Catégorie : Mini lecteur (Page 47 of 267)

Week-end à 1000 – mars 2024

Ce week-end, du vendredi 22 mars 19h à dimanche minuit se déroule un week-end à mille. Il s’agit d’un défi livresque où l’objectif est de lire au moins 1000 pages, quel que soit le support ou genre (romans, albums illustrés, BD, romans graphiques, mangas, livres audio…). Mais ce nombre de pages à lire reste libre, chaque participant pouvant se fixer un objectif de lecture plus petit ou plus grand, en se constituant ou non une petite PAL pour l’occasion. Un thème facultatif a été prévu ce week-end: « la suite de sagas ». Pour plus d’infos, n’hésitez pas à y participer à votre tour et à rejoindre le groupe FB dédié: ici.

Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du week-end et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes comme Pativore, Audrey et Nathalie (IG)…

Vendredi 22 mars 2024

Même si j’ai un peu lu dans l’après-midi, je ne commencerai à comptabiliser les pages lues qu’après 19h, et ce sera même bien plus tard puisque nous sommes allés au restaurant vendredi soir.

En soirée, j’ai commencé à lire le tome 2 des Ailes de cendres, La dernière élite de Galli May (éd. Autoédition, mars 2024, 755 pages), une romance d’urban fantasy qui vient de paraître. J’ai pris plaisir à replonger dans les aventures de Lyrine et Azariel. Les pages s’enchaînent entre rebondissements, solidarité entre Nettoyeurs et trahisons.

Samedi 23 mars 2024

Peu de lecture aujourd’hui puisque nous avons prévu un pique-nique avec des amis dans une des calanques vers Agay. Mais la présence du vent nous a obligé d’aller à un autre endroit, moins venteux. Nous sommes ainsi allés au lac du Grenouillet, dans le Massif de l’Estérel, vers le pic de l’Ours, entre Saint-Raphaël et Agay. Bien que fraîche, les enfants se sont bien amusés avec l’eau du lac, sous le regard curieux des canards et le son des crapauds.

En soirée, je finis de lire le tome 2 des Ailes de cendres. Un très bon moment de lecture(+755 pages lues)! J’ai hâte de découvrir la suite mais il faudra attendre, le tome 3 ne paraîtra qu’en novembre prochain.

Dimanche 24 mars 2024

Ce n’est que ce matin que je mets à jour mon billet de suivi, Audrey et Nathalie participant également au marathon de lectures et que je fais un peu tour chez les autres participantes.

Dans la matinée, j’ai pioché dans ma PAL du mois prochain pour Un Mois au Japon 2024 en lisant le tome 2 des Carnets de l’Apothicaire de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (éd. Ki-oon, mars 2021, 159 pages), un manga Seinen à partir de 15 ans, me laissant en plein suspense, la nouvelle tentative d’empoisonnement n’étant pas résolue et n’ayant pas pu emprunter le tome 3, peut-être la semaine prochaine et me donnant une idée sur la véritable identité de Jinshi. Dans ce deuxième tome, on en apprend un peu plus sur Mao Mao, désormais dame de compagnie et goûteuse de Gyokuyo qui, à la demande de l’Empereur, vient à soigner l’une de ses autres concubines, Lifa puis qui, 2 mois plus tard, participe au grand banquet du Printemps en l’honneur des 4 premières concubines (+159 pages). Je n’étais d’ailleurs pas la seule parmi les participantes à continuer cette série livresque, mais pas au même tome ni au même format (certaines lisant un des romans éponymes et dont le manga est une adaptation). J’ai d’ailleurs vu qu’il existait un anime dont la saison 2 a été annoncée pour courant 2025.

