Étiquette : mensonge (Page 1 of 2)

Au fil des pages avec Notre (fabuleuse) désastreuse Christmas Party

J’ai lu la seconde lecture commune pour le challenge Il était 11 fois Noël et qui a été choisie lors d’un sondage sur le forum interactif du Chalet: Notre fabuleuse désastreuse Christmas Party d’Émilie Parizot (éd. Hugo Poche, octobre 2023, 300 pages), une romance contemporaine de Noël se déroulant à Chicago. En ce 3 novembre, Samuel Barvissi, le patron loufoque et fan incontesté de Noël de la société Warm Me Up commercialisant des doudounes hors de prix charge son assistante de direction, Blair Miller de la décoration des locaux de l’entreprise mais aussi et surtout d’assister Sonny Harvey, un organisateur d’événements, engagé pour la soirée d’entreprise de Noël, une grandiose Christmas Party du 20 décembre. Les deux arriveront-ils à s’entendre, se faire confiance et à satisfaire les demandes exubérantes de Samuel? 

Il s’agit d’un slow burn dans le milieu professionnel, Blair et Sonny devant collaborer quelques semaines pour organiser une Chritmas Party pour les employés et n’osant pas succomber à leur attirance mutuelle afin de ne pas mettre en péril leur job, leurs secrets et leurs mensonges, les deux ayant la vingtaine et étant au début de leur vie professionnelle. Leur duo est attachant et l’alchimie entre les deux fonctionne très bien, chacun avec son caractère propre: d’un côté, une jeune femme indépendante, résiliente, franche, un brin Grinch, n’ayant pas sa langue dans sa poche et avec un humour un brin cassant et de l’autre côté, un jeune homme charmeur, fleur bleue, adepte de Noël mais qui cache bien son petit caractère aussi. J’ai apprécié d’avoir le double point de vue, les chapitres alternant entre Blair et Sonny.

Sans oublier les personnages secondaires avec en tête le patron de la société Warm Me Up. Sans trop spoiler l’histoire, il m’a très vite fait penser, avec son côté excentrique et son idée de Christmas Party, à Bilbon Sacquet. Mais je n’en dirai pas plus sauf que j’avoue, qu’avec ses idées complètement farfelues, il m’aurait vite fatiguée si j’avais dû travailler au quotidien avec lui.

Un très bon moment de lecture qui est pour le moment la romance de Noël que j’ai préférée cette année! J’avais d’ailleurs apprécié de cette autrice Ça reste entre nous (éd. Autoédition, avril 2022, 390 pages).

Pour d’autres avis sur cette romance de Noël: Au fil des pages, Samarian, LilasViolet, Le temps qui file.

Participation #21 Challenge Il était 11 fois Noël de Chicky Poo et Samarian #LC/Romance de Noël

Participation #20 Challenge Christmas Time 2023 de MyaRosa #Romance de Noël

Challenge Petit Bac d’Enna #1 Catégorie Adjectif: « Désastreuse »

Au fil des pages avec L’Affaire des cookies disparus

Nous lisons et relisons très régulièrement L’Affaire des cookies disparus d’Eoin McLaughlin et Marc Boutavant (éd. Nathan, 2020), un album jeunesse à partir de 4 ans sous-titré L’anti-abécédaire. Une chose terrible est arrivée dans cet abécédaire: les cookies ont disparu pour le plus grand malheur de Bob, un ours bien décidé à mener l’enquête. Qui peut bien être l’auteur de ce terrible méfait: un renard, un poulpe géant ou bien encore un porcelet? Et si les apparences étaient trompeuses?

Bob le narrateur passe de lettre en lettre pour débusquer le coupable tout en s’accordant des pauses gourmandes (glace à l’italienne, yaourt…) et croise même la route d’un manchot empereur musicien. Les illustrations de Marc Boutavant sont toujours aussi jolies et pleines de malice. Coup de cœur pour cet abécédaire décalé et loufoque pour apprendre l’alphabet sous fond d’enquête policière farfelue et menée par un ours bien gourmand!

Et au passage, je valide à nouveau la catégorie « Un dessert (sucré) » du Menu complet du challenge Des livres (et des écrans) en cuisine avec des cookies.

Participation #31 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2022 de Bidib et Fondant #Menu complet (Un dessert (sucré)/Cookies)

Participation #66 Challenge Le tour du monde en 80 livres de Bidib #Irlande (Auteur) et France (Illustrateur)

Au fil des pages avec le tome 1 du Poids des secrets

Pour la lecture commune du 8 avril d’Un mois au Japon,  j’ai choisi de découvrir Tsubaki d’Aki Shimazaki (éd. Actes Sud, coll. Babel, n°712, 1999, rééd. 2016, 115 pages), un roman court constituant le premier tome de la première pentalogie Le poids des secrets de cette autrice japonaise.

Dans les années 1990, Yukiko, dans la soixantaine, vient de mourir et laisse à sa fille Namiko deux lettres écrites trois semaines avant sa mort, une à son attention et la seconde qu’elle doit remettre à un certain Yukio Takahashi dont Namiko n’a jamais entendu parlé. Qui était-il pour sa mère? Quel terrible secret familial cachait Yukiko qui avait pourtant survécu à la bombe atomique tombée sur la ville de Nagasaki le 9 août 1945?

