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Point lecture hebdomadaire #9

En ce début de semaine, voici notre point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures de la semaine dernière, celle en cours et sans doute nos prochaines, avec un passage à la médiathèque.

Nos lectures du 27 septembre au 3 octobre 2021:

Des albums jeunesse:

Cette semaine, nous avons relu beaucoup d’albums jeunesse surtout axés sur l’automne et Halloween mais aussi le tome 2 des Chiens pirates, Prisonniers des glaces.

  • (Album jeunesse) 6 aventures au refuge des petits ours de Françoise Le Glohaec et Guillaume Trannoy

Nous avons lu les deux premières histoires de 6 aventures au refuge des petits ours de Françoise Le Glohaec et Guillaume Trannoy (éd. Hemma, 2008), un album jeunesse choisi par mon mini lutin dans la bibliothèque de son école. A la fin de chaque histoire, il y a une note explicative sur l’animal mis en avant, une page de vocabulaire, une page de questions sur la compréhension de l’histoire et un jeu de connaissances sur les animaux.

Dans les deux premières histoires lues, il est question de maltraitance animale, un petit yorkshire ayant été abandonné en forêt par son propriétaire et une autruche ayant fui un zoo. Heureusement, ces animaux seront soignés et trouveront une vie plus agréable au refuge des petits ours. En feuilletant les autres histoires, j’ai vu qu’il était question par exemple des expérimentations animales avec un singe s’étant enfui d’un laboratoire testant des médicaments. Une lecture qui nécessite un accompagnement pour les plus jeunes même si le propos est atténué par les illustrations colorées et les fins heureuses!

  • (Album jeunesse) Capucine, la petite sorcière de Tanguy et Quentin Gréban

Nous avons également lu l’intégrale de Capucine, la petite sorcière de Tanguy et Quentin Gréban (éd. Mijade, rééd. 2020), un album jeunesse comprenant trois histoires. Dans la première histoire, Capucine est victime d’un sort qui la rend toute petite après avoir avalé par mégarde une perle du collier d’une gentille sorcière volée par son père. Elle part rencontrer la sorcière pour briser le sortilège. Dans la deuxième, Capucine apprend la sorcellerie commettant parfois des erreurs, son ami Nicolas se transformant en dragon après qu’elle a raté un sort. Et dans la troisième histoire, un robot pénètre avec Capucine au pays des rêves mais aucun des deux ne sait comment en ressortir. Il est ainsi question de magie, d’amitié, d’apprentissage, de persévérance et de courage. Un bon moment de lecture avec cette apprentie sorcière!

Des romans jeunesse:

  • (Roman jeunesse) Amélia Fang et le trésor des Yétis de Laura Ellen Anderson (T5)

J’ai fini de lire le tome 5 d’Amélia Fang, Amélia Fang et le trésor des Yétis de Laura Ellen Anderson (éd. Casterman, 2021, 237 pages). Amélia, Florence, Grimaldi et Tangine passent un séjour au mont des Yétis pour les 350 ans de la grand-mère de Florence. Mais alors que la fête bat son plein, des objets pailletés des yétis disparaissent puis plus tard Tangine. Encore une chouette aventure d’Amélia et ses amis qui résolvent une nouvelle fois une enquête pailletée et « citrouillée »!

  • (Roman jeunesse) Les tribulations d’Esther Parmentier, Cadavre haché Vampire fâché, Une enquête sang pour sang de Maëlle Desard (T1)

Je lis, je dirai même je dévore, également Les tribulations d’Esther Parmentier, Cadavre haché Vampire fâché, Une enquête sang pour sang de Maëlle Desard (éd. Rageot, 2020, 383 pages), un roman jeunesse pour adolescents repéré chez Tiphanya dans ses coups de cœur. La narration est à l’image du titre du roman, avec de nombreuses références à la pop culture et beaucoup d’humour, avec les premiers pas d’Esther Parmentier en tant que sorcière stagiaire auprès de l’agent Loan qui est chargé d’enquêter sur la disparition d’adolescents à Strasbourg et alentour.