Dans l’après-midi, j’ai lu plusieurs BD avec d’abord la trilogie Yin et le dragon de Richard Marazano et Xu Yao (éd. Rue de Sèvres, janvier 2016 (T1, Créatures célestes), avril 2017 (T2, Les écailles d’or) et février 2019 (T3, Nos dragons éphémères)), une BD jeunesse à partir de 10/12 ans et que j’avais emprunté à l’occasion du Nouvel An Chinois mais que je n’avais pas eu le temps de lire depuis. Lors de l’invasion japonaise d’un quartier de pêcheurs de Shanghai en 1937, Yin, une jeune fille d’une dizaine d’années espiègle, têtue et courageuse réussit à convaincre son grand-père de soigner un dragon d’or blessé qu’il a pris dans ses filets. Est-il une menace pour Yin au même titre que les gamins des rues lui volant les poissons qu’elle vend et que les soldats japonais, comme le capitaine Utamaro à l’étrange comportement J’ai bien apprécié les illustrations et le mélange de folklore chinois et de petite histoire dans l’Histoire, même si l’horreur de celle-ci a été atténuée pour un lectorat jeunesse. L’histoire est plein de bons sentiments et d’espoir en l’Humanité face au grand dragon noir de la fin des temps (+3×64=192 pages lues).

J’ai ensuite lu Le dernier quai de Nicolas Delestret (éd. Bambou coll. Grand Angle, avril 2023, 160 pages),  une BD fantastique que j’avais depuis un moment en version consultable en ligne sur Izneo mais que j’ai récemment pu aussi emprunter en version papier à ma médiathèque. A l’hôtel du dernier quai, Émile accueille, en hôte bienveillant et dans une routine bien établie, les clients qui viennent de mourir. Mais un matin, tout se dérègle, semant le trouble dans l’esprit d’Émile, lors de l’arrivée de 3 nouveaux clients qui ne se souviennent pas de leur passé. Comment pourra-t-il les aider? L’histoire m’a fait penser à celle de 669 Peony Street de Mélanie Launay (éd. Michel Lafon, janvier 2022, 238 pages), un roman fantastique se déroulant en Angleterre, à l’époque victorienne. Il y est ainsi question de mort et de résilience (+160 pages lues).

Puis j’ai fini l’après-midi en lisant Radium girls de Cy (éd. Glénat, coll. Karma, août 2020, 136 pages), une BD adulte à la couverture phosphorescente et que j’avais repérée depuis très longtemps mais que je n’avais pas pu encore emprunter à la médiathèque, trouvant très intéressant le sujet abordé mais moins le graphisme. Ma lecture a confirmé ma première impression. En 1918, New Jersey, des femmes travaillent comme ouvrières à l’United State Radium Corporation, une usine fabriquant des montres à cadran en utilisant de la peinture au radium. Insouciantes et non averties du danger mortel du radium, elles travaillent sans protection et s’amusent de son effet phosphorescent, surnommées alors les « Ghost Girls ». Mais bientôt la réalité les rattrape, lorsque certaines d’entre elles tombent malades et décèdent. Le radium était-il si inoffensif pour leur santé? J’ai apprécié l’histoire tirée de faits réels, moins les illustrations, qui m’a fait penser plus récemment au scandale de l’amiante (+136 pages lues).

Après les histoires du soir (des relectures du 4e roman de Mortelle Adèle, Very Important Bizarre de Mr Tan et Diane Le Freyer et de Hulotte et Léon de Juliette Lagrange), j’ai commencé à lire, en e-book, en soirée, jusqu’au chapitre 24, La jurée de Claire Jéhanno (éd. HarperCollins, avril 2023, 291 pages), un roman contemporain dans lequel on suit Anna Zeller, jurée le temps d’un procès d’assises d’un couple accusé d’empoisonnement et de meurtre et qui la renvoie à son propre passé, vingt ans auparavant lorsqu’elle était encore Anna Boulanger (+140 pages lues).

Petit bilan du lundi: Alors combien ai-je lu de pages ce week-end?  1.542 pages lues avec des lectures encore bien variées, sans compter celles partagées avec mon mini lutin. Le mois prochain, c’est une Semaine à 1000 qui est prévue, du lundi 15 au dimanche 21 avril 2024. Bonne semaine!

