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Point lecture hebdomadaire 2024 #39

En ce début de semaine, voici mon point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures (mais pas nos relectures) de la semaine dernière.

Nos lectures du 23 au 29 septembre 2024:

Des lectures jeunesse:

Nous avons continué chaque soir et presque fini de lire Le jardin secret de Frances H. Burnett (éd. Gallimard Jeunesse, coll. Folio Junior, rééd. 2010, 319 pages), un roman jeunesse à partir de 10 ans et qui fut publié pour la première fois en 1911. Encore une belle découverte pour mon mini lutin qui a hâte de découvrir le dernier chapitre des aventures de Mary, Colin et Dickon et une relecture pour moi!

Des lectures adulte:

  • (Romance policière steampunk) De passion, d’éther et de fumée de Romane Clessie (T2)

Après avoir bien apprécié De larmes, de rouille et d’acier,  j’ai lu, en e-book, De passion, d’éther et de fumée de Romane Clessie (éd. Bookmark, coll. Onirique, septembre 2024, 432 pages), un romance policière se déroulant dans un monde steampunk, rétrofuturiste inspiré de l’ère victorienne, se déroulant 3 mois après les événements du précédent tome. L’autrice en parle comme un spin-off mais comme elle, je vous conseille de lire la première enquête menée par Violette, une recyclée et prétendante. Le commissaire Léandre Mortimer, âgé de 26 ans, est chargé d’enquêter sur la disparition du professeur Ambroise Brown, sur l’insistance de sa fille, Joséphine, âgé de 20 ans. S’associant pour mener l’enquête, ils mettent leur vie en danger, leurs découvertes semblant liées à l’éther, une pratique occulte prohibée et une affaire vieille de 21 ans vite enterrée par les autorités de l’époque, les machines s’étant soulevées dans les bas-fonds de Néo-Terra. J’ai apprécié le duo Joséphine/Léandre, leurs caractères (tout comme celui de la tortue mécanique Echo) et leur jolie romance qui ne prend pas le pas sur leur enquête. Encore un très bon moment de lecture!

Point lecture hebdomadaire 2024 #31

En ce début de semaine, voici mon point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures (mais pas nos relectures) de la semaine dernière.

Nos lectures du 29 juillet au 4 août 2024:

Des lectures jeunesse:

Côté jeunesse, nous n’avons eu que des relectures avec mon mini lutin encore cette semaine.

Des lectures adulte:

  • (Roman policier) Les vacances d’Hercule Poirot d’Agatha Christie

J’ai lu, en e-book, Les vacances d’Hercule Poirot d’Agatha Christie (éd. Le Masque, rééd. janvier 2013, 210 pages), un roman policier paru pour la première fois en 1941. En vacances dans une station balnéaire d’une petite île au large des côtes du Devon, Hercule Poirot est amené à enquêter sur le décès d’une autre vacancière, Arlena Stuart, starlette dont la beauté fait tourner la tête des hommes et attise la jalousie des femmes. Qui a bien pu la tuer? Son mari? La femme de son dernier amant en date? Encore une enquête rondement menée dans ce huis-clos insulaire estival! J’en reparle très vite.

  • (Romance paranormale) Meya Daeblone, Plat de résistance de Mélodie Smacs (T3)

J’ai lu, en e-book, le tome 3 de Meya Daeblone, Plat de résistance de Mélodie Smacs (éd. Urban Infinity, février 2023, 319 pages), une romance paranormale entre Meya, une démone de la Gourmandise de 103 ans désormais enfermée dans les Geôles de Cerbère et Nathan, un ange qui va tout tenter pour l’en délivrer. Dans ce tome, l’intrigue se poursuit essentiellement sous le point de vue de Nathan, ce qui permet d’en savoir plus sur lui, ce que j’ai apprécié même si on perd l’humour des tomes précédents. 

