Catégorie : Mini crapahuteur (Page 27 of 42)

Petite sortie à Gréolières

Ce 18 février 2018, nous espérons pouvoir voir un peu de neige. Direction Gréolières, ses ruines et sa station de ski. Nous nous arrêtons pour pique-niquer sous les ruines de Hautes-Gréolières et la montagne du Cheiron. A notre arrivée, plusieurs voitures sont déjà garées, le site étant un point de départ de randonnées, notamment celle allant jusqu’aux remontées mécaniques du Cheiron. En face de nous, nous avons une belle vue sur Cipières et Basses-Gréolières. Plusieurs parapentes sont de sortie également. Nous restons là une bonne heure sous le soleil, accompagnés par les mélodies des oiseaux (mésanges bleues, bergeronnettes grises, etc.).

ruines de Hautes-Gréolières

Vue sur Basses-Gréolières

Vue sur Cipières – parapente

Les ruines de l’ancien village de Hautes-Gréolières sont notamment constituées du château et de l’église paroissiale Saint-Étienne datant du XIIIe siècle. Le dernier habitant y vécut jusqu’à la fin du XIXe siècle avant que le village continue de se développer à Basses-Gréolières.

Réserve biologique des Monts d’Azur – Thorenc

Puis nous partons vers Gréolières-les-Neiges, avec une petite halte devant la réserve biologique des Monts d’Azur, à Thorenc où vivent bisons d’Europe, cerfs, élans et chevaux de Przewalski… Nous avions déjà visité cette réserve il y a une dizaine d’années et approché au plus près ces animaux.

sur la route de Gréolières-les-Neiges

Sur la route montant à Gréolières-les-Neiges, nous commençons à apercevoir quelques restes de neige… Plus nous montons, plus nous voyons de familles avec des luges dans la neige et même des bonshommes de neige fondant au soleil…

Gréolières-les-Neiges

Arrivés sur le grand parking au pied des pistes de la station, il n’y a guère plus de neige. Il n’y a pas eu beaucoup de pluie ni de neige cette saison. Cette station de ski familiale n’est aussi qu’à 1.400 mètres d’altitude, 1.800 mètres en haut des pistes. Pour autant, de nombreux enfants sont heureux de faire de la luge sur le bas des pistes. Le temps commence à se refroidir et nous finissons notre après-midi autour d’un chocolat chaud dans un des cafés- restaurants de la station.

Le jardin de Villecroze

Ce 10 février 2018, nous nous rendons à Villecroze et plus précisément au Nord de la commune pour visiter son parc. Ce jardin aménagé dans les années 20 est vraiment très plaisant et idéal pour toute la famille (mais interdit aux chiens). Après quelques pas, nous avons une magnifique vue sur la cascade, les grottes troglodytiques, les restanques et les terrasses aménagées. Sur les pelouses, des espaces boisés et des œuvres d’art se mélangent. Il est même possible d’apprendre en s’amusant les noms de 14 arbres en cherchant les QR codes associés… Il y a des tables de pique-nique et également un espace de jeux en plein air pour les enfants et même pour les tout-petits.

cascade

cascade

Un petit chemin grimpant avec des marches aménagées mène à la cascade puis à l’entrée des grottes. On ne s’attend pas à une telle cascade au milieu d’un parc municipal : elle mesure 35 mètres de haut, prenant sa source dans une commune voisine, Tourtour et se terminant en un ruisseau à travers le parc.

entrée des grottes

En haut des marches, nous trouvons les grilles closes, la visite des grottes troglodytiques ne commençant qu’au mois d’avril. Il est, en effet, possible, de les visiter d’avril à octobre de façon libre ou avec un guide à 17h00 (entrée payante). Ces grottes ont été construites dans des falaises de tuf, cette roche résultant de la lente fossilisation de végétaux il y a plus de 700.000 ans. Elles servirent de refuge aux habitants d’alors puis à des moines bénédictins. Au XVIe siècle, de véritables pièces ont été aménagées par le seigneur des lieux. De l’extérieur, nous pouvons ainsi voir des fenêtres à meneaux, des meurtrières… Depuis 1924, elles sont classées au titre des Sites et et Monuments naturels à caractère artistique. Désormais, le site est un refuge pour les chauve-souris et les araignées cavernicoles.

