Étiquette : romans jeunesse (Page 16 of 32)

Au fil des pages avec le tome 2 de Mortina

L’année dernière, j’avais relu le tome 2 de Mortina, L’odieux cousin de Barbara Cantini (éd. Albin Michel Jeunesse, 2019), un roman jeunesse illustré et cartonné à partir de 6 ans. Par un temps pluvieux et alors que sa tante Trépassée est plongée dans la lecture de ses livres de botanique, Mortina reçoit la visite de son cousin Dilbert, muni d’une invitation. Ce n’est pas le seul à avoir reçu une invitation de la part de Tante Trépassée. Les amis de Mortina arrivent à leur tour dans la villa Décadente. Mais Tante Trépassée a disparu. Ou peut-elle bien être? Et que lui est-il passé par la tête pour inviter l’antipathique et insupportable Dilbert qui ne peut s’empêcher de tout critiquer?

Les illustrations sont toujours aussi réussies, à la fois loufoques et gentiment creepy et accompagnent à merveille cette nouvelle enquête de Mortina qui fait gentiment frissonner et qui se termine sur une jolie morale, sans oublier une note botanique. Encore un très bon moment avec Mortina, sa famille et ses amis! Cette histoire halloweenesque va parfaitement – lugubrement bien – avec  le thème « Familles extraordinaires » du challenge Halloween 2022. Et j’ai également noté des passages gourmands pour Dilbert (et non pour nous simples mortels lecteurs) avec son jus de citrouille « tiède, dans une grande tasse, avec trois morceaux de gingembre confit et un nuage d’œufs d’araignée ».

Pour un autre avis sur ce tome 2: Hilde (et aussi le tome 3).

Participation #2 Challenge Halloween 2022 de Hilde et Lou #Familles extraordinaires

Challenge Petit Bac d’Enna #6 Catégorie Famille: « Cousin »

Participation #89 Challenge Le tour du monde en 80 livres de Bidib #Italie

Participation #41 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2022 de Bidib et Fondant #Jus de citrouille

Point lecture hebdomadaire #59

En ce début de semaine, voici notre point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures de la semaine dernière (mais pas nos relectures) ainsi que ma lecture en cours.

Nos lectures du 12 au 18 septembre 2022:

Des lectures jeunesse:

  • (Roman jeunesse) Oscar et Carrosse, La fête foraine de Ludovic Lecomte et Irène Bonacina (T2)

Après avoir début septembre le tome 1 d’Oscar et Carrosse, La soupe de pâtes, nous lisons le tome 2, La fête foraine de Ludovic Lecomte et Irène Bonacina (éd. L’école des loisirs, coll. Moucheron, 2021, 48 pages), un roman jeunesse à partir de 6 ans. Carrosse voudrait bien aller avec Oscar à la fête foraine. Mais il n’ose pas le lui demander. Un soir, il se décide enfin et accompagne Oscar à son travail. Mais tout ne se déroule pas comme prévu, entre quiproquos et incompréhensions de la part de Carrosse qui pense Oscar en danger. Les illustrations sont toujours tendres et rigolotes. Encore un très bon moment de lecture avec ce deuxième tome du duo très attachant Oscar/Carrosse!

  • (Album jeunesse) Regarde par la fenêtre de Katerina Gorelik

Nous lisons Regarde par la fenêtre de Katerina Gorelik (éd. Saltimbanque, 2021, 60 pages), un album jeunesse avec des découpes et à partir de 3/4 ans. Il est amusant de découvrir ce qui se cache derrière la fenêtre des maisons, leurs habitants étant souvent ceux des contes traditionnels comme le loup, la sorcière, le Petit Chaperon rouge mais aussi d’autres appréciés des enfants comme des souris ou un pingouin. Un très bon moment de lecture pour se faire gentiment peur avec ce livre participatif qui rappelle que les apparences peuvent être trompeuses!

