Avec retard sur l’Étape au Pakistan prévue le 17 août 2025, voici un plat pakistanais que nous avons mangé la semaine dernière: un Aloo Keema, un curry à base de viande hachée et de pommes de terre. Pour la recette, je me suis fortement inspirée de celle d’Isabelle et Hilde qui en avaient fait pour la fête de l’Indépendance du Pakistan (14 août 1947). Mais contrairement à elles, je n’ai pas mis de yaourt nature. J’ai également fait du riz basmati en accompagnement.
Les ingrédients adaptés à ma préparation: 500g de bœuf haché, 10 pommes de terre de taille moyenne, 2 grosses échalotes (n’ayant plus d’oignons), 4 gousses d’ail, 4 tomates et des épices: coriandre en poudre, curcuma, cumin, garam masala), riz basmati.
Les étapes de la préparation: J’ai commencé par faire bouillir de l’eau pour les tomates afin que cela soit plus simple de retirer la peau (une fois l’eau à l’ébullition, les cuire pendant 3 minutes puis les passer sous l’eau froide). Puis j’ai cuit en cubes les pommes de terre à l’autocuiseur pendant 45 minutes. Pendant leur cuisson, j’ai haché avec un mixeur les échalotes et les gousses d’ail. Je les ai fait revenir dans un peu d’huile puis une fois bien dorées, j’ai rajouté 1/2 verre d’eau avec les épices. Une fois réduit, j’ai rajouté le bœuf haché puis une fois cuit, les tomates coupées en petits morceaux sans la peau. J’ai laissé mijoté 15/20 minutes, le temps que les pommes de terre finissent de cuire. Puis j’ai rajouté au curry les pommes de terre et laisser encore cuire le temps de préparez du riz basmati.
Verdict: C’était bon et copieux. J’ai congelé le surplus et cela nous a fait un autre repas dimanche. La prochaine fois, je mettrai un peu plus d’épices.
Pour d’autres idées gourmandes, n’hésitez pas à aller voir comme chaque dimanche chez Isabelle et les autres Marmitonnes.
Participation #9 Challenge Les Étapes Indiennes 2025 de Hilde #Cuisine pakistanaise
Pendant le dernier RAT indien, début août 2025, j’ai lu, en e-book, Cueilleuse de thé de Jeanne-Marie Sauvage-Avit (éd. Charleston, mars 2021, 321 pages), un roman contemporain que j’avais repéré chez Isabelle. Shemlaheila est une jeune femme indienne âgée de 20 ans dont la mère vient de décéder et qui réussit à quitter le Sri Lanka, près de 10 ans après son arrivée ainsi que la plantation de thé de Ceylan où elle travaillait pour rejoindre sa terre natale, l’Inde pour un nouveau départ, d’abord auprès de sa tante Jarulpa, dans le village de Ramyallu puis en gagnant, par bateau, l’Angleterre.
A Londres, elle obtient une carte de séjour, en travaillant comme serveuse dans un restaurant-bar indien puis comme aide à domicile pour s’occuper d’une dame âgée, Twinny tout en suivant des cours en auditeur libre à l’université, loin des difficiles conditions de travail au sein de la plantation au Sri Lanka et du répugnant kangani, Datu-Guemi, contrairement à l’épouse de ce dernier, Pokonaruya qui subit quotidiennement sa violence et celle de sa belle-mère et les autres cueilleuses comme Mohanty, une jeune fille de 12 ans qui rêve d’être docteur et sa mère. Mais sa nouvelle terre d’accueil sera-t-elle à la hauteur de ses espoirs et de ses rêves?
Même si le bandeau indique « Prix du Livre Romantique » reçu en 2017, la romance est très accessoire. Il s’agit avant tout du parcours de Shemlaheila qui souhaite apprendre l’anglais et la comptabilité, ayant l’espoir de devenir vendeuse dans les bureaux de la plantation. Et si son avenir était tout autre? Elle se révèle être une belle jeune femme naïve mais courageuse et déterminée qui veut dépasser sa condition et être libre. Il y a également deux autres personnages féminins à la trajectoire de vie émouvante et révoltante, au Sri Lanka: Pokonaruya victime d’un mariage arrangé et Mohanty, une jeune fille indienne qui entend bien suivre la voie tracée par Shemlaheila.