  • (Romance paranormale) Meya Daeblone, Mignardises de Mélodie Smacs (T4)

J‘ai continué en lisant, en e-book, le dernier tome de Meya Daeblone, Mignardises de Mélodie Smacks (éd. Urban Infinity, septembre 2023, 274 pages), une romance paranormale qui conclut cette tétralogie tout en répondant aux questions entourant la nature de Meya, l’équilibre précaire entre Paradis et Enfer restant précaire. Les révélations et rebondissements s’enchaînent même si j’ai trouvé que l’intrigue perdait de sa saveur et de son humour au fil des tomes pour devenir plus convenus. 

  • (Romance contemporaine) Love cocktail de Stéphanie Pradier

J’ai lu, en e-book, Love cocktail de Stéphanie Pradier (éd. HarperCollins, mars 2024, 215 pages), une romance contemporaine dont chaque chapitre commence avec une recette de cocktails, Lise et Chloé, deux amies gérantes d’un bar au bord de la faillite depuis l’ouverture d’un bar concurrent en face du leur. Tentant le tout pour le tout, elle organise des speed dating et un concours de musique pour sauver leur bar. Au cours de la première soirée de speed dating, Lise tombe sous le charme du beau et mystérieux Arnaud. Un bon moment de lecture légère et rigolote même si j’ai trouvé que Lise était quand même un peu trop gaffeuse et Arnaud un peu trop parfait! Pour un autre avis: Émilie.

  • (Roman ado) Rouge de Pascaline Nolot

J’ai lu Rouge de Pascaline Nolot (éd. Gulf Stream Éditeur, coll. Électrogène,  mai 2020, 320 pages), un roman à partir de 15 ans selon l’éditeur mais je dirai plutôt plus au vu de la réécriture très sombre du Petit Chaperon rouge et des thèmes abordés. A Malombre, un petit hameau accroché au versant du mont Gris et cerné par Bois Sombre, vit une jeune adolescente de 13 ans, Rouge, rejetée par les siens qui l’accablent de tous les maux, née d’une mère devenue folle, Lisiane et qui aurait fauté avec le Diable et présentant des difformités physiques, la tâche rouge sur son visage étant cause d’infamie. Comme les autres filles avant elle, elle est bannie une semaine après avoir eu ses premières règles pour être livrée à Grand-Mère. Son existence pourrait-il encore pire que sa vie jusqu’à présent? On y retrouve dans des rôles bien différents, la grand-mère, le chasseur et le loup. Le récit alterne entre passé et présent, avec des personnages complexes et bien travaillés, dont un rebondissement pour l’un d’eux m’a même surprise. Une réécriture réussie, sombre et prenante du conte originel, les apparences étant bien trompeuses et  la laideur et la cruauté n’étant pas là où ils semblent être de prime abord!

  • (Romance contemporaine) Speed dating, Ma boss est un dragon de Maryline Piaud (T1)

Après ma lecture précédente bien sombre, j’ai opté pour une comédie romantique légère avec le tome 1 de Speed dating, Ma boss est un dragon de Maryline Piaud (éd. Autoédition, mars 2024, 344 pages). Océane Duvernay se laisse entraîner par sa sœur dans un speed dating. Cheffe d’entreprise accomplie qui tyrannise ses employés qui l’ont surnommée le dragon, elle a laissé de côté sa vie sentimentale qu’elle garde bien secrète. Or quelle n’est pas sa surprise lorsque lors d’un des autres participants n’est autre que l’un de ses employés, Jules Garnier. Et si cette rencontre allait tout bouleverser? J’ai apprécié l’idée de départ et le trope « enemies to lovers » mais j’ai trouvé que les deux personnages aux antipodes sont un brin trop caricaturaux entre la riche et exécrable boss et son pauvre, beau et faussement réservé employé. Océane ne sait pas du tout gérer vie professionnelle/vie privée, manquant de maturité, mais heureusement, l’histoire est rigolote mais sera vite oubliée.

