Étiquette : lectures de Noël (Page 1 of 15)

Billet de suivi: Challenge Christmas Time 2023

Le mois de décembre approchant, c’est le retour du Challenge Christmas Time 2023, un challenge de Noël organisé par MyaRosa et qui se déroule du 15 novembre 2023 au 15 janvier 2024. Encore cette année, MyaRosa a réalisé de très jolis logos. Tous les billets sont les bienvenus (albums jeunesse, contes, romans, cahiers d’activité, musique, cinéma, spectacles, cuisine, loisirs créatifs ou autres billets d’humeur, idées cadeaux ou bien encore calendriers de Noël…). Il y aura également quelques rendez-vous thématiques. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur son blog.

Ce billet sera actualisé au fil du challenge tout en faisant un billet séparé pour chaque participation.

Challenge Christmas Time 2023 de MyaRosa

Billet de suivi: Il était 11 fois Noël

Le mois de décembre approchant, c’est le retour de Il était 11 fois Noël, un challenge de Noël coorganisé par Chicky Poo et Samarian qui ouvrent les portes de leur Chalet du 9 novembre 2023 au 7 janvier 2024. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs.

Ce billet sera actualisé au fil du challenge tout en faisant un billet séparé pour chaque participation.

Du 10 au 29 novembre 2023: Noëlloween, transition entre le challenge Halloween 2023 de Hilde et Lou et l’ambiance de Noël avec une lecture commune pour le 29 décembre: La fiancée de Noël d’Anne Perry.

Semaine 1 d’Il était 11 fois Noël: Un Noël… Romantique

  • 30 novembre/notre PAL de Noël
  • 1er décembre/nos calendriers de l’Avent
  • 3 décembre/billet gourmand avec la Brigade des Marmitonnes d’Isabelle (et de Syl) et le Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant
  • 4 décembre/billet photo (Noël romantique)
  • 5 décembre/atelier créatif de Noël avec Syl
  • 6 décembre/lettre au Père Noël

Semaine 2 d’Il était 11 fois Noël: Un Noël…Cocooning

  • 7 décembre/Noël Cocooning
  • du 8 au 10 décembre/RAT au Chalet avec au moins une lecture sur le thème de l’hiver et/ou de Noël dans une ambiance cocooning
  • 11 décembre/billet photo (Noël cocooning)
  • 12 décembre/nos chansons incontournables en cette saison
  • 13 décembre/décorations et sapin de Noël

Semaine 3 d’Il était 11 fois Noël: La magie de Noël

  • 14 décembre/Magie de Noël
  • 15 décembre/journée mondiale du pull de Noël
  • 17 décembre à 21h/visionnage d’un téléfilm de Noël
  • 18 décembre/billet photo (la magie de Noël)
  • 19 décembre/marchés de Noël

Semaine 4 d’Il était 11 fois Noël: Noël en famille

  • 21 décembre/sagas familiales de Noël
  • 22 décembre/LC
  • 25 décembre/Joyeux Noël!
  • 26 décembre/billet photo (Noël en famille)
  • 27 décembre/Rétrospective « jour de Noël » avec « a picture an hour », soit prendre une photo par heure, le jour de Noël 

Semaine 5 d’Il était 11 fois Noël: Noël enneigé

  • 28 décembre/billet photo (Noël magique)
  • 31 décembre/bilan, envies et objectifs pour la nouvelle année
  • 1er janvier/billet photo (Noël enneigé)
  • du 5 au 7 janvier/RAT au Chalet

Challenge Il était 11 fois Noël de Chicky Poo et Samarian

Au fil des pages avec Les 4 filles du Docteur March

Dans le cadre du challenge 2023 sera classique, le mois de septembre est consacré, comme les années précédentes, à un classique de la littérature américaine. Nathalie a proposé une lecture commune des Quatre filles du Docteur March. Je me suis jointe à elle avec cette relecture tout comme Isabelle. J’ai donc lu Les quatre filles du Docteur March de Louisa May Alcott et illustré par Thomas Gilbert (éd. L’école des loisirs, coll. Illustres classiques, novembre 2019, 208 pages), un roman jeunesse pour les 8/11 ans selon l’éditeur et qui est une version traduite et abrégée par Malika Ferdjoukh du texte originel, Little Women paru pour la première fois aux États-Unis en 1868 pour le premier volume et en 1869 pour le second (partie qui n’est pas dans ma version abrégée, Good WivesLes filles du Docteur March se marient). Il existe également deux autres romans: Le Rêve de Jo March en 1871 et Jo et sa tribu en 1886.