Au fil des pages avec Les roches rouges

L’été dernier, j’’avais lu Les roches rouges d’Olivier Adam (éd. R, 2020, 240 pages), un roman Young Adult contemporain classé au rayon adulte de ma médiathèque de vacances et vendu en roman adolescent par la plupart des librairies (je dirai pour des adolescents avertis de plus de 16 ans, au vu des thèmes abordés).

Après s’être rencontrés à Pôle Emploi, Leila, une jeune femme de 21 ans, mariée à un homme violent de 12 ans son aîné et mère d’un enfant de 3 ans et Antoine, un jeune homme ayant perdu le goût de la vie et à peine âgé de 18 ans, commencent une liaison. Mais lorsque le mari de Leila le découvre et bat son amant, le jeune couple décide de s’enfuir et de quitter la banlieue parisienne pour la maison de famille d’Antoine, à Agay. Mais un nouveau départ est-il possible? L’histoire alterne les points de vue du jeune couple, celui de Leila à travers des passages de son journal intime et celui d’Antoine.

Le style d’écriture est au départ déconcertant et radicalement différent d’un autre roman précédent de l’auteur que j’avais apprécié, Des vents contraires, même si l’on retrouve le côté cru surtout, bien trop marqué ici, voire même un brin caricatural pour faire parler les deux jeunes de banlieue, surtout dans les premiers chapitres, ce qui s’atténue par la suite, via le journal intime de la jeune femme. En effet, l’histoire alterne les points de vue du jeune couple, celui de Leila à travers des passages de son journal intime et celui d’Antoine.

Il y est question de maltraitance, de pédophilie, de violences conjugales, de deuil ou bien encore de résilience, de droit au bonheur et à la seconde chance. Un destin funeste semble s’abattre à chaque fois sur ce couple improbable qui tente pourtant de s’en sortir. Que de malheurs qui se sont abattus sur Leila et Antoine, voire même un peu trop pour rendre cohérente l’histoire (surtout la dernière partie qui s’accélère en ne tenant plus compte des réalités temporelles d’une enquête judiciaire et d’un procès, surtout dans un contexte franco-italien)! Un moment de lecture dur et âpre comme la vie de ce jeune couple qui se découvre et grandisse ensemble, en quelques semaines, entre non-dits et mensonges sur leur identité, leur passé au sein de famille plus ou moins aimante et dysfonctionnelle et qui se finit sur une fin ouverte, avec peut-être de l’espoir au bout du bout!

Challenge Petit Bac d’Enna #2 Catégorie Couleur: « Rouges »

Au fil des pages avec Hiver à l’Opéra

Le mois dernier, j’ai lu Hiver à l’Opéra de Philippe Pelaez et Alexis Chabert (éd. Grand Angle, octobre 2023, 72 pages), une BD adulte consultable en ligne grâce à ma médiathèque et qui se passe quelques temps après les faits d’Automne en baie de Somme avec une nouvelle enquête, en février 1897, à Paris, d’Amaury Broyan inspecteur désormais révoqué de la police. Mais l’est-il réellement? Présent lors d’une représentation de la Damnation de Faust à l’Opéra Garnier, il assiste au crime du colonel Tréveaux, chargé de la sécurité du président Faure et se lance à la poursuite de la coupable.  L’inspecteur a-t-il vraiment sombré dans le désespoir et la vengeance depuis le meurtre de sa fille Florine en se rapprochant de groupuscules nationalistes?

Ce nouveau tome mêle enquête policière, complots politiques au cœur de la IIIe République avec une immersion dans les milieux populistes et d’extrême-droite mais aussi spiritisme et hypnose, tout en se réappropriant Le Fantôme de l’Opéra de Gaston Leroux (1910) – petit clin d’œil au Challenge 2024 sera classique aussi de Nathalie. D’ailleurs, à la place des extraits de Nelly Roussel du premier tome, on trouve cette fois un extrait de Gaston Leroux puis de Victor Hugo, adepte du spiritisme et qui a participé à des tables parlantes afin de rentrer en contact avec l’esprit de sa fille Léopoldine, ne s’étant pas remis de son décès, à l’instar de l’inspecteur qui tente d’oublier dans l’opium. Il y est ainsi aussi question de deuil et de folie.

