, les deux s’entraidant pour se nourrir de poissons. Cette histoire décrit une méthode de pêche traditionnelle encore pratiquée en Chine, sur la rivière Li et qui existait aussi au Japon depuis le VIIIe siècle.

Grand cormoran

Mais il est vrai que l’histoire est bien plus romancée et poétique que le sort réservé aux cormorans capturés pour la pêche, même si la servitude du cormoran est représenté par l’anneau autour du cou. Le meilleur endroit pour un cormoran c’est de vivre en liberté! Nous avons d’ailleurs la chance de pouvoir en observer régulièrement le long de la Mer Méditerranée, à l’étang de Vaugrenier ou encore aux étangs de Villepey.

Participation #2 Je lis aussi des albums

Challenge Petit Bac d’Enna – #5 catégorie Métier: « Pêcheur »

Au fil des pages avec le tome 13 d’Ana Ana

Nous avons déjà emprunté tous les tomes d’Ana Ana que possède notre bibliothèque municipale, dont certains ont fait l’objet d’articles ici et à travers notre blog. Alors qu’elle ne fut pas mon emballement quand j’ai appris qu’un nouveau tome sortait en avril 2019! Voici donc notre nouvelle lecture: le tome 13 d’Ana Ana, Papillons, lilas et fraises des bois d’Alexis Dormal et Dominique Roques (éd. Dargaud, 2019).

Cette fois-ci, sous l’impulsion de Goupille, Ana Ana et les doudous partent à une chasse au trésor, l’occasion pour eux de découvrir la nature et toutes les richesses de sa faune et de sa flore: les papillons, les fleurs, les nuages, etc. Les personnages vont ainsi faire des jeux que toute personne a fait lorsqu’elle était enfant (ou même plus grand, j’espère!), comme chercher les formes dans les nuages, sauter de caillou en caillou, manger des fruits sauvages, observer les petites bêtes ou les oiseaux, écouter le clapotis de l’eau, etc…

Une bien belle histoire qui nous donne aussi l’envie, si besoin était, de vite partir nous promener et de rester curieux! L’histoire mêle toujours humour et tendresse. On adore les facéties de Touffe de Poil. Le tout-petit pourra s’inspirer des jeux créés par les personnages dans ses futures explorations. Encore une fois un coup de cœur pour Ana Ana et ses doudous! Pour prolonger l’histoire, nous jouons avec des cartes plastifiées des différents personnages mais aussi avec une carte récupérée du tome 8: Goupille en mode ornithologue.

Challenge Petit Bac d’Enna – #5 catégorie Couleur : « Lilas »

Participation #10 Devine qui vient Bloguer?

Au fil des pages avec Le loup qui apprivoisait ses émotions

Après avoir réalisé un dessin en collage avec le personnage de Loup, nous relisons Le loup qui apprivoisait ses émotions d’Orianne Lallemand et Éléonore Thuillier (éd. Auzou, 2017). Nous suivons l’histoire de Loup qui va tenter de maîtriser ses émotions grâce à l’aide de ses amis. Cet album jeunesse permet une première approche pour les tout-petits des émotions, surtout quand ils arrivent à l’âge du Terrible Two, où ils ont dû mal à les gérer. Car comment faire pour gérer tous ces sentiments? Les amis de Loup ont chacun une solution: pratiquer un sport, faire un gâteau, verbaliser son émotion, faire des câlins ou construire une cabane, etc.

Souvent, au lieu de lire l’histoire, nous nous attardons sur la deuxième de couverture pour mimer et nommer les émotions de Loup. Pour prolonger cela, je fabrique des cartes plastifiées des émotions à partir de cette double page. Nous jouons avec, soit avec les cartes seules, soit en les posant sur la deuxième couverture ou sur les illustrations au fil de l’histoire. Nous faisons également des puzzles de la couverture et de Loup, un memory à partir des personnages de l’histoire, etc. Nous avons aussi fait des collages avec Loup.

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