Au fil des pages avec L’attaque du Calcutta-Darjeeling (T1)

J’ai lu L’attaque du Calcutta-Darjeeling d’Abir Mukherjee (éd. Liana Levi, octobre 2019, 464 pages), un roman policier historique se déroulant à Calcutta, en avril 1919, au temps du Raj britannique. Il s’agit de la première enquête du capitaine Samuel « Sam » Wyndham, ancien inspecteur de Scotland Yard fraîchement débarqué de Londres à Calcutta, après avoir perdu sa femme de la grippe espagnole et été traumatisé par la Grande Guerre. Désormais capitaine dans la police impériale et dépendant des drogues (morphine et opium) et assisté par le sergent indien Satyendra « Sat » Banerjee et l’inspecteur adjoint Digby, il se voit confier une enquête politiquement sensible  puisque cela concerne le meurtre d’un haut-fonctionnaire proche du vice-gouverneur, Alexander MacAuley dont le corps a été retrouvé dans une sombre ruelle près d’un bordel et qui semblait corrompu par un magnat irlandais. Ce meurtre serait-il lié à l’attaque d’un train postal, le Calcutta-Darjeeling?

J’ai apprécié cette enquête historique qui se déroule sur une semaine, même si parfois j’aurai apprécié un peu plus de détails historiques. Les courts chapitres s’enchaînent, le lecteur découvrant en même temps que le capitaine Calcutta à l’époque du Raj britannique, dans une ambiance plus sombre que celle par exemple des enquêtes de Perveen Mistry de Sujata Massey, en particulier la troisième, Le Prince de Bombay (éd. Charleston, avril 2023, 489 pages) et avec un personnage principal plus tourmenté, même si j’ai trouvé son attirance pour Annie Grant bien rapide pour quelqu’un qui est dépeint comme ne s’étant pas remis de son deuil.

Il y est ainsi question d’inégalités sociales (avec le plafond de verre des Indiens comme le sergent Banerjee pour toute ascension sociale ou du statut indéterminé de ceux issus d’une relation mixte (indienne et anglaise) comme Annie Grant une Anglo-indienne et secrétaire de la victime, de racisme « ordinaire » (le capitaine Wyndham se reprochant très vite d’être arrogant et méprisant à l’égard des Indiens sans pour autant y mettre un terme et alors même qu’il reconnaît la compétence et l’intelligence du sergent Banerjee), des lois Rowlatt de mars 1919, des prémices du mouvement indépendantiste de l’Inde mené par Gandhi… Un bon moment de lecture qui ne manque pas d’humour indo-british, surtout de la part de Sat Banerjee et malgré quelques longueurs, l’enquête avançant lentement malgré le laps de temps écoulé! J’ai vu qu’il existait d’autres tomes que je lirai volontiers.

J’ai enfin relevé quelques passages gourmands avec des plats anglo-indiens (riz pilaf aux poissons, tourte à la viande et du whisky) même si ce sont ceux ratés de la logeuse du capitaine.

Pour d’autres avis sur ce roman policier historique qui avait fait l’objet d’une lecture commune en février 2022 pour les Étapes Indiennes à laquelle je n’avais pas pu participer, n’ayant pas réussi à l’emprunter à temps: Hilde, Rachel et Pativore.

Participation #4 Les Étapes Indiennes 2024 de Hilde #Roman policier historique

Participation #11 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2024 de Bidib et Fondant #Cuisine anglo-indienne

Participation #15 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #Royaume-Uni (Angleterre)

Participation #2 Challenge Pages de la Grande Guerre de Nathalie #La fin et les suites de la guerre

Participation #1 Le Mois Anglais 2024 de Lou et Titine #Roman policier historique

Au fil des pages avec Le Prince de Bombay (T3)

En mai dernier, j’ai lu la troisième enquête de Perveen Mistry, Le Prince de Bombay de Sujata Massey (éd. Charleston, avril 2023, 489 pages), un roman policier se déroulant en novembre 1921 avec la venue du Prince Edward à Bombay. Lors du passage du convoi princier à l’université de Woodburn, le corps sans vie de Freny Cuttingmaster, un étudiante faisant partie du Syndicat des étudiants hostile à la venue du Prince est victime d’une chute mortelle. Perveen Mistry avait reçu deux jours avant la jeune femme de 18 ans à son Cabinet, cette dernière voulant connaître les conséquences d’un refus à se rendre à la parade en l’honneur du Prince Edward.