Mais il n’est pas si simple de s’affranchir de sa condition sociale, tant au Sri Lanka et en Inde (doublée de la condition d’être une femme) qu’en Angleterre, Shemlaheila étant très vite exploitée du fait de son statut d’immigrée. Il y est ainsi question de quête initiatique, de condition de la femme, que ce soit au Sri Lanka, en Inde et en Angleterre, du statut des immigrés avec la main-d’œuvre indienne, que ce soit au Sri Lanka ou en Angleterre, d’émancipation féminine… Il y a également une critique du tourisme de masse, les cars de touristes s’arrêtant dans les champs pour photographier les cueilleuses de thé, sans se soucier de leur sort au quotidien. Un bon moment de lecture dramatique dans l’ensemble, malgré quand même beaucoup (trop) de facilités scénaristiques!
En ce deuxième dimanche du mois d’août, je reste encore en Inde en cuisine, après avoir préparé le week-end du poulet tandoori pendant le RAT indien. Ce week-end, le thème culinaire facultatif est le buddha bowl. Mais qu’est-ce donc? Renseignement pris, il s’agit d’un plat d’origine asiatique qui ressemble au poke bowl qui nous vient de Hawaï et avec du poisson cru mariné. Après avoir regardé plusieurs recettes en ligne et celle d’Isabelle, j’ai mélangé plusieurs ingrédients selon les goûts partagés ou non chez moi.
Les ingrédients adaptés à ma préparation: 1 courgette, riz basmati, quinoa, 1 boîte de pois chiche, 2 petites gousses d’ail, des tomates, raisins secs, curcuma (1 cc), un blanc de poulet, 1 petite boîte de lait de coco, des épices indiennes.
Les étapes de la préparation: J’ai commencé par cuire une courgette à l’autocuiseur. Puis j’ai fait bouillir de l’eau pour le riz basmati que j’ai cuit avec du curcuma et dans une autre casserole, pour le quinoa dans lequel j’ai rajouté, après cuisson, des raisins secs. Dans une poêle, j’ai fait saisir le blanc poulet préalablement coupé en fines lamelles avec du lait de coco et des épices indiennes.
Verdict: Pour mon premier buddadh bowl, on a apprécié avec un adapté pour mon mini lutin (quinoa, raisins secs et poulet sans épices). C’est sûr ce ne sera pas le dernier.
Pour d’autres idées gourmandes, n’hésitez pas à aller voir comme chaque dimanche chez Isabelle et les autres Marmitonnes.
Dans le cadre de son challenge Les Étapes Indiennes, Hilde nous propose ce week-end, du 1er au 3 août 2025, un read-a-thon avec au moins une lecture indienne ou un petit clin d’œil indien. Ce sera l’occasion de s’évader livresquement en Inde, de relever des passages gourmands dans nos lectures afin de se donner des idées pour cuisiner avec la Brigade des Marmitonnes ou de visionner un film ou une série… Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur son blog ou sur Instagram (avec le fil de discussion des Étapes Indiennes).
Alors que vais-je lire pendant ce RAT? J’ai déjà prévu deux lectures: le tome 1 de Folklore, La mécanique des rêves de Loïc Clément, Anne Montel et Maud Begon (éd. Dargaud, mai 2025, 56 pages), une BD jeunesse à partir de 9 ans et qui a bien plu à Hilde et Cueilleuse de thé de Jeanne-Marie Sauvage-Avit (éd. Charleston, mars 2021, 321 pages), un roman adulte repéré chez Isabelle.
Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du marathon et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes.