Un bon moment de lecture avec ce tome 2 même si j’ai préféré le tome précédent qui m’avait bien plu surprise pour son ambiance noire et un brin immorale! Nous retrouvons cette ambiance ici, l’inspecteur étant toujours aussi sombre, mais cette fois dans un décor hivernal et un brin fantomatique et paranormal, la folie n’étant jamais loin. Cela ressort de la mise en page dynamique et parfois en abîme des planches de dessin d’Alexis Chabert. Je me  suis même habituée aux traits un peu grossier des personnages tout en appréciant les décors parisien de la Belle-Époque et l’influence d’Alfons Mucha et d’Edgar Degas. Si un tome 3 venait à paraître (sur le printemps?), je n’hésiterai pas à le lire.

Challenge Petit Bac d’Enna #2 Catégorie Lieu: « Opéra »

Participation#5 Challenge 2024 sera classique aussi! de Nathalie

Au fil des pages avec Petit bonheur

Nous avons lu Petit Bonheur de Yue Zhang (éd. L’école des Loisirs, janvier 2024, 52 pages), un album jeunesse à partir de 3/4 ans. Chaque année, la veille du Nouvel An chinois, la Fée de la Lune donne à tous les petits bonheurs un pouvoir magique de porter chance. Mais l’un de ces petits bonheurs, endormi, se retrouve dépourvu de magie. Il décide pourtant de descendre sur Terre. Parviendra-t-il à répandre quand même le bonheur, comme par exemple auprès d’un renard restaurateur et son fils?

Il y est question de solidarité, d’amitié, de générosité, de confiance en soi et de faire fi des préjugés. L’histoire est tendre et gourmande mettant en scène un petit bonheur à la bouille toute mignonne et des animaux anthropomorphes très expressifs, que ce soit le renardeau et son père ou les autres habitants de la ville qui se méfiant de leurs congénères à la mauvaise réputation de prédateurs ont peur de se rendre dans le restaurant de nouilles. J’ai également beaucoup apprécié les magnifiques illustrations qui nous plongent dans une ambiance fantastique en mettant en scène les dons magiques de Petit Bonheur. Un très bon moment de lecture tout plein de bons sentiments en compagnie de ce gentil et généreux bonhomme porte-bonheur!

Participation #6 Challenge Contes & Légendes 2024 de Bidib #Traditions chinoises

Challenge Petit Bac d’Enna #3 Catégorie Sentiment: « Bonheur »

Participation #6 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2024 de Bidib et Fondant #Nouilles chinoises

Participation #4 (Parcours illustré) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #Chine

Au fil des pages avec Obsolète

J’ai lu Obsolète de Sophie Loubière (éd. Belfond, février 2024, 528 pages), un roman noir d’anticipation dystopique qui se déroule en 2224, les êtres humains essayant de survivre dans différents villages sous la tutelle de la Gouvernance territoriale tout en faisant face aux pénuries de ressources et à l’infertilité qui a amené, depuis le Grand Effondrement de la civilisation fossile et les crises qui ont suivi à mettre en place le Grand Recyclage, les femmes de plus de 50 ans devant se retirer dans le Domaine des Hautes-Plaines pour laisser leur place à des femmes plus jeunes et encore fertiles.

Désormais âgée de 50 ans comme ses amies d’enfance Odette et Hasna, Rachel est sur le point d’être une retirée, lui restant à peine un mois auprès des siens tandis que son époux Keen archéologue tente d’élucider le décès suspect de 3 fillettes de 8 ans, avec l’aide de de leur fils adolescent, ce triple meurtre ayant été étouffé par les autorités du village.