  • (Roman jeunesse) Touchez pas au roquefort! de Bernard Stone et Ralph Steadman

Nous lisons Touchez pas au roquefort! de Bernard Stone et Ralph Steadman (éd. Gallimard Jeunesse, 1980, rééd. 2017, 29 pages), un roman policier jeunesse à partir de 9 ans paru pour la première fois en 1978 et qui est recommandé par le Ministère de l’Éducation Nationale pour le cycle 3 de l’école primaire. Grasboule découvre paniqué la disparition de tous les fromages de l’entrepôt. Accompagné de son adjoint, Sam Ledentu, l’inspecteur Souris enquête sur ce vol. Qui peuvent bien être les coupables? Un bon moment de lecture avec ce roman jeunesse qui reprend tous les caractéristiques du roman policier, plongeant les jeunes lecteurs dans une ambiance mystérieuse et jazzy, digne des vieux polars et films noirs et avec de l’humour tant dans les illustrations « vintage » que dans les noms des personnages jouant sur les noms de fromages!

  • (Roman illustré ado) La ferme des animaux de George Orwell et Quentin Gréban

J’ai lu La ferme des animaux illustré par Quentin Gréban (éd. Mijade, coll. Albums, 2021, 153 pages) et reprenant le texte intégral de George Orwell. Les animaux de la Ferme du Manoir se révoltent et prennent le pouvoir, forçant le fermier et sa femme à fuir leurs terres. Les humains n’ont plus leur place dans la ferme rebaptisée « Ferme des Animaux » et désormais dirigée par les cochons, en particulier Boule de Neige et Napoléon. Mais bien vite, l’euphorie de la révolution laisse place à une peur savamment entretenue par les cochons, les autres animaux de la ferme redevenant une masse exploitée. Marqué par son engagement dans la guerre civile espagnole (et le rôle de l’URSS), George Orwell a écrit une fable animalière politique bien pessimiste, les deux cochons Boule de Neige et Napoléon renvoyant à Trotski et Staline, l’auteur étant partisan du socialisme mais hostile au stalinisme.  Les illustrations à l’aquarelle de Quentin Gréban sont magnifiques et mettent en images les points clés du roman. Un classique de la littérature anglaise à (re)lire et à faire découvrir aux plus jeunes lecteurs! Il est d’ailleurs recommandé pour les lycéens.

Ma lecture en cours:

(Roman policier) Cinq petits cochons d’Agatha Christie

J’ai lu jusqu’à 208 la page Cinq petits cochons d’Agatha Christie (éd. du Masque, n°7, rééd. 2015, 284 pages), un roman policier paru pour la première fois en 1942 aux États-Unis, Hercule Poirot étant engagée par la fille de Caroline Crale, depuis lors décédée et qui avait été condamnée pour le meurtre par empoisonnement de son époux, Amyas Crale 16 ans plus tôt. Caroline Crale était-elle innocente comme le pense sa fille? Hercule Poirot pourra-t-il faire éclater la vérité en se rapprochant des témoins et intervenants de l’affaire encore en vie?

Au fil des pages avec le tome 1 de L’École des Souris

Nous relisons à nouveau cette année le tome 1 de L’École des Souris, Une rentrée en canoë d’Agnès Mathieu-Daudé et Marc Boutavant (éd. L’école des loisirs, coll. Mouche, 2018, 47 pages), un roman jeunesse pour les 6/8 ans. Afin de profiter dans le calme de la compagnie des souris, Elvis le hibou pense avoir trouver une merveilleuse idée: devenir directeur d’une école. En ce premier jour d’école, il accueille les 13 souriceaux des époux de L’Écurie dont les prénoms commencent tous par un « W ». Mais est-ce vraiment de tout repos de s’occuper de petites souris bruyantes et turbulentes? L’aide d’Emma, une belette végétarienne en tant qu’institutrice sera-t-elle suffisante?

Nous apprécions toujours autant les illustrations de Marc Boutavant qui met en scène des souriceaux espiègles et curieux avec à leur tête la petite Winnipeg, Elvis se retrouvant vite débordé par leur énergie et leur gourmandise (restes de friandises, chutney d’escargots…). Elvis parviendra-t-il à faire classe et se rappeler le prénom de tous les élèves? Il est amusant de découvrir la rentrée des classes du côté des adultes et non comme la plupart des livres jeunesse sur ce thème du côté des élèves. Un bon moment de lecture rigolo avec des passages gourmands et une référence au détour d’un paragraphe au Petit chaperon rouge (ou plus exactement « des histoires de grande méchante belette et de petit souriceau rouge »)!