Se sentant coupable de ne pas avoir pu éviter ce drame, elle mène son enquête pour découvrir le coupable, mettant en doute la thèse du suicide, que ce soit sur le lieu du drame, à l’université grâce à l’aide de son amie anglaise, Alice qui y enseigne. Mais celle-ci est rendue compliquée par les émeutiers prônant l’indépendance et les services secrets protégeant le Prince. Pourra-t-elle compter sur ses retrouvailles avec Colin Wythe Sandringham qui se voit confier la mission de rester aux côtés du Prince Edward le temps de sa visite, ayant fait ses études avec lui?

Il y est ainsi question de la condition de la femme, non à travers la purdah comme dans les deux premiers tomes mais sous l’angle de l’émancipation féminine: accès aux études supérieures plutôt que le mariage pour Freny ou l’accès à la salle du coroner pour Perveen qui en tant qu’Avocate ne peut toujours pas plaider et qui assiste la famille endeuillée. Il y est, en effet, aussi question du deuil au sein de la communauté parsie avec les rites funéraires à suivre, la famille du défunt se retirant au sein du Doongerwardi, à Malabar Hill et de l’enquête du coroner de Bombay, Mr King afin de déterminer les causes du décès de Freny.

Dans cette nouvelle enquête, l’autrice s’attache cette fois à décrire les inégalités sociales et les empêchements sociaux et moraux à des unions mixtes, que ce soit entre Indiens mais de castes différentes ou entre Anglais et Indiens, Perveen ne pouvant être vue en compagnie de Colin au risque de mettre à mal sa réputation et même plus largement celle de la Maison Mistry et du Cabinet de son père.

Outre la violence à l’égard des Britanniques, des oppositions fortes existent également entre les Indiens, notamment à  l’égard des Parsis, communauté à laquelle appartient Perveen et qui sont considérés comme partisans du Raj britannique en place.

J’ai trouvé ce thème intéressant mais peut-être pas suffisamment approfondi et l’enquête un peu trop confuse, l’autrice s’arrêtant un peu trop à mon goût sur les apitoiements de Perveen et ayant choisi un motif de meurtre classique, d’autant que j’avais encore en mémoire ma lecture L’attaque du Calcutta-Darjeeling d’Abir Mukherjee (éd. Liana Levi, octobre 2019, 400 pages) qui se déroule quasiment à la même période, en avril 1919 et qui traite également de la condition des Anglo-indiens et du mouvement indépendantiste dans une ambiance plus sombre et teintée des conséquences de la Première Guerre mondiale.

De même, pour la romance qui avance bien trop eu à mon goût mais qui s’explique par leur statut différent qui empêche tout rapprochement malgré des sentiments partagés.  Un bon moment de lecture, malgré quelques longueurs et même s’il reste en deçà du premier tome qui est mon préféré et qui pouvait se suffire à lui-même! Si un quatrième paraissait, je continuerai toutefois la série.

Sans oublier les passages gourmands faits de plats indiens parsis ou lors d’un deuil.

Pour d’autres avis sur cette lecture commune du mois de mai des Étapes Indiennes 2024 avec une des trois enquêtes de Perveen Mistry: Hilde, Nathalie (tome 2), Katell (tome 2) et Eimelle. Et aussi mes billets sur le tome 1, Les veuves de Malabar Hill et le tome 2, La malédiction de Satapur.

Participation #3 Les Étapes Indiennes 2024 de Hilde #LC

Participation # Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2024 de Bidib et Fondant #Cuisine indienne

Participation #13 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #États-Unis

Challenge Petit Bac d’Enna #4 Catégorie Personne humaine: « Prince »

Participation #3 Le Mois Anglais 2024 de Lou et Titine #Romance historique

Week-end à 1000 – mai 2024

Ce week-end, du vendredi 17 mai 19h à dimanche minuit se déroule un week-end à mille. Il s’agit d’un défi livresque où l’objectif est de lire au moins 1000 pages, quel que soit le support ou genre (romans, albums illustrés, BD, romans graphiques, mangas, livres audio…). Mais ce nombre de pages à lire reste libre, chaque participant pouvant se fixer un objectif de lecture plus petit ou plus grand, en se constituant ou non une petite PAL pour l’occasion. Un thème facultatif a été prévu ce week-end: « Ménage de printemps de la PAL ». Pour plus d’infos, n’hésitez pas à y participer à votre tour et à rejoindre le groupe FB dédié: ici.

Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du week-end et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes comme Pativore, Nathalie (IG)..

Vendredi 17 mai 2024

En soirée, j’ai repris au chapitre 18 et fini de lire, en e-book, La berceuse des sorcières de Hester Fox (éd. Faubourg-Marign, janvier 2023, 310 pages), un roman à la double temporalité suivant les points de vue de Margaret et d’Augusta, 150 ans séparant les deux femmes. Augusta Podos, âgée de 28 ans est engagée à Harlowe House devenue un musée à Tynemouth, dans le Massachusetts et qui a été autrefois le domicile de Margaret Harlowe dont l’âme habite les lieux. Celle-ci a disparu du passé familial des Harlowe, seul un tableau la représentant sans doute. J’ai été déçue de ma lecture bien loi du « conte obsédant » annoncé, n’ayant pas réussi à m’attacher aux personnages et trouvant l’intrigue bien fade et les dialogues creux malgré la touche fantastique et les thèmes abordés. Il y est ainsi question de sorcellerie, d’amour, de condition de la femme, de violences faites aux femmes, d’anorexie, d’adultère, de seconde chance, de rupture amoureuse… Le personnage de Margaret, ayant vécu en 1876, se veut libre et loin des conventions sociales de l’époque mais il est bien trop moderne pour l’époque, surtout pour une jeune femme de 18 ans issue d’une famille aisée. J’espère que ma prochaine lecture me plaira plus (+170 pages lues).

Samedi 18 mai 2024

Dans l’après-midi, j’ai lu deux BD mettant en scène deux femmes ayant existé: Nellie Bly, alors âgée de 23 ans, en 1887, lorsqu’elle s’est volontairement laissée enfermée dans un asile psychiatrique, le Blackwell’s Island Hospital de New York afin de mener son enquête pendant 10 jours sur cette institution en vue d’être engagée par Joseph Pullitzer comme journaliste d’investigation au New York World dans le tome 1 de Pionnières, Nellie Bly de  Nicolas Jarry, Guillaume Tavernier et Guillaume Lopez (éd. Soleil, août 2020, 60 pages), une BD biographique lue en version numérique et Alicia Alonso, une danseuse étoile cubaine dans Alicia, Prima ballerina assoluta d’Eileen Hofer et Mayalen Goust (éd. Rue de Sèvres, avril 2021, 152 pages), un roman graphique que j’ai lu en version numérique, le ballet national étant alors un outil de propagande pour la dictature cubaine (+212 pages lues).

En fin d’après-midi, j’ai commencé à lire le tome 4 des Chroniques de Bridgerton, Colin de Julia Quinn (éd. J’ai lu, Intégrale, tomes 3 & 4, rééd. mars 2021, 857 pages), après avoir regardé jeudi soir les 4 premiers épisodes de la saison 3 de la série éponyme et en attendant les 4 suivants le 13 juin prochain, cette romance historique étant dans ma PAL depuis un moment déjà. Je l’ai fini en soirée (+427 pages).

Dimanche 19 mai 2024

Nous avons prévu un très court séjour en Italie entre ce dimanche et demain alors je n’ai lu que très peu dimanche soir, même si les livres n’étaient jamais loin. Nous nous sommes arrêtés sur un stand de livres à Ceriale, mon mini lutin s’étant fait dédicacer un album jeunesse en italien. J’ai commencé à lire jusqu’au chapitre 6 la troisième enquête de Perveen Mistry, Le Prince de Bombay de Sujata Massey (éd. Charleston, avril 2023, 489 pages), un roman policier se déroulant en novembre 1921 avec la venue du Prince Edward à Bombay (+76 pages).

Petit bilan du mardi après-midi: j’ai finalement lu plus que je ne l’aurai cru, même si je ne m’étais fixée aucun objectif, et encore moins 1000 pages à lire.

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