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Week-end à 1000 – mai 2024

Ce week-end, du vendredi 17 mai 19h à dimanche minuit se déroule un week-end à mille. Il s’agit d’un défi livresque où l’objectif est de lire au moins 1000 pages, quel que soit le support ou genre (romans, albums illustrés, BD, romans graphiques, mangas, livres audio…). Mais ce nombre de pages à lire reste libre, chaque participant pouvant se fixer un objectif de lecture plus petit ou plus grand, en se constituant ou non une petite PAL pour l’occasion. Un thème facultatif a été prévu ce week-end: « Ménage de printemps de la PAL ». Pour plus d’infos, n’hésitez pas à y participer à votre tour et à rejoindre le groupe FB dédié: ici.

Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du week-end et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes comme Pativore, Nathalie (IG)..

Vendredi 17 mai 2024

En soirée, j’ai repris au chapitre 18 et fini de lire, en e-book, La berceuse des sorcières de Hester Fox (éd. Faubourg-Marign, janvier 2023, 310 pages), un roman à la double temporalité suivant les points de vue de Margaret et d’Augusta, 150 ans séparant les deux femmes. Augusta Podos, âgée de 28 ans est engagée à Harlowe House devenue un musée à Tynemouth, dans le Massachusetts et qui a été autrefois le domicile de Margaret Harlowe dont l’âme habite les lieux. Celle-ci a disparu du passé familial des Harlowe, seul un tableau la représentant sans doute. J’ai été déçue de ma lecture bien loi du « conte obsédant » annoncé, n’ayant pas réussi à m’attacher aux personnages et trouvant l’intrigue bien fade et les dialogues creux malgré la touche fantastique et les thèmes abordés. Il y est ainsi question de sorcellerie, d’amour, de condition de la femme, de violences faites aux femmes, d’anorexie, d’adultère, de seconde chance, de rupture amoureuse… Le personnage de Margaret, ayant vécu en 1876, se veut libre et loin des conventions sociales de l’époque mais il est bien trop moderne pour l’époque, surtout pour une jeune femme de 18 ans issue d’une famille aisée. J’espère que ma prochaine lecture me plaira plus (+170 pages lues).

Samedi 18 mai 2024

Dans l’après-midi, j’ai lu deux BD mettant en scène deux femmes ayant existé: Nellie Bly, alors âgée de 23 ans, en 1887, lorsqu’elle s’est volontairement laissée enfermée dans un asile psychiatrique, le Blackwell’s Island Hospital de New York afin de mener son enquête pendant 10 jours sur cette institution en vue d’être engagée par Joseph Pullitzer comme journaliste d’investigation au New York World dans le tome 1 de Pionnières, Nellie Bly de  Nicolas Jarry, Guillaume Tavernier et Guillaume Lopez (éd. Soleil, août 2020, 60 pages), une BD biographique lue en version numérique et Alicia Alonso, une danseuse étoile cubaine dans Alicia, Prima ballerina assoluta d’Eileen Hofer et Mayalen Goust (éd. Rue de Sèvres, avril 2021, 152 pages), un roman graphique que j’ai lu en version numérique, le ballet national étant alors un outil de propagande pour la dictature cubaine (+212 pages lues).

En fin d’après-midi, j’ai commencé à lire le tome 4 des Chroniques de Bridgerton, Colin de Julia Quinn (éd. J’ai lu, Intégrale, tomes 3 & 4, rééd. mars 2021, 857 pages), après avoir regardé jeudi soir les 4 premiers épisodes de la saison 3 de la série éponyme et en attendant les 4 suivants le 13 juin prochain, cette romance historique étant dans ma PAL depuis un moment déjà. Je l’ai fini en soirée (+427 pages).