Il existe deux autres tomes de L’École des Souris: Par ici la sortie! (éd. 2019, 71 pages) et Première neige (éd. 2020, 62 pages) que j’ai aussi empruntés à la médiathèque.

Challenge Petit Bac d’Enna #6 Catégorie Objet: « Canoë »

Participation #39 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2022 de Bidib et Fondant #friandises et plats d’escargots

Participation #86 Challenge Le tour du monde en 80 livres de Bidib #France

Point lecture hebdomadaire #58

En ce début de semaine, voici notre point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures de la semaine dernière (mais pas nos relectures).

Nos lectures du 5 au 11 septembre 2022:

Des lectures jeunesse:

Côté jeunesse, mon mini lutin ne m’a fait relire cette semaine que des histoires qu’il connaissait déjà et qu’il apprécie beaucoup comme par exemple Hulotte de Juliette Lagrange, Puisette et Fragile d’Estelle Olivier, Laure Poudevigne et Samuel Ribeyron ou encore Satanés lapins! de Ciara Flood…

  • (Album jeunesse) Un Amour Américain de Daniela Volpari ♥

J’ai lu Un Amour Américain de Daniela Volpari (éd. Marmaille & Compagnie, 2015, 56 pages), un album jeunesse magnifiquement illustré et à partir de 6 ans selon l’éditeur. Marqué par son premier amour Laura dont il conserve précieusement une photo, James recherche toute sa vie cette femme aimée qu’il ne peut oublier malgré les années, ce qui le ramènera aux États-Unis, après avoir parcouru le monde. Un très bon moment de lecture empreinte de mélancolie et d’une douce nostalgie qui parlera sans doute plus aux lecteurs adultes qu’aux jeunes enfants!

  • (Album jeunesse) Lubie de Frédéric Clément

J’ai lu Lubie de Frédéric Clément (éd. Albin Michel Jeunesse, 2012), un album jeunesse à partir de 8 ans et sous-titré Le peintre des fleurs et son grain de folie. L’auteur s’inspire de la vie du peintre flamand, Jan Brueghel (1568/1625) qui connut tardivement le succès. Chaque année, à son anniversaire et aux premiers coquelicots de l’été, Lubie, une petite démone revient hanter le jeune peintre et le pousse à utiliser le pot de peinture rouge « sang-dragon » offert par son père, illustre peintre, Pieter Brueghel. Il y est question de création artistique, de tâtonnement et de persévérance du peintre dans son processus créatif, en particulier du choix de la couleur utilisée et de la difficulté de Jan Brueghel de trouver sa propre cohérence artistique et de se démarquer de son héritage paternel. Un très bon moment de lecture avec cet album jeunesse aux magnifiques illustrations – mélange de photographies, peintures à l’huile et de mises en scène avec de petits objets qui reproduisent la peinture baroque flamande!

  • (Roman jeunesse) Lettres d’amour de 0 à 10 de Susie Morgenstern

J’ai lu Lettres d’amour de 0 à 10 de Susie Morgenstern (éd. L’école des loisirs, coll. Maximax, 1996, rééd. 1998, 210 pages), un roman jeunesse pour les 8/11 ans selon l’éditeur. Ernest a 10 ans et vit avec sa grand-mère paternelle, après le décès de sa mère le jour sa naissance et le départ de son père 3 jours après. Sa vie est synonyme d’ennui, sans joie de vivre, chaque moment de ses journées suivant une routine bien établie. C’est un très bon élève solitaire et taciturne, parlant peu, lisant beaucoup et sans amis mais beau garçon. Puis un jour, à l’école, l’arrivée d’une nouvelle élève, Victoire, vient chambouler Ernest. Elle déborde d’énergie au sein d’une grande famille unie et bruyante de 14 enfants avec deux parents aimants et bienveillants. Et si le jeune garçon se donnait le droit de vivre pleinement?