Il y est aussi question de paillettes mais pas les mêmes que dans Amélia Fang. La jeune femme de 19 ans a un tempérament explosif et ne se laisse pas faire par son tuteur, l’agent Loan, même si au vu de son inexpérience du monde magique et de son jeune âge, elle arrive quand même à tout démêler très rapidement. Un très bon moment de lecture en compagnie d’Esther, une sorcière atypique mais attachante! J’ai déjà noté qu’un deuxième tome est paru.

Ma lecture en cours:

(Roman jeunesse) Winterwood, La forêt des âmes perdues de Shea Ernshaw

Le week-end, je lis presque la moitié de Winterwood, La forêt des âmes perdues de Shea Ernshaw (éd. Rageot, 2020, 399 pages) avec l’histoire de Nora Walker, jeune fille de 17 ans et descendante d’une lignée de sorcières qui recueille Oliver Huntsman après l’avoir découvert dans la neige une nuit de pleine lune dans la sombre forêt de Wicker Woods et alors que celui-ci a disparu depuis 15 jours du camp de redressement, en pleine tempête hivernale. Comment a-t-il pu survivre au froid? Et que s’est-il passé le soir de sa disparition? Le style d’écriture est radicalement différent de ma lecture précédente, beaucoup plus poétique et introspectif, alternant les points de vue entre Nora et Oliver sous fond de huis-clos oppressant. J’enchaîne les pages même si j’ai déjà mon idée sur Oliver et la relation qui le lie à Nora.

Point lecture hebdomadaire #3

La semaine dernière, nous sommes passés à notre médiathèque estivale pour des emprunts de quelques jours. Alors voici, avec un peu de retard, notre point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures de la semaine dernière et celle en cours. Certains des livres ont déjà été rendus et ne sont donc pas présents sur la première photo d’illustration de ce billet.

Nos lectures du 16 au 22 août 2021:

Des albums jeunesse:

  • Comme un grand de Rachel Bright et Jim Field

Nous lisons Comme un grand de Rachel Bright et Jim Field (éd. Deux coqs d’or, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans. Petit Loup se sent fort et grand et veut être le chef de la meute. Il pense pouvoir tout faire tout seul. Mais lorsque la meute part chercher un nouvel abri, le louveteau se perd. Parviendra-t-il à se débrouiller comme un grand? Il est question d’autonomie, d’entraide, d’amitié et de famille. Grandir c’est aussi compter sur ses amis et sa famille. Un très bon moment de lecture avec cet album jeunesse aux jolies illustrations hivernales!

  • Gipsy Panda de Quentin Gréban

Puis nous lisons également Gipsy Panda de Quentin Gréban (éd. Mijade, 2011), un album jeunesse à partir de 3 ans. Le quotidien doux et tranquille de Gipsy Panda est mis à mal avec l’arrivée d’une poule dans sa roulotte. Un très bon moment de lecture avec cette histoire rigolote, le lecteur sachant avant le panda la présence de la poule, ce qui provoque forcément le rire! Nous apprécions toujours autant les illustrations de Quentin Gréban, ici avec un panda tracassé et une poule un brin farceuse malgré elle. A noter toutefois que les plus jeunes lecteurs ne comprendront pas les propos de la biquette à la première page, cette dernière traitant le panda de voleur de poule. L’auteur prend en effet à contrepied les préjugés à l’encontre des Tsiganes ou des Gitans, « Gipsy » en anglais. Dans cette histoire, tout se terminera en amitié entre le panda et la poule.

Des albums jeunesse rigolos de la série « Comment ratatiner », à partir de 3 ans:

Nous avions découvert cette série livresque l’année dernière, à Halloween avec Comment ratatiner les ogres?, une manière rigolote de dédramatiser les petites et grandes peurs des monstres chez les plus jeunes.