Pour d’autres idées autour de l’Inde, les autres participantes: Hilde, Nathalie (IG), Chicky Poo, Isabelle, L’Orouge (IG), Books&City (IG)…
Vendredi 1er août 2025
(16h) Mes heures de travail de la journée étant finies, enfin le week-end après une semaine de reprise surchargée! Je commence par aller voir qui y participe et récupérer les liens comme celui de Chicky Poo qui a prévu de lire La tresse, l’album jeunesse adaptant le roman originel et de visionner le film éponyme réalisée par l’autrice elle-même, Laetitia Colombani et sorti en 2023, sans oublier une belle pile de BD très tentantes. De son côté, Hilde a commencé dès ce matin à relire Le Cheval en feu d’Anuradha Roy.
Bon week-end et à plus tard!
(19h20) Finalement, plutôt que lire, Chicky Poo m’a donné envie de regarder en cette fin d’après-midi le film La tresse qui reprend la structure narrative du roman en alternant entre le destin des 3 femmes interprétées par Mia Maelzer, Fotini Peluso et Kim Raver: Smita (et sa petite fille Lalita) en Inde, Guilia en Italie et Sarah au Canada et une mise en scène classique, pour ne pas dire plate et une musique un peu trop appuyée à mon goût dans le côté dramatique. Le récit est pourtant en lui-même suffisamment touchant. Comme pour le roman feel good dans lequel j’avais retrouvé les mêmes défauts, j’ai été bien plus sensible à la situation de Lalita et de sa mère. Je suis curieuse d’avoir l’avis de Chicky Poo.
Puis nous partons pour une soirée-plage à Villefranche-sur-Mer et pendant que mon mini lutin et son père vont dans l’eau, je commence à lire Cueilleuse de thé de Jeanne-Marie Sauvage-Avit (éd. Charleston, mars 2021, 321 pages) tout en grignotant notre pique-nique. A la nuit tombée, j’en profite pour faire une photo pour le thème de demain du Projet 52-2025 de Ma’ qui est « Soirée ».
Samedi 2 août 2025
(10h30) Réveillée tôt, j’ai continué à lire ce matin Cueilleuse de thé de Jeanne-Marie Sauvage-Avit, un roman dans lequel je suis pour le moment, Shemlaheila, une jeune femme âgée de 20 ans dont la mère vient de décéder et qui, après près de 10 ans, arrive à quitter le Sri Lanka et la plantation de thé de Ceylan où elle travaillait pour rejoindre sa terre natale, l’Inde pour un nouveau départ, d’abord auprès de sa tante Jarulpa, dans le village de Ramyallu.
Je fais également un tour sur les blogs des autres participantes et sur Instagram, L’Orouge et Books&City nous ayant rejointes. Isabelle, Hilde (et Mr. Hilde) et Chicky Poo sont passés en cuisine avec des préparations aux saveurs indiennes et gourmandes: Un shaak de petits pois au lait de coco chez Isabelle, un plat de poulet aux épices et au lait de coco et un lassi à la banane chez « les » Hilde et des cookies chez Chicky Poo (un incontournable des RAT!). Miam miam! Il est temps d’aller déjeuner un plat indien avec du poulet tandoori accompagné de riz basmati, noix de cajou et raisins blancs. Pour la recette du poulet, j’ai suivi celle que j’utilise à chaque fois: des blancs de poulet, un oignon, du lait de coco, un sachet d’épices tandoori et des noix de cajou non salées. A plus tard!
(20h10) Avant de passer à table, un petit tour par ici pour actualiser mon billet et passer chez les copinautes et Instagram. Après une matinée à lire La cueilleuse de thé, nous avons lu avec mon mini lutin, en début d’après-midi le tome 1 de Folklore, La mécanique des rêves de Loïc Clément, Anne Montel et Maud Begon (éd. Dargaud, mai 2025, 56 pages), une BD jeunesse joliment illustrée et à partir de 9 ans dans laquelle on suit la quête initiatique d’une jeune adolescente, Gayatri qui vient de recevoir sa clé pour Babel et qui devra choisir entre son rêve d’être réparatrice ou se conformer à son destin tout tracé d’héritière en succédant, le moment venu, à son père à la tête d’une famille noble du Jaipura, la terre des panthères. Un très bon moment de lecture avec cette BD! De leur côté, Hilde a commencé à lire un roman jeunesse, Le Courage d’Amal après avoir fait des biscuits, Chicky Poo après son travail a continué à lire des BD et l’album jeunesse La tresse avant de regarder ce soir le film, tandis qu’Isabelle est repartie derrière les fourneaux pour une crème de pommes de terre à la cardamome et des roulés à la cannelle.