Mais revenons-en à l’histoire qui suit, pendant un année (d’un Noël à l’autre), la vie quotidienne de 4 sœurs March – Margaret « Meg » une jolie brune âgée de 16 ans, presque 17 qui tient son rôle de grande sœur au sérieux, Joséphine « Jo », âgée de 15 ans, le garçon manqué un brin colérique, la timide et musicienne Beth âgée de 13 ans, presque 14 et l’orgueilleuse Amy âgée de 12 ans – auprès de leur mère et de leur vieille domestique, Hannah pendant que leur père, pasteur nordiste (et non médecin) s’est engagé comme aumônier pendant la Guerre de Sécession.

Elles font très vite connaissance du petit-fils de M. Laurence, leur voisin et qui fut l’ami de leur grand-père maternel. Âgé de 15 ans, presque 16 et timide, Théodore « Laurie » Laurence est venu vivre chez son grand-père paternel, après le récent décès de ses parents et avoir passé une grande partie de sa scolarité dans un pensionnat en Suisse. Son grand-père voudrait le voir aller à l’université et reprendre ses affaires commerciales et a engagé, à cette fin, un précepteur, John Brooke. Il est alors intégré comme membre à part entière du groupe, faisant fi des conventions sociales.

À l’aube de l’âge adulte pour Meg, Jo et Laurie, chacun aspire à un riche et célèbre futur, à l’exception du désir plus modeste de Beth. Meg se voit en femme accomplie au sein d’un foyer riche et chaleureux, Jo en tant qu’écrivain célèbre et indépendante de tout mari, Laurie en tant que musicien célèbre, Beth vivant humblement auprès de sa famille, avec son piano, où tous seraient en bonne santé et Amy en vivant de sa peinture à Rome. Mais qu’est-il attendu d’une jeune femme du XIXe siècle? L’argent fait-il le bonheur, aux dires de Tante March ou est-ce de vivre au sein d’une famille unie et aimante?

Dans un style simple, la narratrice omnisciente passe d’un protagoniste à un autre, que ce soit les 4 sœurs, leur mère, Laurie ou son grand-père, pour nous décrire leur quotidien. Alger ego de l’autrice, Jo apparaît comme une adolescente au discours très moderne et féministe, qui, aurait bien voulu être un garçon afin de gagner sa vie comme elle l’entend et d’être indépendante. Contrairement à sa sœur Meg qui rêve de belles toilettes et qui se rapproche de M. Brooke (un jeune homme aux beaux yeux bruns et instruit), elle n’aspire à aucune histoire amoureuse et ne voit pas les signes de l’amour naissant que lui voue Laurie, le considérant comme un frère.

On est loin de l’imagination débordante d’une Anne Shirley ou d’une Sara Crewe. Mais les 4 sœurs ont en commun leur bonté et leur générosité, leur famille autrefois riche ayant été ruinée lorsque leur père est venu en aide à un ami et continuant à aider les plus pauvres qu’eux comme Mme Hummel, une veuve avec ses enfants en bas-âge ou en tricotant des chaussettes aux soldats…

D’ailleurs, l’attitude des 4 sœurs à être des jeunes femmes modèles, en particulier de l’orgueilleuse Amy qui tente de s’améliorer, m’a fait à plusieurs reprises penser à Sophie, la petite fille qui enchaînent bêtises et maladresses, n’en faisant qu’à sa tête dans Les Malheurs de Sophie de la Comtesse de Ségur, roman pour enfants paru pour la première fois en 1858 et que j’ai fait découvrir cet été à mon mini lutin dans une version illustrée.

Surnommées par leur père « petites femmes », on n’en oublierait presque leur jeune âge tant elles font des efforts pour être de petites femmes modèles, travaillant pour les deux aînées (Meg étant préceptrice des enfants Walch et Jo dame de compagnie de Tante March) et chacune participant aux travaux de couture pour Tante March et pour les dons aux soldats. A l’image du livre offert par leur mère, Le voyage du Pélerin de John Bunyan (1678), elles tentent de faire de leur mieux en se comportant comme des adultes qu’elles ne sont pas encore.