  • Comment ratatiner les araignées? de Catherine Leblanc et Roland Garrigue (éd. P’tit Glénat, 2012) pour ne plus en avoir peur, la fin de l’album rappelant leur rôle dans la Nature et en particulier dans la maison, en se nourrissant des bestioles.
  • Comment ratatiner les sorcières? de Catherine Leblanc et Roland Garrigue (éd. P’tit Glénat, 2009) pour apprendre à repérer les sorcières et les chasser, l’album ne mettant en scène que de méchantes et vilaines sorcières. Un petit avant-goût halloweenesque!
  • Comment ratatiner les pirates? de Catherine Leblanc et Roland Garrigue (éd. P’tit Glénat, 2010) pour apprendre à déjouer leurs pièges tout en conservant leurs trésors, à moins que le pirate ne soit selon les situations les parents ou les enfants.

Des BD adulte:

J’ai également lu les deux premiers tomes de la BD, M.O.R.I.A.R.T.Y de Fred Duval, Jean-Pierre Pécau, Stevan Subic et Scarlett. Dans le premier tome, Empire mécanique 1/2 (éd. Delcourt, 2018), en 1899, Sherlock Holmes démasque un automate joueur de cartes dans un club londonien. Au même moment, le Dr. Jekyll tente de se remettre de blessures par balles infligées par la police à Mr. Hyde, n’ayant pas réussi à endormir son double à temps alors qu’il était en train de prendre de l’opium. Porté disparu, Sherlock Holmes est appelé pour le retrouver. Dans le deuxième tome, Empire mécanique 2/2 (éd. Delcourt, 2019), Sherlock Holmes tente de découvrir, avec l’aide de son frère Mycroft, qui se cache derrière les dangereux automates Hyde, la reine Victoria étant en danger.

Je n’ai pas du tout accroché aux illustrations qui dénotent par rapport à celles des couvertures. J’ai trouvé l’ambiance trop glauque et le graphisme trop sombre bien que steampunk, où il est bien difficile de discerner les traits des protagonistes. Je ne pense pas que je lirai la suite, restant sur l’intuition de Sherlock Holmes quant à l’identité de Moriarty qui n’a pas été révélée.

Des romans adulte:

  • Betty de Tiffany McDaniel (éd. Gallmeister, 2020, 720 pages)

Betty Carpenter commence par raconter la rencontre de ses parents et leur errance à travers les États-Unis en fonction du travail trouvé par le père, un Cherokee et des grossesses de la mère, une femme blanche pauvre puis leur retour dans la vie natale de la mère, dans l’Ohio. Puis le roman se focalise sur la vie de la narratrice, Betty née en 1954, de son enfance auprès d’un père aimant et d’une mère meurtrie par la vie et fragile.

Au fil des années qui passent jusque dans les années 70, Betty doit vivre avec de nombreux secrets de famille, plus terribles les uns que les autres et les décès qui touchent sa fratrie. Son passage de l’enfance à l’âge adulte ne sera pas sans douleurs, Betty, « Petite Indienne » métisse, étant confrontée au racisme, à l’inceste et aux deuils. Rien ne semble l’épargner et pourtant je retiendrai surtout de ce roman la relation tellement belle et lumineuse entre Betty et son père, un homme proche de la Nature et ayant su conserver, malgré les violences subies, ses racines cherokee dont il est fier et les transmettre à ses enfants, comme par exemple le secret des plantes médicinales. A la fois poète et guérisseur, débordant d’imagination et d’optimisme, ce dernier essaie de préserver l’innocence enfantine de ses enfants en apportant une beauté magique à des événements qui sont en réalité douloureux. Par moment, ce roman me rappelle Là où chantent les écrevisses de Delia Owens.

  • Hamnet de Maggie O’Farrel (éd. Belfond, 2021, 368 pages)

Un jour d’été, en 1596, Hamnet, un jeune garçon de 11 ans cherche désespérément de l’aide auprès d’un adulte, sa sœur jumelle Judith étant gravement malade. Mais il ne trouve personne, pas même le médecin et rejoint sa sœur dans leur chambre avant de s’endormir à son tour. Au retour de la famille, personne ne voit qu’Hamnet est malade, tous étant concentrés pour sauver la jumelle plus fragile, Judith.