Il y est question d’amitié, de recherche des origines et du père, d’abandon et de deuil, de relation intergénérationnelle entre un enfant et sa grand-mère, du poids des non-dits et et des secrets de famille…  Un bon moment de lecture initiatique, optimiste et « feel-good » avec un jeune garçon attachant qui s’ouvre à la vie, laissant derrière lui le poids du passé qui pèse depuis sa naissance sur lui!

Des lectures adulte:

  • (Roman graphique) Jours de sable d’Aimée de Jongh

J’ai lu Jours de sable d’Aimée de Jongh (éd. Dargaud, 2021, 288 pages), un roman graphique qui suit un jeune journaliste photoreporter de 22 ans, John Clark qui a été engagé par la FSA (Farm Security Administration) pour témoigner des difficiles conditions de vie des agriculteurs du Dust Bowl, en 1937 souffrant de pauvreté, maladies liées à la sécheresse, aux tempêtes de sable et qui poussent beaucoup d’entre eux à migrer en Californie. Son travail le touchera au plus profond de lui-même au point de remettre en question sa mission et même son choix de vie. Il y est ainsi question de voyage initiatique, du travail du photographe, du rôle de l’image qui peut être manipulée ou non, d’écologie…

L’autrice s’est inspirée de nombreux témoignages recueillis à l’époque et a intégré à son histoire des photographies des archives de la FSA prises entre  1935 et 1937, certaines m’étant familières comme celle de la photographe Dorothea Lange, « Migrant Mother » datée de 1936. Un très bon moment de lecture avec ce roman graphique qui avait aussi beaucoup plu à Bidib! Cela m’a donné envie de lire Les raisins de la colère de John Steinbeck (éd. Gallimard, coll. Folio, n°83, rééd. 2013, 639 pages), roman paru pour la première fois en 1939.

  • (Romance feel-good) La Délicieuse imposture du Chant des Sirènes de Charlotte Léman

Après avoir été attirée par le titre poétique et la jolie illustration de couverture, j’ai lu La Délicieuse imposture du Chant des Sirènes de Charlotte Léman (éd. L’Archipel, coll. Instants suspendus, 2022, 282 pages), une romance feel-good contemporaine. À 33 ans, Claire vit depuis plus de 3 ans avec Julien dans leur appartement parisien. Mais leur routine la pèse, son quotidien avec Julien se finissant souvent en disputes ou en non-dits et silences dans le meilleur des cas. La jeune femme est lasse de ne plus vivre leur amour des débuts et râle beaucoup, ne s’épanouissant plus dans sa relation de couple. Après une énième dispute à l’approche des vacances d’été, Claire décide de louer, seule, pour 15 jours, une maison avec piscine à Ceilan-sur-Mer en suivant les pas d’Anna, l’héroïne du livre acheté par hasard dans une librairie et qui a trouvé l’amour en Toscane. Elle a besoin de réfléchir sur ce qu’elle veut dans sa vie, loin de Julien et des réseaux sociaux. Cette parenthèse bretonne sera-t-elle son épiphanie?

Avec une écriture fluide et agréable, ce roman se lit rapidement et prend le contrepied d’une romance feel-good que j’avais lue il y a quelques mois avec également une jeune femme qui décide de faire un break dans son couple et qui tombe amoureuse de son voisin, Notting Hill with Love… Actually d’Ali McNamara. Il y est question de relation de couple, d’adultère, de seconde chance, du poids de la maternité sur la femme, de l’impact des réseaux sociaux comme Instagram, des apparences trompeuses ou bien encore le difficile équilibre vie privée/vie professionnelle… Une lecture mitigée ayant apprécié certains questionnements de l’héroïne malgré des rebondissements souvent stéréotypés voire clichés mais pas la fin bien trop fleur bleue et bien loin du tempérament initial de la jeune femme, son adultère lui ayant permis de rentrer dans « le moule » mariage/enfant!