La famille tient une place importante dans ce roman initiatique, que ce soit celle des March ou des Laurence. Les 4 sœurs apprennent à prendre la vie du bon côté et surmontent ensemble les épreuves de la vie, que ce soit les difficultés financières, les  châtiments corporels subis à l’école par Amy ou la maladie, comme lorsque Beth tombe très malade à cause de la scarlatine… L’amour qu’elle se porte leur permet de dépasser leurs désaccords et animosités. Les 4 sœurs apparaissent finalement très bien élevées, gentilles et très soudées.

Je ne sais pas si c’est dû à la version abrégée mais je m’attendais à avoir plus de passages religieux (présent à travers les sermons de Meg par exemple ou lorsque les filles s’inspirent dans leur quotidien du Voyage du Pélerin…) et j’ai trouvé parfois le langage de Jo un peu trop contemporain dans son argot alors que le roman a été écrit en 1867, soit peu après la Guerre de Sécession.

Il  y est ainsi question de famille, de condition de la femme au XIXe siècle, d’inégalités sociales, de sororité, d’amitié,  de premiers émois amoureux, du passage de l’adolescence à l’âge adulte, d’entraide, de pauvreté, de bonté, de générosité, de quête identitaire ou de désir de bonheur…

Un bon moment de lecture plein de bons sentiments, parfois un peu trop moralisateur et puritain (notamment s’agissant du péché d’orgueil), avec ce roman d’apprentissage aux personnages attachants et qui donne envie de connaître la suite de la vie des 4 sœurs March et de Laurie, l’histoire s’arrêtant sur les fiançailles de Meg! Leur vie d’adultes sera-t-elle à l’image de leurs rêves et aspirations adolescentes? Auront-ils leur château en Espagne tant de fois rêvé? J’ai d’ailleurs repéré une version intégrale regroupant les deux volumes et traduite par Janique Jouin-de Laurens: Les Quatre filles du Docteur March (éd. Gallmeister, Totem n°166, septembre 2020, 640 pages).

J’ai également noté quelques passages gourmands pour le challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2023 avec le repas de Noël, les tourtes réconfortantes de la vieille Hannah, les citrons confits qu’apporte Amy à l’école… Et aussi un clin d’œil au Challenge Halloween 2023, la représentation de Noël de la pièce de théâtre, « Malédiction de la sorcière », écrite par Jo et jouée par les quatre sœurs mettant en scène une sorcière, Hagar (p.12/13).

Petit aparté ciné: J’avais vu il y a longtemps à la télévision Les Quatre filles du Docteur March, un film américain de Gillian Armstrong  réalisé en 1994 avec dans les rôles-titres Wynona Ryder (Jo) et Christian Bale (Laurie) et qui m’avait donné envie de lire le roman éponyme. J’en garde un très bon souvenir. Cet été, j’ai regardé une nouvelle version cinématographique qui m’a moins plu même si elle laisse une place plus grande aux 4 sœurs comme dans le roman, Les filles du Docteur March, film américain de Greta Gerwig réalisé en 2019 et diffusé sur Netflix, avec dans les rôles-titres Saoirse Ronan (Jo) et Timothée Chalamet (Laurie), l’histoire démarrant une fois les 4 sœurs adultes, Jo vendant sa première histoire à un journal et Amy en Italie avec Tante March et y retrouvant Laurie puis remontant dans le passé par flash-back.

Pour d’autres avis sur ce roman jeunesse: Isabelle pour le 1er volume (éd. Gallimard, collection 1000 soleils, 1988) et Nathalie dans une nouvelle traduction et illustrée par Nathalie Novi regroupant les 2 volumes (éd. Tibert, septembre 2022, 700 pages).