Dimanche 19 mai 2024

Nous avons prévu un très court séjour en Italie entre ce dimanche et demain alors je n’ai lu que très peu dimanche soir, même si les livres n’étaient jamais loin. Nous nous sommes arrêtés sur un stand de livres à Ceriale, mon mini lutin s’étant fait dédicacer un album jeunesse en italien. J’ai commencé à lire jusqu’au chapitre 6 la troisième enquête de Perveen Mistry, Le Prince de Bombay de Sujata Massey (éd. Charleston, avril 2023, 489 pages), un roman policier se déroulant en novembre 1921 avec la venue du Prince Edward à Bombay (+76 pages).

Petit bilan du mardi après-midi: j’ai finalement lu plus que je ne l’aurai cru, même si je ne m’étais fixée aucun objectif, et encore moins 1000 pages à lire.

Au fil des pages avec Radium girls

J’ai lu Radium girls de Cy (éd. Glénat, coll. Karma, août 2020, 136 pages), une BD adulte à la couverture phosphorescente et que j’avais repérée depuis très longtemps mais que je n’avais pas pu encore emprunter à la médiathèque, trouvant très intéressant le sujet abordé mais pas le graphisme. Ma lecture a confirmé ma première impression. J’ai, en effet, apprécié l’histoire tirée de faits réels, moins les illustrations aux crayons de couleur.

En 1918, New Jersey, des femmes travaillent comme ouvrières à l’United State Radium Corporation, une usine fabriquant des montres à cadran en utilisant de la peinture au radium, la peinture Undark. Insouciantes et non averties du danger mortel du radium, elles travaillent sans protection et s’amusent de son effet phosphorescent, surnommées alors les « Ghost Girls ». Mais bientôt la réalité les rattrape, lorsque certaines d’entre elles tombent malades et décèdent. Le radium était-il si inoffensif pour leur santé?

L’histoire de ces ouvrières américaines victimes de la radioactivité au radium m’a fait penser, plus récemment, au scandale de l’amiante, en France. La BD reprend l’insouciance de ces salariées qui utilisent chaque jour, sans le savoir, une peinture toxique, leur employeur connaissant pourtant les risques encourus. Les contremaîtres les formaient d’ailleurs à la technique « lip – dip – paint », chaque salariée lissant le pinceau à la bouche tandis que les chimistes utilisaient de nombreuses protections pour éviter tout contact avec le radium.

Puis, lorsque les premiers décès surviennent, des ouvrières malades portent difficilement l’affaire en justice. Arriveront-elles à faire reconnaître leurs pathologies comme maladies professionnelles, et non, comme si cela était lié par exemple à la syphilis, maladie mettant à mal leur réputation? On suit alors la dégradation de leur état de santé et le début de leur long combat judiciaire en vue de la reconnaissance professionnelle de leurs pathologies et de leur indemnisation par leur employeur. Cette affaire a ainsi permis d’améliorer les conditions et les normes de sécurité industrielle et les droits des salariés en permettant d’agir à l’encontre de son employeur en cas de manquement à leurs obligations (comme par exemple, en France, l’obligation de santé et de sécurité aujourd’hui).

Une BD adulte qui rentre dans la thématique 2024 du challenge proposé par Ingannmic « Monde ouvrier & mondes du travail »! En effet, derrière ce scandale industriel, j’ai surtout vu des ouvrières avant de voir des femmes victimes de la radioactivité au radium, dont la santé importait peu pour la société qui les employait et qui faisait peu cas de leurs droits.

Pour d’autres avis sur cette BD: Nathalie et Enna.

Challenge Petit Bac d’Enna #2 Catégorie Personne humaine: « Girls »

Point lecture hebdomadaire 2024 #12

En ce début de semaine, voici mon point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures (mais pas nos relectures) de la semaine dernière qui s’est terminée sur un week-end de lectures.

Nos lectures du 18 au 24 mars 2024:

Des lectures jeunesse/ados:

Il n’y a aucune nouveauté lue cette semaine avec mon mini lutin qui a surtout relu des Mortelle Adèle et Hulotte et Léon de Juliette Lagrange. De mon côté, j’ai lu dimanche des BD/manga pendant le week-end à mille pages.