Bonne soirée à tous! A demain!
En début soirée, nous avons fini de regarder la dernière demi-heure de l’épisode 4 de Star Wars, Un nouvel espoir, une première pour mon mini lutin qui a adoré, après avoir découvert cet univers avec Star Wars, 5 minutes pour s’endormir, 12 histoires pour les tout-petits. Avant de commencer l’épisode 5, L’Empire contre-attaque, il a d’ailleurs voulu relire l’histoire consacrée à ce film. Forcément un clin d’œil aux Étapes indiennes puisque Georges Lucas s’est inspiré de nombreuses mythologies et certainement celle aussi hindoue comme Mahabharata, une épopée sanskrite pour écrire sa saga.
Puis après cette soirée film, j’ai repris ma lecture de la Cueilleuse de thé avec quelques chapitres.
Dimanche 3 août 2025
Encore réveillée tôt, j’ai continué à lire, en e-book, la Cueilleuse de thé, Shemlaheila ayant réussi à gagner l’Angleterre par bateau et à obtenir une carte de séjour, en travaillant d’abord dans un restaurant-bar indien puis comme aide à domicile pour s’occuper d’une dame âgée, Twinny tout en suivant des cours en auditeur libre à l’université, loin des difficiles conditions de travail au sein de la plantation au Sri Lanka et du répugnant kangani, Datu-Guemi, contrairement à l’épouse de ce dernier, Pokonaruya qui subit quotidiennement sa violence et celle de sa belle-mère et les autres cueilleuses comme Mohanty, une jeune fille de 12 ans qui rêve d’être docteur et sa mère. Même si le bandeau indique « Prix du Livre Romantique », la romance est très accessoire. Il s’agit avant tout du parcours de Shemlaheila qui souhaite après l’anglais et la comptabilité, ayant l’espoir de devenir vendeuse dans les bureaux de la plantation. Pour le moment, j’apprécie toujours ma lecture et le personnage de Shemlheila, une belle jeune femme naïve mais courageuse et déterminée qui veut dépasser sa condition et être libre.
Après le déjeuner (un barbecue avec des brochettes de poulet, saucisses, maïs en épi et tomates cuites à l’ail), j’ai fini de lire la Cueilleuse de thé, un bon moment de lecture dramatique dans l’ensemble, malgré quand même beaucoup de facilités scénaristiques. Il n’est pas si simple de s’affranchir de sa condition sociale, tant au Sri Lanka et en Inde (doublée de la condition d’être une femme) qu’en Angleterre, en tant qu’immigrée, Shemlaheila étant très vite exploitée.
(20h). Petite mise à jour rapide par ici et passage chez les copinautes avant une nouvelle soirée ciné avec la suite de L’Empire contre-attaque. J’ai fini de lire la Cueilleuse de thé. De leur côté, Chicky Poo a continué à lire des BD tout en mettant à jour son carnet de lectures, Hilde a commencé un nouveau roman, Pondichéry ou le rivage des ombres d’Anne Vantal et Isabelle Une façon d’aimer de Dominique Barbéris.
Je repasserai demain mettre à jour ce billet. Bonne fin de RAT et bonne fin de week-end à tous!
Petit bilan de RAT: J’ai pris encore grand plaisir à y participer. Encore merci à Hilde de l’avoir organisé. J’ai noté ou remis en avant dans ma PAL tout un tas de livres, indiens ou non. A voir si je les lirai rapidement ou non.
