Catégorie : mini photographe (Page 21 of 25)

Sur le sentier des douaniers – St-Aygulf

Pour cette semaine 33 du Projet 52-2019 de Du côté de chez Ma’, le thème est « Lointain« . Avec un peu de retard, je publie ma photo, même si celle-ci a bien été prise le week-end dernier pendant une balade le long du sentier des douaniers reliant Saint-Aygulf aux Issambres. A l’horizon, nous pouvons voir Saint-Raphaël et le Dramont.

Dans la campagne siennoise

Pour cette semaine 32 du Projet 52-2019 de Du côté de chez Ma’, le thème est « Campagne« . Les Alpes-Maritimes étant plus entre mer et montagne, je pioche une nouvelle fois dans mes archives en choisissant une photo prise le 9 août 2008 dans la campagne siennoise en Italie: un champ de tournesols au coucher de soleil, sur la colline de Montesiepi. J’aurai également pu utiliser cette photo pour illustrer le thème de la semaine dernière mais j’avais préféré le lever de soleil dans la Vallée des Merveilles. Que de bons souvenirs de ce voyage! Ce fut une journée encore bien remplie à découvrir la Toscane, au Sud-Est de Sienne. Nous étions arrivés, vers 19h30 sur ce site pour visiter les ruines de l’Abbaye de San Galgano ainsi que la Chapelle de San Galgano jusqu’au coucher du soleil avant de regagner Sienne. Nous avions ainsi remonté le temps sur les pas de Galgano Guidotti.

Quand le soleil se lève

Pour cette semaine 31 du Projet 52-2019 de Du côté de chez Ma’, le thème est « Ciel« . Qu’il est agréable de l’observer l’été comme par exemple au moment où le soleil se lève! Alors pour illustrer le thème de cette semaine, je me replonge dans mes souvenirs avec cette photo prise très tôt dans la Vallée des Merveilles, en août 2006, avant de prendre le petit déjeuner et de partir à la découverte des gravures rupestres. Quelle explosion de couleurs dans le ciel quand le soleil apparaît!

Ô liberté!

Pour cette semaine 30 du Projet 52-2019 de Du côté de chez Ma’, le thème est « Liberté« . Alors direction le Palais de Justice de Nice et la devise de la République française inscrite au-dessus des trois portes du palais. On entre par la Fraternité.  Puis on ressort par la Liberté.  Mais pas pour tout le monde, le Palais abritant en son sein  la Cour d’assises,  le Tribunal correctionnel et le Tribunal pour Enfants.  Certains arrivant par la souricière ne verront jamais la devise et leur privation de liberté continuera. D’autres ressortiront libres. Puis d’autres encore arriveront libres mais sortiront condamnés et menottés, un mandat de dépôt ayant été prononcé à leur encontre. 

C’est dire comme se joue la liberté dans le Palais entraînant dans son sillage toute une palette d’émotions! Elle est d’ailleurs palpable dans la salle des pas perdus lors de l’attente parfois angoissante des délibérés.

Puis le délibéré est prononcé: soit la joie en cas de relaxe soit le soulagement en cas de condamnation sans emprisonnement soit la douleur ou la colère face à la liberté perdue. Pour d’autres enfin,  la liberté sera de courte durée en attendant la mise à exécution du jugement par le Juge de l’Application des Peines.  Devant ce dernier, la défense de la liberté se rejouera alors. De même,  du côté des victimes quand liberté et sérénité résonnent dans leur tête lorsque leur constitution de partie civile est acceptée et aussi devant des excuses sincères du prévenu – ce qui est malheureusement rare.

D’autres situations me viennent en tête pour lesquelles il ne reste que ma liberté d’en parler ou non, n’ayant abordé que le pénal: retrait du permis de conduire, hospitalisation d’office en hôpital psychiatrique, placement d’enfant, mise sous tutelle ou curatelle, expulsion ou vente forcée de son logement, prolongation de placement en centre de rétention, etc. Ô liberté!

Des boulets dans le Vieux-Nice

Pour la semaine 29 du Projet 52-2019 de Du Côté de Chez Ma’, le thème est « Rond« . Bien que nous célébrons le cinquantième anniversaire des premiers pas de l’Homme sur la Lune, j’ai choisi un autre sujet tout aussi historique et qui permet une déambulation un brin insolite dans le Vieux-Nice. Il s’agit d’un des boulets de canon qu’il est possible d’y observer. En effet, il en reste également un à l’angle des rue de l’Abbaye et Colonna-d’Istria ainsi que trois sur la façade de la Chapelle du Saint-Sépulcre située sur la Place Garibaldi. Le boulet photographié est celui que l’on peut regarder, en levant les yeux et en traversant la Rue Droite, à l’intersection avec la Rue de la Loge.

Un peu d’histoire nissarte : Ces boulets à canon furent tirés par la flotte turque sur la ville de Nice lors du siège franco-turc en 1543, lors de la 9e Guerre d’Italie. En effet, le sultan ottoman Soliman le Magnifique était l’allié de François Ier lors de ce siège qui prit fin avec l’arrivée des troupes de renfort de Charles II, Duc de Savoie, le Comté de Nice appartenant alors au Duché de Savoie. De ce siège, il reste également la figure d’une héroïne niçoise, Catherine Ségurane qui aurait réussi, le 15 août 1543, à galvaniser les habitants niçois réfugiés derrière les remparts de la Colline du Château en repoussant un soldat turc, en lui assénant un coup avec son battoir à linge et en lui arrachant des mains l’étendard ottoman qu’elle aurait ensuite déchiré.

Qui dit boulet de canon à Nice dit une autre tradition niçoise, avec le coup de canon tiré tous les midis de la colline du Château depuis la fin du XIXe siècle. Cette idée saugrenue et misogyne vient de Sir Thomas Coventry, un Écossais qui s’était installé avec son épouse à Nice pour rappeler à cette dernière l’heure du déjeuner, idée qui fut accepté par le Maire de l’époque, en 1862. Par la suite, au départ du couple, un arrêté municipal a autorisé la poursuite de ce tir tous les midis. Aujourd’hui, c’est une marron d’air qui est tiré par un artificier.

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