  • (BD jeunesse) Yin et le dragon de Richard Marazano et Xu Yao (T1 à T3)

Dimanche après-midi, j’ai la trilogie Yin et le dragon de Richard Marazano et Xu Yao, une BD jeunesse à partir de 10/12 ans et que j’avais emprunté à l’occasion du Nouvel An Chinois mais que je n’avais pas eu le temps de lire depuis: le tome 1, Créatures célestes (éd. Rue de Sèvres, janvier 2016, 64 pages), le tome 2, Les écailles d’or (éd. avril 2017, rééd. mai 2019, 64 pages) et le tome 3, Nos dragons éphémères (éd. février 2019, 64 pages).

Lors de l’invasion japonaise d’un quartier de pêcheurs de Shanghai en 1937, Yin, une jeune fille d’une dizaine d’années espiègle, têtue et courageuse réussit à convaincre son grand-père de soigner un dragon d’or blessé qu’il a pris dans ses filets. Est-il une menace pour Yin au même titre que les gamins des rues lui volant les poissons qu’elle vend et que les soldats japonais, comme le capitaine Utamaro à l’étrange comportement idéaliste?

J’ai bien apprécié les illustrations et le mélange de folklore chinois et de petite histoire dans l’Histoire, même si l’horreur de celle-ci a été atténuée pour un lectorat jeunesse. Cette fiction historique avec une touche fantastique est pleine de bons sentiments et d’espoir en l’Humanité face au grand dragon noir de la fin des temps.

  • (Manga Seinen ado) Les Carnets de l’Apothicaire de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (T2)

J’ai pioché dans ma PAL du mois prochain pour Un Mois au Japon 2024 en lisant le tome 2 des Carnets de l’Apothicaire de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (éd. Ki-oon, mars 2021, 159 pages), un manga Seinen à partir de 15 ans, me laissant en plein suspense, la nouvelle tentative d’empoisonnement n’étant pas résolue et n’ayant pas pu emprunter le tome 3, peut-être la semaine prochaine et me donnant une idée sur la véritable identité de Jinshi. Dans ce deuxième tome, on en apprend un peu plus sur Mao Mao, désormais dame de compagnie et goûteuse de Gyokuyo qui, à la demande de l’Empereur, vient à soigner l’une de ses autres concubines, Lifa puis qui, 2 mois plus tard, participe au grand banquet du Printemps en l’honneur des 4 premières concubines. L’adolescente de 17 ans s’affirme de plus en plus et est toujours aussi perspicace pour soigner et reconnaître les poisons. Encore un bon moment de lecture même si j’aurai apprécié, au vu des thèmes abordés, que l’histoire soit plus approfondie et plus mature (certains propos étant, si je puis dire, autocensurés au vu du lectorat ado)!

Des lectures adulte:

Parmi les romans adultes que j’ai lus cette semaine, je ne parlerai dans ce billet que de certains.

  • (Romance d’urban fantasy) Les Ailes de cendres, La dernière élite de Galli May (T2)

J’ai lu, en e-book, le tome 2 qui vient de paraître des Ailes de cendres, La dernière élite de Galli May (éd. Autoédition, mars 2024, 755 pages), une romance d’urban fantasy/paranormale se déroulant à New York, où cohabitent les créatures surnaturelles, que ce soient les « démons » et les « anges » ou bien encore les vampires, les métamorphes et les magikas. J’ai pris plaisir à replonger dans les aventures de Lyrine et Azariel. Les pages s’enchaînent entre rebondissements, solidarité entre Nettoyeurs, complots politiques et trahisons. Lyrine parviendra-t-elle à se protéger et à s’affirmer face aux menaces qui l’assaillent de toutes parts? A qui pourra-t-elle faire confiance? Un très bon moment de lecture, la romance et la part d’action étant bien dosée! J’ai hâte de découvrir la suite mais il faudra attendre, le tome 3 ne paraîtra qu’en novembre prochain.