Participation #7 Challenge Les Étapes Indiennes 2025 de Hilde #RAT
Pour une lecture commune proposée par Hilde dans le cadre de son challenge Les Étapes Indiennes 2025, j’ai lu Chârulatâ de Rabindranath Tagoré (éd. Zulma, février 2009, 128 pages), un court roman paru pour la première fois en 1901 sous le titre Le Nid gâché, l’auteur bengali ayant reçu le Prix Nobel de littérature en 1913. Le titre actuel choisi par la maison d’édition est celui repris du film indien de Satyajit Ray sorti en 1964 mais je préfère le titre originel.
Cette courte histoire se déroule dans une riche demeure bengali disposant d’un gynécée, réservée aux femmes. Chârulatâ est une jeune femme mariée, très jeune, depuis de nombreuses années avec Bhupati qui la délaisse pour son travail. Ce couple dont le mariage a été arrangé est sans enfants. Face à l’ennui de son épouse, Bhupati fait venir chez eux son cousin Amal, un jeune étudiant qui rêve d’une carrière littéraire et Mandakini, la femme du frère de Chârulatâ. Très vite, une complicité se crée entre Chârulatâ et Amal qui se retrouvent dans le jardin autour d’un projet d’écriture. L’attirance intellectuelle se transforme alors en passion amoureuse pour la jeune femme. Le drame est-il inéluctable? Une seconde chance est-elle possible pour les époux?
L’auteur dépeint, avec une certaine ironie, l’évolution des sentiments au sein de ce triangle amoureux, au cœur d’une famille élargie, ce qui fit scandale lors de sa parution, même si tout est bien chaste et tout en retenue. Chârulatâ semble acculée, face à un époux distrait, naïf et absorbé dans son travail au sein du journal de langue anglaise qu’il a fondé et à un cousin qui lui témoigne un peu d’attention dont elle n’est pas coutumière et une passion commune pour la littérature. Il y est ainsi question de relation de couple au sein d’un mariage arrangé, de passion, de désespoir amoureux, de jalousie, de la condition de femme à l’époque du Raj britannique, son époux étant plus tourné vers l’Occident – l’Angleterre alors qu’elle, est confinée aux traditions et habitudes culturelles indiennes qui la cantonnent à un rôle d’épouse soumise et qui tente pourtant, au contact du cousin de son mari, de s’émanciper à travers la littérature et l’écriture en se découvrant un certain talent dans la composition de textes, bien plus qu’Amal…
Malgré des réactions souvent exagérées voire théâtrales, la jeune femme se révèle plus attachante qu’il n’y paraît dans une société indienne de la fin du XIXe siècle qui la cantonne à un rôle d’épouse soumise. Elle ne sait pas gérer ses émotions, ses premiers émois amoureux non partagés, entre complicités, malentendus et trahisons. De son côté, Bhupati est très paternaliste plutôt qu’époux, réalisant trop tard que son épouse est devenue une femme. Peut-être qu’in fine cela dénonce les mariages arrangés où aucun ne peut s’épanouir. Certains biographes de l’auteur ont vu des éléments autobiographiques dans ce roman, ce dernier ayant été proche de l’une de ses belles-sœurs plus âgées que lui et qui partageait ses goûts littéraires et qui s’était suicidée, à 25 ans, peu de temps après son mariage arrangé avec Mrinalini Devi une fillette de 10 ans alors qu’il avait 22 ans.
Cette lecture m’a permis de découvrir cet auteur dont ce roman est à remettre dans le contexte de l’époque même si malheureusement, en Inde, comme dans d’autre pays, le mariage arrangé des enfants est toujours une triste réalité. J’ai également apprécié le rapprochement intellectuel via le goût de la littérature et de l’écriture et la tentative d’émancipation féminine avant que tout bascule. Pour prolonger ma lecture, j’ai prévu de regarder le film de 1964.
C’est également une participation pour le Challenge 2025 sera classique, le thème de juillet étant les classiques indiens.
Pour d’autres avis sur ce roman: Hilde (IG), Lou, Ewa (IG) et Books&City (IG).
Participation #6 Challenge Les Étapes Indiennes 2025 de Hilde #LC
Participation #8 Challenge 2025 sera classique aussi! de Nathalie #Roman indien
Participation #21 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2025 de Bidib #Inde
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