Dans ce roman historique quoique très romancé et bien écrit, je suis les dernières heures de vie de Hamnet, le fils de William Shakespeare, décédé selon l’autrice de la pestilentielle même si la cause de son décès ne sera jamais connue. Au-delà de ce jeune garçon, c’est surtout la vie de sa mère, Agnès qui est mise en avant (femme forte et déterminée ayant grandi avec une crécerelle apprivoisée, un brin sorcière) et dans une moindre mesure de son mari, William, ancien précepteur qui passe tout son temps à Londres, à écrire et gérer sa troupe de théâtre, prenant ainsi de la distance avec son père maltraitant. A travers ce couple en train de perdre leur fils, il est question de deuil. La perte de cet enfant fragilise le couple. Agnès sombre dans la dépression, se reprochant de n’avoir rien vu alors qu’elle a le don de lire la destinée des gens et de les soigner et William se réfugiant à Londres, écrivant alors sa tragédie Hamlet.

Après avoir lu Betty, les personnages du père et ici de la mère se rapprochent dans leur contact avec la Nature, leur connaissance des plantes et herbes médicinales, leur approche du monde ésotérique ainsi que l’amour qu’ils portent à leurs enfants.

Ma lecture en cours:

(Roman) Anne d’Avonlea de Lucy Maud Montgomery (éd. Monsieur Toussaint Laventure, 2021, 344 pages)

Comme j’avais pris deux romans à la médiathèque pour une semaine, je n’ai avancé que de deux chapitres cette lecture, découvrant Anne en jeune institutrice enthousiaste, pleine de bonne volonté et se laissant encore emportée dans son imagination qu’elle a eu su conserver de son enfance.

Ce sera également ma lecture de la semaine prochaine.

Challenge Petit Bac d’Enna #11 et 12 Catégorie Prénom: « Betty » et « Hamnet »

Participation #19 au Challenge Cottagecore 2021 de MissyCornish #Les propriétés et jardins dissimulés

challenge 2021 lire au féminin

Participation #53 au Challenge Lire au féminin de Tiphanya #Autrices américaine et anglaise

 

Nos lectures pour la Fête des Mères 2021

En ce dimanche de la Fête des Mères, nous (re)lisons des albums jeunesse qui mettent à l’honneur les mamans et/ou les relations mère/enfant(s).

  • Suzette, Un cadeau pour Maman

Nous avions déjà lu l’année dernière, Suzette, Un cadeau pour Maman de Quentin Gréban (éd. Mijade, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans. Suzette, une petite coccinelle rentre de l’école avec un joli cadeau pour la fête des mères. Mais en chemin, le temps se gâte et la petite coccinelle casse son cadeau. Elle demande de l’aide à ses amis pour en fabriquer un nouveau. Une belle histoire pleine de poésie et de tendresse et aux magnifiques illustrations!

  • Maman

Nous lisons également Maman d’Hélène Delforge et Quentin Gréban (éd. Mijade, 2018), un album jeunesse grand format à partir de 6 ans voire plutôt pour les plus grands. Il s’agit de magnifiques portraits de mère. Les illustrations de Quentin Gréban sont magnifiques, tout en tendresse et poésie et accompagnent à merveille des textes provoquant émotions et souvenirs. Une véritable ode à l’amour filial et maternel, un amour inconditionnel! Un livre à feuilleter sans modération!

  • Mon amour

Nous lisons aussi Mon amour d’Astrid Desbordes et Pauline Martin (éd. Albin Michel Jeunesse, 2015), un album jeunesse à partir de 3 ans et qui décrit l’amour inconditionnel d’une mère pour son enfant, quoi qu’il fasse. En effet, sur chaque double page, les illustrations montrent deux situations contraires de moment de vie entre la mère et son enfant et qui se rejoignent dans un même sentiment immuable, l’amour maternel. Comme dans Maman, une délicate et tendre déclaration d’amour maternel mais plus accessible aux jeunes lecteurs qui pourront se reconnaître dans les situations décrites!