  • (BD adulte) Le dernier quai de Nicolas Delestret

J’ai ensuite lu Le dernier quai de Nicolas Delestret (éd. Bambou coll. Grand Angle, avril 2023, 160 pages),  une BD fantastique que j’avais depuis un moment en version consultable en ligne sur Izneo mais que j’ai récemment pu aussi emprunter en version papier à ma médiathèque. A l’hôtel du dernier quai, Émile accueille, en hôte bienveillant et dans une routine bien établie, les clients qui viennent de mourir. Mais un matin, tout se dérègle, semant le trouble dans l’esprit d’Émile, lors de l’arrivée de 3 nouveaux clients qui ne se souviennent pas de leur passé. Comment pourra-t-il les aider? L’histoire m’a fait penser à celle de 669 Peony Street de Mélanie Launay (éd. Michel Lafon, janvier 2022, 238 pages), un roman fantastique se déroulant en Angleterre, à l’époque victorienne. Il y est ainsi question de mort, de résilience et de pardon.

  • (BD adulte) Radium girls de Cy

J’ai lu Radium girls de Cy (éd. Glénat, coll. Karma, août 2020, 136 pages), une BD adulte à la couverture phosphorescente et que j’avais repérée depuis très longtemps mais que je n’avais pas pu encore emprunter à la médiathèque, trouvant très intéressant le sujet abordé mais pas le graphisme. Ma lecture a confirmé ma première impression. En 1918, New Jersey, des femmes travaillent comme ouvrières à l’United State Radium Corporation, une usine fabriquant des montres à cadran en utilisant de la peinture au radium. Insouciantes et non averties du danger mortel du radium, elles travaillent sans protection et s’amusent de son effet phosphorescent, surnommées alors les « Ghost Girls ». Mais bientôt la réalité les rattrape, lorsque certaines d’entre elles tombent malades et décèdent. Le radium était-il si inoffensif pour leur santé? J’ai apprécié l’histoire tirée de faits réels, moins les illustrations aux crayons de couleur, qui m’a fait penser plus récemment au scandale de l’amiante.

Ma lecture en cours:

(Roman policier contemporain) La jurée de Claire Jéhanno

J’ai commencé à lire, en e-book, jusqu’au chapitre 24, La jurée de Claire Jéhanno (éd. HarperCollins, avril 2023, 291 pages), un roman contemporain aux chapitres courts et dans lequel on suit Anna Zeller, jurée le temps d’un procès d’assises d’un couple accusé d’empoisonnement et de meurtre et qui la renvoie à son propre passé, vingt ans auparavant lorsqu’elle était encore Anna Boulanger.

Au fil des pages avec Hiver à l’Opéra

Le mois dernier, j’ai lu Hiver à l’Opéra de Philippe Pelaez et Alexis Chabert (éd. Grand Angle, octobre 2023, 72 pages), une BD adulte consultable en ligne grâce à ma médiathèque et qui se passe quelques temps après les faits d’Automne en baie de Somme avec une nouvelle enquête, en février 1897, à Paris, d’Amaury Broyan inspecteur désormais révoqué de la police. Mais l’est-il réellement? Présent lors d’une représentation de la Damnation de Faust à l’Opéra Garnier, il assiste au crime du colonel Tréveaux, chargé de la sécurité du président Faure et se lance à la poursuite de la coupable.  L’inspecteur a-t-il vraiment sombré dans le désespoir et la vengeance depuis le meurtre de sa fille Florine en se rapprochant de groupuscules nationalistes?