Au fil des pages avec Anne de Green Gables

L’année dernière, j’avais lu Anne de Green Gables de Lucy Maud Montgomery (éd. Monsieur Toussaint Laventure, 2020, 384 pages), un roman jeunesse à partir de 13 ans et à la magnifique couverture pleine page de Paul Blow. Dans ce roman initiatique, on suit l’histoire d’Anne Shirley de ses 11 à 16 ans et de son quotidien dans la petite ville d’Avonlea, sur l’île du Prince Édouard, au Canada, à la fin du XIXe siècle.

Jeune orpheline de 11 ans, Anne Shirley est adoptée par erreur par la sévère Marilla et le timide Matthew Cuthbert, une sœur et un frère âgés et sans enfants qui voulaient adopter un garçon pour les seconder dans les travaux de la ferme de Green Gables. La jeune fille vient chambouler leur quotidien bien rôdé en leur redonnant le sourire. Ont-ils fait le bon choix en gardant auprès d’eux cette enfant maigrichonne et rousse avec des taches de rousseur qui parle beaucoup trop et qui a tendance à rêvasser? Anne a-t-elle enfin trouvé le foyer tant de fois rêvé auprès d’eux, après une enfance solitaire, dans la pauvreté, sans joie, amour ni amis et à s’occuper d’enfants en bas âge?

Au fil des années, Anne s’épanouit et trouve sa place au sein de la petite communauté d’Avonlea, que ce soit au sein d’une famille aimante que représente Marilla et Matthew ou à l’école, entretenant une amitié forte avec son amie de cœur Diana Barry du même âge qu’elle ou une rivalité tenace avec Gilbert Blythe de 3 ans son aîné pour être premier de la classe puis plus tard pour réussir l’examen d’admission à Queen’s pour devenir institutrice.

Bavarde, sans filtres et tête en l’air, la jeune fille commet maladresses sur maladresses, que ce soit ses coups de colère à l’encontre de Rachel Lynde ou Gilbert Blythe, ses erreurs qui prennent des proportions tragiques lorsqu’elle sert par exemple du vin de groseille à Diana au lieu du sirop de framboises lors de leur après-midi thé, lorsqu’elle fait un gâteau au liniment analgésique au lieu de la vanille…

D’une sensibilité à fleur de peau, le moindre événement peut prendre des proportions gigantesques, que ce soit dans une joie extrême lorsque par exemple Matthew lui offre pour Noël une robe aux manches bouffantes ou bien dans un désespoir profond lorsque Marilla a perdu sa broche d’améthyste et accuse Anne ou bien encore lorsque l’adolescente se teint les cheveux en vert…

De même qu’elle le fait avec son quotidien, la jeune fille transforme et sublime la Nature qui l’entoure en quelque chose de merveilleux, romantique ou féérique, comme c’est le cas avec le Chemin blanc des délices, le Lac scintillant ou bien encore le Sentier des amoureux…

L’autrice transpose avec tendresse et humour les états d’âme d’Anne, pleine d’imagination dans ce qu’elle vit et ressent et qui l’emporte très souvent dans de grandes envolées lyriques et mélodramatiques. Anne se révèle très attachante au point qu’elle arrive à se faire aimer de tout son entourage. Pleine de vie, elle ne laisse personne indifférent. Il est très agréable de voir grandir Anne et de voir le monde à travers elle, elle qui s’émerveille d’un rien. Coup de cœur pour ce premier tome des aventures d’Anne Shirley, une jeune fille certes rêveuse mais pétillante, vive et intelligente!

Au cours de ma lecture, je me suis rappelée des passages du premier des trois téléfilms canadiens de Kevin Sullivan, Le bonheur au bout du chemin (1985) avec Megan Follows dans le rôle d’Anne Shirley et que j’avais vus il y a très longtemps à la télévision quand j’étais adolescente, sans savoir, à l’époque qu’il s’agissait d’une adaptation d’un roman paru pour la première fois en 1908.

Pour un autre avis sur ce tome 1: MissyCornish.

Participation #8 Challenge Cottagecore 2022 de MissyCornish #Retour aux sources

Participation #11 Challenge 2022 en classiques de Blandine et Nathalie #Classique canadien

Challenge Petit Bac d’Enna #6 Catégorie Couleur: « Green »

Participation #71 Challenge Le tour du monde en 80 livres de Bidib #Canada

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