  • Pirates!

Nous relisons Pirates! de John Condon et Matt Hunt (éd. Gautier-Languereau, 2020), un album jeunesse à partir de 3 ans et dont j’ai déjà parlé il y a quelques jours. Tom, un petit garçon guette tous les jours le retour des pirates. Une histoire rigolote pour toutes les mamans pirates!

Nos lectures « Pirates » 2021

Depuis un certain temps, nous lisons et relisons beaucoup d’histoires de pirates. Alors j’ai eu envie de compiler nos lectures dans un même billet qui sera actualisé au fur-et-à-mesure de nos lectures.

Des albums jeunesse:

  • Zéphir de Quentin Gréban (éd. Mijade, 2008, rééd. 2017), un album jeunesse à partir de 3 ans. Zéphir est un terrible pirate qui découvre un trésor avec l’aide d’un chat. Et si l’amitié était un trésor?
  • Rikiki terrible pirate des mers de Marianne Barcilon (éd. L’école des loisirs, 2014, rééd. 2019), un album jeunesse à partir de 3 ans. Rikiki est le fils d’un couple de redoutables pirates qui sillonnent les mers et océans. Mais lui doit rester à terre, auprès de sa grand-mère. Un jour, il monte en douce dans le bateau de ses parents qui s’apprêtent à affronter les pirates de Barbe Noire. Sera-t-il les aider?
  • Marie-Baba et les 40 rameurs de Carole Tremblay et Dominique Jolin (éd. Dominique et compagnie, 1998), un album jeunesse à partir de 4 ans. Le père de Marie-Baba, un pirate, lui organise pour son anniversaire une chasse aux trésors, après lui avoir offert quarante rameurs pour sa galère. La petite fille trouvera-t-elle tous les indices lui permettant de trouver le trésor?
  • le tome 1 des Chiens Pirates Adieu Côtelettes! de Clémentine Mélois et Rudy Spiessert (éd. L’école des loisirs, 2020), un album jeunesse à partir de 6 ans, les chiens pirates partant à l’abordage d’un navire dont les trois occupantes sont en plein goûter et qui les transforment en gentils chiens de compagnie
  • le tome 2 des Chiens Pirates, Prisonniers des glaces! de Clémentine Mélois et Rudy Spiessert (éd. L’école des loisirs, 2020), un album jeunesse à partir de 6 ans, les chiens pirates partant à la découverte de l’Antarctique
  • Pirates! de John Condon et Matt Hunt (éd. Gautier-Languereau, 2020), un album jeunesse à partir de 3 ans et qui reprend la fable d’Ésope, Le garçon qui criait au loup. Tom, un jeune garçon surveille chaque jour au sommet de la colline l’arrivée des pirates.

Des documentaires jeunesse:

  • Les pirates d’Anne-Sophie Baumann, Rémi Saillard et Olivier Nadel (éd. Nathan, Kididoc, 2014, rééd. 2020), un documentaire jeunesse cartonné à flaps à partir de 5 ans pour en savoir plus sur les pirates, leur mode de vie et leurs bateaux.