Participation # Challenge 2023 sera classique de Blandine et Nathalie #Classique jeunesse américain

Challenge Petit Bac d’Enna #4 Catégorie Maladie/Mort: « Docteur »

Participation # (Parcours illustré) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2023 de Bidib #États-Unis

Participation # Challenge Halloween 2023 de Hilde et Lou #Sorcière

Participation #23 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2023 de Bidib et Fondant #Cuisine américaine

Au fil des pages avec Ce genre de petites choses

Repéré en décembre 2022 chez Bianca, j’ai emprunté début janvier 2023 à la médiathèque Ce genre de petites choses de Claire Keegan (éd. 2020, 117 pages), un court roman qui a été chroniqué entretemps aussi chez Fondant. En décembre 1985, à l’approche de la quarantaine, Bill Furlong, marchand de bois et de charbon a réussi sa vie tant personnelle (marié et père de cinq filles) et professionnelle (gérant une entreprise prospère), alors même qu’il est né sans père et d’une mère domestique enceinte à 15 ans qui a pu l’élever auprès d’elle grâce à la générosité et la bienveillance de sa patronne, la riche veuve Mrs Wilson. Le travail ne manque pas à l’approche de Noël.

Une livraison de  charbon au couvent de son village va bouleverser sa vie si bien rangée et l’amener à se questionner sur sa propre existence. En effet, dans la réserve de charbon, il découvre une jeune fille esseulée, pieds nus malgré le froid de l’hiver qui semble avoir passé la nuit là et inquiète du sort réservé à son bébé de 14 mois sur le point d’être vendu par les Sœurs du couvent. Ce n’est pas la première fois qu’il est témoin d’incidents dérangeants au couvent. De nombreuses rumeurs circulent d’ailleurs mais personne jusqu’alors ne s’y appesantit d’autant que le couvent est généreux et permet de faire tourner l’économie locale. Face à l’hypocrisie générale et à la très grande influence des religieuses catholiques, que pourrait bien faire Bill Furlong: : fermer les yeux, mettre un terme aux agissements du couvent ou à tout le moins aider cette pauvre jeune fille?

J’ai apprécié le personnage de Bill Furlong, un homme ordinaire, tranquille mais déterminé à ne plus resté indifférent aux agissements constatés au couvent qui le renvoient à sa propre trajectoire de vie, à celle de sa mère qui aurait pu finir dans ce couvent sans Mrs Wilson et à sa quête des origines paternelles. Son bonheur se heurte à la maltraitance du couvent.

L’histoire s’inspire des Magdalene laundry en Irlande, les derniers couvents ayant été fermés en 1996 et qui exploitaient pour des travaux de blanchisseries des femmes et jeunes filles dans des conditions quasi carcérales afin de les « laver de leurs pêchés », la plupart du temps placées par leur propre famille car enceintes hors mariage, considérées comme trop effrontées et impertinentes, voire même trop coquettes et « aguicheuses »…

Un roman certes court mais marquant, tout en pudeur et au style concis, à la fin ouverte qui laisse une petite part à l’espoir, dans l’esprit d’un conte de Noël, même si je serai plus pessimiste, les répercussions s’annonçant terribles pour Bill Furlong!

J’ai enfin noté quelques passages gourmands pour le challenge Des livres (et des écrans en cuisine) comme la préparation du gâteau de Noël par la famille de Bill (p.25/26) qui donne envie de lécher la cuillère avec le reste de pâte, les repas de Mrs Kehoe dans son pub (p.96) ou bien encore l’assiette d’œuf ou bien encore le cake aux fruits et le thé servi chez les religieuses (p.72).

Pour d’autres avis: Bianca et Fondant.

Participation #3 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2023 de Bidib #Irlande

Participation #4 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2023 de Bidib et Fondant #Plats irlandais et de Noël

RAT post-Noël 2022

Pour ce premier week-end de l’année 2023, Chicky Poo et Samarian nous proposent de clôturer leur challenge Il était 10 fois Noël par un RAT post-Noël 2022 comme les années précédentes, avec au moins une lecture sur le thème de l’hiver et/ou de Noël.

Dans notre PAL de ce week-end, nous avons encore quelques lectures de Noël, des relectures sur le thème de la galette des rois et aussi des lectures hivernales, ce qui sera l’occasion peut-être de cocher les dernières cases du bingo littéraire noëlesque. Au progamme, j’ai aussi prévu de la BD avec des tomes que j’attendais impatiemment: le second tome du Jardin secret, le second tome de Ténébreuse et le troisième tome du Château des animaux.

Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du marathon et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes.

Pour d’autres idées noëlesques (lectures, recettes et autres activités), les autres participantes: Samarian, Chicky Poo, Samlor, Northanger, L’Orouge et Manika.

Samedi 7 janvier 2023

Réveillée tôt par mon mini lutin, à 7h, nous avons commencé la matinée en jouant au jeu de cartes Pokémon puis en faisant des parties de Mario Kart avec la Switch. Puis en fin de matinée, je fais un petit tour chez les autres participantes: Chicky Poo ayant fini de lire le tome 6 des enquêtes de Loveday & Ryder, Couronnement fatal à Middle Fenton de Faith Martin pendant que sa pâte à pizza finisse de se lever, Northanger qui levée tôt également en a profité pour continuer de crocheter avant de continuer sa lecture d’Un Noël à Eaton Square d’Anne Perry et du Crépuscule et l’aube de Ken Follett et Samlor qui a prévu de continuer de lire Hope ou le secret des Harvey de Lesley Pearse.

Dans l’après-midi, je lis avec plaisir malgré la dureté du propos le second tome de Ténébreuse de Hubert et de Vincent Mallié (éd. Dupuis, 2022, 80 pages), une BD fantasy à partir de 15 ans selon l’éditeur et qui clôt les aventures d’Islen et d’Arzhur. Les deux amants pourront-ils s’affranchir de leur passé et de leur héritage familial? Entre culpabilité et non-dits, la tragédie semble pourtant inévitable. Un très bon moment de lecture avec ce diptyque magnifiquement illustré!

Puis je lis le tome 3 du Château des animaux, La Nuit des justes de Xavier Dorison et Félip Delep (éd. Casterman, 2022), une BD adulte tout aussi sombre que le roman originel de George Orwell, La ferme des animaux. Grâce à Miss B et César, la résistance s’organise pour mettre fin à la tyrannie de Sylvio et de sa garde de chiens. Les animaux asservis pourront-ils un jour être à nouveau heureux et libres? Ce tome 3 est tout aussi réussi que les tomes précédents. J’ai hâte de pouvoir lire le tome 4.

Pour les histoires du soir, nous avons relu 4 albums jeunesse: Roule, roule, petite bûchette! d’Agnès Cathala et Aurélie Videlo (éd. Milan, 2015), d’après le conte russe Kolobok, Mes beaux sapins de Rascal et Peter Elliott (éd. L’école des loisirs, 2020), La galette à l’escampette de Geoffroy de Pennart (éd. L’école des loisirs, 2012, rééd. 2019) et A trois on a moins froid d’Elsa Devernois et Michel Gay (éd. L’école des loisirs, 1993, rééd. 2018). Il est amusant de lire une version noëlesque de Roule galette avec des lutins qui préparent une bûche de Noël pour le Père Noël.

En début de soirée, je fais un nouveau passage chez les autres participantes, L’Orouge et Manika nous ayant rejointes. Chicky Poo a lu une version de La Reine des neiges illustré par Aliocha Gouverneur et qui a l’air magnifique. Puis pour ma lecture de ce soir, je commence à lire le tome 2 de Rivalités, Rendez-vous clandestins de Kate Bateman (éd. J’ai lu, 2023, 312 pages), une romance historique se déroulant sous la Régence anglaise.

Dimanche 8 janvier 2023

Depuis le réveil, il pleut. C’est un temps idéal pour lire sous un plaid. Je finis dans la matinée de lire la romance commencée hier soir, romance entre deux « ennemis » bien plus sensuelle que le tome précédent, entre Lady Caries Davies et Lord Travis Montgomery, la jeune femme devant protéger sa réputation face à un maître chanteur.

En début d’après-midi, j’actualise ce billet, réponds aux commentaires et fais un tour chez les autres participantes. Je commence ensuite une romance de Noël qui annonce de nombreux passages gourmands: Des cookies pour Noël de Cali Keys (éd. Prisma, 2021, 208 pages).

Pour les histoires du soir, mon mini lutin a choisi de relire Plume et les cadeaux de Noël de Rebecca Harry et Perdu? Retrouvé d’Oliver Jeffers.

Participation # Challenge Il était 10 fois Noël de Chicky Poo et Samarian #RAT post-Noël

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