J’ai apprécié l’univers dystopique dépeint dans ce roman, avec l’idée que la femme est un produit sans grand avenir, à obsolescence programmée à 50 ans, loin des dictatures stéréotypées qu’on peut voit d’habitude même s’il faut être en couple pour avoir un enfant et que j’ai trouvé que l’autrice aurait pu plus approfondir la nature humaine, la puissance de l’amour filial/parental face au diktat du bien de la communauté par exemple et la psyché humaine, ce qu’elle fait en toute fin à travers la résolution du triple meurtre des fillettes.

Mais j’ai eu du mal à croire que dans un monde dans lequel les émotions sont contrôlées par un bracelet modérateur d’humeur posé dès 11 ans et Maya, un cylindre connecté d’intelligence artificielle au point de faire disparaître la criminalité, le racisme, l’homophobie par exemple, il puisse quand même perdurer la jalousie, l’adultère et surtout le sexisme et l’âgisme sélectif, seules les femmes âgées de plus de 50 ans faisant l’objet du Grand Recyclage.

Je n’en dirai pas plus pour ne pas spoiler même si lors du départ pour le Grand Recyclage, les événements m’ont paru un peu trop surréalistes voire grotesques tout en comprenant l’idée défendue par l’autrice derrière. Je n’ai donc pas non plus adhéré au fait qu’aucun membre de la famille de la femme retirée (que ce soit le conjoint enjoint à procréer à nouveau, la femme retirée elle-même ou bien ses enfants) n’ait jamais recherché son ancienne vie et ait fait si définitivement un trait sur son amour au sens large (autre époux ou ses enfants par exemple). Tous vivent avec leurs doutes et leurs regrets mais acceptent bon gré mal gré la situation pour sauver l’Humanité.

Un bon moment de lecture, me demandant s’il fallait craindre le pire pour ces femmes retirées (est-ce un nouveau génocide tel que celui de la Seconde Guerre Mondiale ou un nouveau Soleil Vert?) et qui fait malheureusement écho au discours d’Emmanuel Macron du 16 janvier 2024 défendant un « réarmement démographique » face à la baisse de natalité constatée en 2023 et en proposant un plan de lutte contre l’infertilité!

J’ai, enfin, noté quelques passages gourmands pour le Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2024 avec de la cuisine végane à base d’aliments de demain comme les repas préparés par le père de Rachel, Charlus comme par exemple ce dîner: « une tarte aux carottes-oignons accompagnée d’une salade, et des muffins à la banane et aux amandes pour le dessert. Du cidre et de la bière brassée à partir de pain rassis blanc et gris accompagneraient le repas des adultes » ainsi que de « la crème de betterave » (p.52) ou bien encore le menu de la fête de départ des mères organisée par Hasna: « bouchées de truite fumée à la réglisse de nos jardins, tartines aux germes de poireau vinaigrés et œufs mimosa sur pain de cannabis, sablés de grillons et crottin de chèvre, ravioles aux insectes, aux algues et au pesto, purée de fruits aux agrumes et au miel, crème de fleurs de monarde, houmous au caramel et vers de farine, flan au sésame et bonbons bananes » (p.156) ou bien encore les derniers pancakes préparés par Rachel le matin de son départ accompagné d’un « thé (…) Fort, pour lui. Chaud. Avec du lait d’avoine et du sucre » (….) Casser des œufs. Peser la farine de pomme. Une pointe de levure et de sel. Beurre, lait, cassonade. Remplir la maison d’une odeur de pâte qui chauffe dans la poêle. Ni l’un ni l’autre n’avons faim » (p.203).

Pour d’autres avis bien plus enthousiastes sur ce roman: Sorbet Kiwi, Bianca et Belette.

Challenge Petit Bac d’Enna #3 Catégorie Adjectif: « Obsolète »

Participation #5 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2024 de Bidib et Fondant #Cuisine végane du futur

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