Des histoires parlant de pirates mais pas que:

  • Les fabuleux navires du capitaine Squid d’Éric Puybaret (éd. Margot, 2016), un album grand format à partir de 6 ans. Sur son lit de mort, le capitaine Squid rassemble son équipage pour lui raconter les nombreux navires qui ont marqué sa vie ainsi que leurs capitaines, chacun ayant le secret espoir de découvrir un jour un navire mille fois plus beau que le leur. Parmi ses navires, il y avait un bateau pirate.
  • Le livre de Charlie de Julia Donaldson et Axel Scheffler (éd. Autrement Jeunesse, 2006), un album jeunesse à partir de 3 ans et parlant d’un livre de pirate

Et aussi des histoires dans lesquels les personnages jouent aux pirates:

  • Les copains de la colline de Linda Sarah et Benji Davies (éd. Milan Jeunesse, 2014, rééd. 2019), un album jeunesse à partir de 4 ans. Trois enfants s’amusent ensemble en s’invitant plein d’histoires et notamment des jeux de pirates.
  • Le voleur d’histoires de Graham Carter (éd. Kimane, 2021), un album jeunesse à partir de 3 ans, Olivia part à la recherche d’un voleur de livres, devant par moment pirate.
  • le tome 1 de Jeu de gamins, Les pirates de Mickaël Roux (éd. Bamboo, 2012), une BD à partir de 7 ans avec trois amis, Max, Théo et Léon qui passent leur temps libre à jouer aux pirates.
  • Capitaine Jules et les pirates de Peter Bentley et Helen Oxenbury (éd. L’école des loisirs, 2016), un album jeunesse à partir de 3 ans avec trois enfants jouant sur la plage.

Au fil des pages avec les abeilles

Nous lisons les deux albums jeunesse achetés lors de la 25ème Fête du Miel de Mouans-Sartoux. Nous commençons par Lou P’tit Loup et les abeilles d’Antoon Krings (éd. Gallimard Jeunesse, coll. Giboulées, 2014). Lou P’tit Loup accompagne Nounours, un ourson déguisé en abeille, à chercher du miel. Mais au lieu d’une ruche, il tombe sur une cachette de noisettes d’un écureuil qui arrive très mécontent. Arriveront-ils à se régaler avec du miel? Cette histoire aux jolies illustrations permet une première approche des abeilles et du comportement à adopter si nous sommes prêts d’elle. Elle aborde aussi le thème de la peur puisque Lou P’tit Loup arrive à passer outre sa peur des abeilles depuis qu’il s’est fait piquer par l’une d’elles.

Puis nous lisons Mélie d’Isabelle Maquoi et Quentin Gréban (éd. Mijade, 2009), un album jeunesse à partir de 3 ans. Cette fois-ci nous suivons Mélie, une abeille impatiente de découvrir le vaste monde. Après l’attaque d’un ours, elle va pouvoir sortir de la ruche et après avoir affronté de nombreux danger, découvrir un beau champ de tournesols. Là encore, cette histoire permet d’aborder la vie des abeilles à travers leurs différents métiers, leur rôle dans la pollinisation des fleurs mais aussi leurs prédateurs. Les illustrations de Quentin Gréban sont magnifiques. Coup de cœur pour cet album jeunesse!

Pour prolonger la lecture, nous faisons des activités autour du dernier album: des collages d’abeilles sur une ruche, des puzzles de la couverture de Mélie (qui d’ailleurs veut dire abeille en grec ancien), un jeu des paires, des imagiers sur les abeilles, la ruche, le métier d’apiculteur, les fleurs, etc. Nous jouons aussi avec une marotte de Mélie, une abeille magnétique ainsi qu’une abeille et des fleurs que j’avais fabriquées en feutrine.

L’occasion également de relire un ancien album jeunesse pour les tout-petits: Petit Ours, une histoire adorable pour les tout-petits (éd. L’imprévu, coll. Drôles de p’tits yeux, 2015). Trop gourmand, Petit Ours vole du miel dans la ruche des abeilles. Très mécontentes, ces dernières le poursuivent. Petit Ours sera aidé dans sa fuite par des animaux de la forêt. Puis après son mea culpa, tout se finira par un goûter de miel bien sûr! Ce petit album jeunesse cartonné permet d’aborder avec les tout-petits la gourmandise, l’amitié et l’entraide mais aussi les émotions de joie et de colère.

Challenge Petit Bac d’Enna – #3 catégorie Lecture: « Histoire », #4 catégorie Prénom « Lou »

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