Nous redescendons pour faire le tour de la pelouse centrale et regarder de plus près les sculptures en bois. La visite des grottes sera pour une prochaine fois. Le temps d’observer un rouge-gorge se posant sur une table de pique-nique et nous rentrons.

Petite balade hivernale autour des étangs de Villepey dans la zone des Esclamandes

étangs de Villepey

Ce 9 février 2018, en fin d’après-midi, nous partons nous promener autour des étangs de Villepey dans la zone des Esclamandes. Ces étangs font partie des zones humides littorales et sont un site Natura 2000. Nous nous garons sur l’un des grands parkings prévus sur la RD559 et qui donne accès à la plage des Esclamandes. Nous marchons à travers les dunes, avec d’un côté les étangs et de l’autre la plage. Nous nous approchons des hauts roseaux et des ganivelles et apercevons, derrière, des foulques macroules, des mouettes rieuses et des cygnes tuberculés.

Plage des Esclamandes

Nous reprenons notre marche pour la plage des Esclamandes qui reste encore très impactée par les intempéries de décembre 2017. Puis nous reprenons le sentier jusqu’à contourner la dune permettant de rejoindre l’embouchure de l’Argens, avec de l’autre côté de la rive la Base Nature.

Embouchure de l’Argens

Ferme des Esclamandes

Puis nous revenons sur nos pas et prenons, sur notre droite, le sentier, en passant un petit pont, en direction de la Ferme des Esclamandes. Nous voyons, à nouveau, deux cygnes tuberculés qui s’approchent du bord qui, malheureusement, est rempli de détritus (sacs plastiques, pneus usagés….). La luminosité de cette fin d’après-midi offre un beau spectacle, sous les chants des passereaux. Nous n’irons toutefois pas, cette fois-ci, jusqu’à l’observatoire des Cisticoles.

Panorama ensoleillé à la Madone d’Utelle

Saint-Jean La Rivière – pont

Saint-Jean La Rivière – pont

Nous montons en voiture directement à la Madone d’Utelle, après une petite route sinueuse sur 5 kilomètres. La route est un peu verglacée et traverse une belle forêt où le froid se fait ressentir. Heureusement peu de voitures redescendent en sens inverse.

Vue d’Utelle sur le Mercantour

Utelle

Pour y accéder, il convient de tourner à gauche dans un virage au cœur de Saint-Jean La Rivière, emprunter un pont puis monter en direction d’Utelle.

Sur le trajet, nous avons l’impression d’être sur une route de Corse ! Des moutons se délectent sur les rochers et le bord de la route.

 

Une fois garés sur le parking, nous avons un magnifique panorama à 360 degrés : mer d’un côté avec la vue sur le littoral et la vallée du Var, montagnes de l’autre avec les sommets bien enneigés du Mercantour et l’arrière-pays niçois. La Lune est également visible, au-dessus des nuages. Nous décidons de pique-niquer face à la Mer.

La Madone d’Utelle date du IXe siècle. On raconte que des marins espagnols auraient vu une lueur surnaturelle qui les aurait guidés dans la tempête et qu’ils auraient décidé de faire construire le sanctuaire en remerciement. 

Puis nous empruntons le chemin goudronné pour nous rendre à la table d’orientation. Quelle vue alors que nous ne sommes qu’à 1.200 mètres d’altitude ! Nous retournons à la voiture, de plus en plus de personnes, de tout âge, certaines avec leur chien, arrivant pour balader, pique-niquer et faire du vélo.

Le Parc Phœnix au fil du temps

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – novembre 2017

Un des parcs incontournables à Nice : le Parc Phœnix. Nous y allons régulièrement. Situé à l’Ouest de la ville, du côté de l’aéroport, ce parc permet de s’échapper du quotidien urbain. Au fil des années, il a bien changé, au gré des aménagements effectués et des expositions présentes. De même d’une saison à l’autre. Il y a tellement de choses à voir qu’une seule visite ne suffit pas.

