Catégorie : Mini randonneur (Page 6 of 9)

Les bories de Seillans

Ce 28 février 2009, nous partons à Seillans pour faire le circuit des bories. Nous serons certains d’en voir sur ce sentier balisé, même si d’autres sont visibles à travers les champs. Nous étions déjà venus à Seillans mais pour une toute autre raison. En effet, le 18 juin 2005, la commune avait accueilli un festival gratuit de musique. Dans tout ce village perché, il y avait alors foule dans le labyrinthe des ruelles et des nombreuses places et fontaines. Nous nous déplacions au gré des groupes de musique de tout style se produisant cette nuit-là : rock, musique classique, blues, etc. Aujourd’hui, les ruelles sont désertes, à l’exception de quelques chats.

Notre-Dame-de-l’Ormeau

La randonnée débute à 2 kilomètres au Sud-Est de Seillans, au niveau de Notre-Dame-de-l’Ormeau, chapelle romane datant du XIIe siècle. Nous marchons sur le bord de la D19 sur une centaine de mètres puis tournons à droite et plusieurs centaines de mètres plus loin nous commençons à chercher les premières bories.

Nous voyons une borie et y entrons. Dans le Sud-Est de la France, ces bories sont des cabanes en pierre sèches qu’utilisaient les paysans et les bergers pour entreposer du matériel, parfois se protéger des intempéries ou abriter leurs animaux… Elles datent des XVIIIe et XIXe siècles.

Nous restons un petit moment avant de reprendre notre marche. Nous passons à travers un bois. Plusieurs arbres n’ont pas résisté aux intempéries. Certains sont tombés sur le sentier.

Nous passons un petit cours d’eau, le Riou, avant de poursuivre par un sentier moins ombragé. Nous suivons une ancienne voie ferrée pour revenir à nouveau sur le D19 et rejoindre le village. Il est temps de rentrer. La collection de Max Ernst, l’un des membres du mouvement dadaïste et surréaliste, et de sa femme, Dorothéa Tanning sera pour une prochaine fois.

A la recherche des vautours du Verdon

Trigance

Ce 27 février 2009, nous nous garons sur le parking de Trigance. Il est déjà 11 heures et nous nous dirigeons vers le GR49 en remontant la route principale de la commune puis par un sentier qui monte sur la gauche.

Nous arrivons bientôt sur une plaine qui conduit au hameau d’Entreverges. Nous faisons une pause pique-nique, la neige parsemant de-ci de-là la végétation et les ruines. Nous reprenons des forces sans savoir qu’un peu plus tard, la neige nous attendra aussi sur le sentier.

Nos chaussures de randonnée sont malgré tout suffisantes pour continuer le sentier en direction des gorges du Verdon. Nous passons dans les sous-bois.

Belvédère de Rancoumas

Grand corbeau – belvédère de Rancoumas

Nous arrivons bientôt en haut du canyon du Verdon, au niveau du belvédère de Rancoumas. La neige cède alors le pas aux falaises de calcaire.

La vue est impressionnante : l’immensité des falaises accentue les abîmes dans lesquels coulent les eaux turquoises du Verdon. Dans les gorges, nous apercevons le sentier Martel. Gare au vertige! En face de nous, nous voyons aussi le belvédère de Trescaire.

Grand corbeau

Vautour fauve – Verdon

Vautour fauve – Verdon

Au-dessus de nos têtes, virevoltent des grands corbeaux et des vautours fauves. Les falaises sont aussi prisées par des grimpeurs profitant de cet immense mur d’escalade.

Rougon

Rougon

Puis nous reprenons le sentier par le Col de Breis pour retourner à Trigance et laissons derrière nous la neige et les vautours. Au détour du sentier arboré, nous avons une belle vue sur Rougon, son rocher et son château. D’ailleurs de Rougon, le Point Sublime offre une des plus belles vues sur les Gorges du Verdon.

Trigance

Il est déjà 19 heures et le soleil se couche sur la commune. Il est temps de rentrer chez nous.

Sentier du littoral de la Presqu’île de Giens

Ce 31 janvier 2009, nous nous garons sur un parking de la presqu’île de Giens, près du port de la Madrague pour marcher le long du sentier du littoral. Ce sentier offre de très jolis points de vue entre les falaises et la forêt méditerranéenne.

Nous passons au-dessus de différentes criques, plus jolies les unes que les autres, dont la plage d’Escampo-Barriou. Au loin, nous voyons la baie de Toulon et différentes petites îles. Puis après une partie plus arborée, nous retrouvons le bord des falaises avec les Pointes du Rabat et des Salis.

Goéland leucophée

Grand cormoran

Nous pouvons alors observer, du haut des falaises, des goélands leucophées et un grand cormoran. En contrebas, nous pouvons voir le Pain de sucre et la Pointe des Chevaliers. Nous continuons à marcher jusqu’à rejoindre le parking d’arrivée.

Randonnée au lac de Trécolpas

Ce 13 juillet 2008, nous montons jusqu’au parking supérieur du Boréon pour une randonnée jusqu’au lac de Trécolpas. Il est 9h30 et déjà de nombreux randonneurs, seuls, en groupes ou en famille, équipés ou non de tentes pour passer la nuit en altitude à la belle étoile. Nous prenons le sentier de la balise n°420 (1.670 mètres d’altitude) en direction dans un premier temps du chalet Vidron et de son plan d’eau, à 1.770 mètres d’altitude (balise n°422).

Puis nous continuons notre ascension jusqu’au lac, en empruntant plusieurs ponts en bois. Le sentier surplombe par endroits le cours d’eau.

Au niveau de l’un d’eux, nous passons, prudemment, à côté de chevaux, après avoir attendu qu’ils s’éloignent un peu du sentier.

Myosotis des champs

Nous laissons sur notre gauche le sentier conduisant au refuge de Cougourde (balise n°425) et continuons notre ascension sur le GR52 vers le lac de Trécolpas qui n’est plus très loin (balise n°427). Il y a encore des névés en face de nous.

Puis nous voyons le lac (2.150 mètres d’altitude) où plusieurs personnes se sont déjà installées. Nous continuons encore un peu en faisant une partie du tour du lac. Il est d’ailleurs possible de continuer le sentier jusqu’au pas des Ladres.

Même s’il est, à peine 11h, nous n’irons pas plus loin que le lac et pique-niquons au bord de l’eau, entourés de fleurs de toutes les couleurs. Avec le vent, il ne fait pas si chaud que ça.

Puis nous redescendons par le même itinéraire jusqu’à la voiture, en début d’après-midi.

Petite balade au Cap-Ferrat

Ce 2 mars 2008, nous allons à Saint-Jean-Cap-Ferrat pour nous promener le long de la presqu’île. Nous nous garons sur un des parkings de la commune pour gagner le sentier longeant le littoral.

Inséparables de Fischer

Dix minutes après, nous nous arrêtons et prenons le temps d’observer une curiosité locale: des Inséparables de Fischer en liberté. Drôle d’endroit pour voir cette espèce originaire de Tanzanie!  Ces oiseaux ont été relâchés dans les années 1990 ou 2000 puis se sont reproduits et adaptés au climat local. Ils forment désormais de petites populations férales à Saint-Jean-Cap-Ferrat et à Beaulieu-sur-Mer.

Nous reprenons ensuite notre marche avec une jolie vue sur Villefranche-sur-Mer et sur le Fort du Mont-Alban. Le parcours est facile d’accès en haut des récifs.

Nous sommes nombreux à profiter des lieux en cet après-midi de dimanche ensoleillé entre les promeneurs, les plongeurs et les voiliers au loin.

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