Ce nouveau tome mêle enquête policière, complots politiques au cœur de la IIIe République avec une immersion dans les milieux populistes et d’extrême-droite mais aussi spiritisme et hypnose, tout en se réappropriant Le Fantôme de l’Opéra de Gaston Leroux (1910) – petit clin d’œil au Challenge 2024 sera classique aussi de Nathalie. D’ailleurs, à la place des extraits de Nelly Roussel du premier tome, on trouve cette fois un extrait de Gaston Leroux puis de Victor Hugo, adepte du spiritisme et qui a participé à des tables parlantes afin de rentrer en contact avec l’esprit de sa fille Léopoldine, ne s’étant pas remis de son décès, à l’instar de l’inspecteur qui tente d’oublier dans l’opium. Il y est ainsi aussi question de deuil et de folie.

Un bon moment de lecture avec ce tome 2 même si j’ai préféré le tome précédent qui m’avait bien plu surprise pour son ambiance noire et un brin immorale! Nous retrouvons cette ambiance ici, l’inspecteur étant toujours aussi sombre, mais cette fois dans un décor hivernal et un brin fantomatique et paranormal, la folie n’étant jamais loin. Cela ressort de la mise en page dynamique et parfois en abîme des planches de dessin d’Alexis Chabert. Je me  suis même habituée aux traits un peu grossier des personnages tout en appréciant les décors parisien de la Belle-Époque et l’influence d’Alfons Mucha et d’Edgar Degas. Si un tome 3 venait à paraître (sur le printemps?), je n’hésiterai pas à le lire.

Challenge Petit Bac d’Enna #2 Catégorie Lieu: « Opéra »

Participation#5 Challenge 2024 sera classique aussi! de Nathalie

Au fil des pages avec Malgré tout

J’avais lu, en mai 2022, Malgré tout de Jordi Lafebre (éd. Dargaud, septembre 2020, 152 pages), un roman graphique avec l’histoire d’un amour à rebours entre Ana et Zeno, l’auteur partant du chapitre 20 au chapitre 1. Désormais sexagénaires, ils arrivent à un nouveau tournant de leur vie. Mais que s’est-il passé depuis 37 ans dans leur vie pour en arriver là que maintenant? Nous remontons ainsi leur fil de leur histoire d’amour.

La structure narrative est, en effet, étonnante, sous forme de puzzle amoureux dans lequel chaque pièce du passé permet d’arriver au dénouement qui n’est pas une fin mais la concrétisation d’un amour. En remontant le cours de leur vie, on se demande ce qui a fait qu’aucun des deux n’a jamais jusque-là sauter le pas vers une relation de couple.

Leur histoire est belle, touchante et romantique même si elle a pris le temps d’une vie pour ce couple aux personnalités bien différentes, à l’instar de leur prénom, chacun à l’extrémité de l’alphabet (A et Z), d’oser afficher au grand jour leurs sentiments tus jusqu’alors, entre occasions manquées, doutes, aléas de la vie privée et professionnelle, non-dits ou peur de sauter le pas dans cet amour fou. Les deux ont une vie bien remplie: elle: mariée, mère et maire de sa ville, aux faux airs d’Audrey Hepburn et d’une autre héroïne de Jordi Lafebre tout aussi espiègle mais blonde, Eva Rojas dans Je suis leur silence et lui, ancien libraire qui a passé sa vie à écrire sa thèse, à voyager à travers le monde, à ne jamais s’engager sentimentalement et à l’esprit bohême.

J’ai aussi bien apprécié les illustrations colorées, expressives (notamment dans les échanges de regard), dynamiques, pleines de pep’s et qui nous entraînent dans le tourbillon des émotions du couple Ana/Zeno, me faisant penser à la chanson de Serge Rezvani, Le tourbillon de la vie chantée par Jeanne Moreau. Un très bon moment de lecture avec cette histoire pétillante et légère d’Ana et de Zeno mais bien plus amère pour Guiseppe, l’époux d’Ana et dont on peut la relire à l’envers, du chapitre 1 à 20!

Pour d’autres avis sur cette BD: Blandine et Eimelle.

Participation #3 (Parcours illustré) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #Espagne

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