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

 

 

 

 

Notre première visite du parc remonte à octobre 2006. A l’époque, deux pélicans étaient à l’entrée du parc.

Lorsque nous pénétrons dans le parc, nous pouvons voir sur notre droite le Musée des Arts asiatiques accolé au lac dans lequel il y a notamment des cygnes noirs, des canards, des bernaches et des tortues. Certains oiseaux sont ainsi migrateurs et d’autres ont été introduits. En face, en direction des loutres, il y a une fontaine d’eau dont les jets d’eau se déclenchent toutes les demi-heures au rythme des morceaux de musique classique. Un spectacle idéal pour les petits mais les grands aussi !

Parc Phoenix – février 2016

Parc Phoenix – février 2016

Parc Phoenix – octobre 2006

 

 

 

 

 

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – mai 2016

Ensuite un arrêt pour essayer de voir les loutres : tantôt elles se prélassent au soleil, tantôt elles sont sous l’eau. Parfois, elles sont collées les unes aux autres. Ce sont désormais des loutres d’Asie, plus petites que les loutres d’Europe qui ont pris leur place, ces dernières ayant été confiées à un autre parc.

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – octobre 2006

Nous remontons l’allée en direction des porcs-épics. Très souvent, ils se blottissent dans un coin de l’enclos. En 2006, il y avait des chiens de prairie.

Arrivés au niveau de la fontaine centrale, plusieurs choix sont possibles. Nous pouvons nous rendre au chaud dans la serre. Entre la serre centrale et les différentes salles, nous pouvons accéder en quelques pas à une énorme diversité de plantes et d’animaux : palmiers royaux, orchidées, cocotier, arbre du voyageur, plantes cailloux, hibiscus, fougères, plantes carnivores…

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – mai 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais aussi flamants roses, crocodiles du Nil, carpes, lémuriens, grandes tortues… Il est à noter qu’un programme de réintroduction de ces tortues a été mis en place avec le Sénégal. Depuis 2017, la zone des aquariums et terrariums a été fermée et laissera place d’ici 2019 à des chauve-souris. Le seul petit bémol est le fait que la serre ne soit pas adaptée aux personnes à mobilité réduite ni aux poussettes dans son intégralité.

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – février 2016

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – mars 2017

Parc Phoenix – février 2016


 

 

 

 

 

 

 

 

En retournant à l’extérieur de la serre, il y a également un jardin de jeux en plein air pour les enfants et même les tout-petits. Il leur permet de se défouler après avoir découvert ou redécouvert faune et flore du parc. Il est fréquent d’y croiser des paons au niveau des tables de pique-nique.

Il y a également un espace dédié aux wallabys, un autre aux tortues de Floride et encore un aux ouistitis. Tout au fond, a été aménagée une volière dans laquelle nous pouvons voir des perroquets, ibis, aras et grues. Il est triste de savoir qu’à l’instar des flamants roses, les aras ont subi un éjointage ancien, pratique qui ne se fait heureusement plus dans ce parc.

Parc Phoenix – mai 2016

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – octobre 2006

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Depuis 2017, le parc est désormais doté d’une ferme pédagogique. Nous pouvons désormais voir des chèvres, des lapins, des cochons, des poules, des oies et des juments. Il y a aussi un parc à insectes. Autour de cette ferme, il y a toujours le potager, des cucurbitacées, des plantes aromatiques… En novembre 2017, il y avait également un nouvel enclos faisant écho à la ferme.

Parc Phoenix – octobre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

Parc Phoenix – octobre 2017

Parc Phoenix – octobre 2017

Parc Phoenix – novembre 2017

 

 

 

 

 

 

Parc Phoenix – février 2016

Parc Phoenix – février 2016

 

 

Le parc met enfin en avant des expositions, soit dans les deux salles à l’entrée du parc, soit dispersées dans le parc. C’est ainsi que nous avions pu voir en février 2016 l’exposition de Liu Yilin, « Les 12 fantastiques », grandes sculptures en bronze représentant les douze signes du calendrier chinois.

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