En lisant cette lettre-testament, Namiko est sous le choc des révélations de sa mère sur son enfance paisible à Tokyo puis son adolescence de 14 à 16 ans à Nagasaki en pleine Seconde Guerre mondiale mais aussi sur son grand-père paternel qui a certes péri lors du bombardement atomique mais pas de la façon dont elle le pensait. Yukiko y décrit sa vie d’alors, son premier amour impossible avec Yukio, la découverte des mensonges et choix de son père qui se révèle derrière un père aimant bien lâche, égoïste et manipulateur en mari infidèle…

J’ai beaucoup apprécié ce court roman à l’écriture simple, épurée et pourtant rempli d’émotions contenues. L’autrice aborde, de façon pudique et délicate, des thèmes graves et douloureux à travers une histoire de famille centrée sur le père d’Yukiko qui se mélange à la grande Histoire: deuil, poids pesant des traditions familiales dans le Japon du début du XXe siècle et ses conséquences sur la relation de couple (mariage arrangé, adultère…), conditions de vie pendant la Seconde Guerre mondiale (travail des enfants dans l’effort de guerre, difficulté pour se nourrir, cruauté des soldats japonais, racisme à l’égard des Coréens, prisonniers américains, bombe atomique des Américains…), etc.

Un très bon moment de lecture avec Tsubaki qui signifie camélia, la fleur préférée d’Yukiko qui voulait mourir de la même façon que le camélia rouge et qui était l’emblème des Samouraïs! J’ai hâte de pouvoir lire les tomes suivants de ce premier cycle qui permettent d’en découvrir un peu plus sur les personnages et les faits évoqués dans ce premier tome ainsi que les cycles suivants.

Pour le challenge Des livres (et des écrans) en cuisine, j’ai enfin noté quelques passages gourmands comme par exemple un repas du matin japonais (p.65): « du riz, de la soupe miso, des œufs et des nori », le petit déjeuner des parents de Namiko, cette dernière préférant « manger du pain avec de la confiture et du lait ».

Pour d’autres avis avec cette LC autour d’un livre d’Ari Shimazaki: Hilde avec Sémi (tome 2 du cycle 4) et qui avait aussi lu Tsubaki comme Lou, Maggie avec Mitsuba (le tome 1 du cycle 2, Au cœur du Yamato) et Katell avec Azami (tome 1 du cycle 3, L’ombre du chardon).

Participation #2 Un Mois au Japon 2022 d’Hilde et Lou #LC autour d’un livre d’Ari Shimazaki

Participation #10 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2022 de Bidib et Fondant #Cuisine japonaise

Participation #24 Challenge Le tour du monde en 80 livres de Bidib #Japon

Pause ciné: L’ogre de la Taïga

La semaine dernière, la classe de mon mini lutin est allée à la cinémathèque voir L’ogre de la Taïga sorti en France en 2013 et composé de 4 courts métrages d’animation russes (Studio Pilot) à partir de 4 ans mettant en scène, dans des styles différents, des contes slaves indépendants les uns des autres. Les techniques d’animation traditionnelles et le rythme lent peuvent dérouter. Mais les thèmes abordés captent l’attention (la ruse, le mensonge ou encore de la quête du bonheur…).

C’est aussi l’occasion de faire découvrir la culture russe aux plus jeunes. En effet, entre chaque intermède, le narrateur donne des informations rapides sur la Russie et la région dont est issu le conte (drapeau, folkore russe, texte en cyrillique…). D’ailleurs, L’ogre de la Taïga fait partie d’un projet plus vaste de « La montagne des joyaux ».

  • Le chat et la renarde de Konstantin Bronzik (2004)

Un chat fainéant et insupportable est abandonné par son maître dans la forêt. il y fait la connaissance d’une renarde à qui il prétend être le gouverneur de Sibérie. En retour, la renarde lui demande d’être sa femme, voyant en lui un moyen rusé pour mener une vie paisible, sans avoir à se soucier des grands prédateurs de la forêt. Son plan fonctionnera-t-il?

Le duo chat/renarde fonctionne bien. Le chat ne doit sa survie qu’à l’intelligence de la renarde qui arrive par la ruse et la manipulation à avoir de la nourriture de la part des grands prédateurs tels que le loup, l’ours et le sanglier. Cela me rappelle Gruffalo (l’album jeunesse ayant également été adapté en court métrage d’animation que nous avions aussi vu l’année dernière à la cinémathèque). Les mêmes thèmes sont d’ailleurs repris dans le quatrième conte, Gare aux loups!, le hasard (ou pas) du doublage du bouc faisant qu’il s’agit du même doubleur que celui de la souris dans Le Gruffalo, à savoir Pierre Lorgnay.

  • Les trois chasseurs de Sergueï Merinov (2010)

Le géant de la forêt attrape trois chasseurs et leur chien. Ils n’auront la vie sauve que s’ils arrivent, chacun leur tour, à raconter une histoire contenant un animal sans jamais prononcer le nom. Chacun à leur façon, les trois chasseurs parlent du même animal, un lièvre. Le géant le devinera-t-il?

Je crois que c’est le conte que j’ai le plus apprécié, même si les personnages les plus rusés sont les chasseurs. C’est avant tout le jeu des devinettes que j’ai trouvé très imaginatif et qui permet de faire comprendre aux jeunes spectateurs qu’il est possible de décrire un même animal de différentes façons (les dents, la queue ou les oreilles).

  • La petite Khavroshka d’Inga Korjnera (2007)

Après la mort de ses parents, Khavroshka, une petite fille est recueillie avec sa vache par une vieille femme-sorcière qui vit avec ses trois filles. La petite fille devient très vite une domestique maltraitée et jalousée pour sa beauté. Chaque soir, elle se réfugie auprès de sa vache magique, seule véritable amie qui la rattache à ses parents et qui lui permet de faire les dures corvées dont certaines sont irréalisables. Mais la vieille femme se doute de quelque chose et envoie ses filles espionner Khavroshka qui arrive à déjouer la surveillance de deux des trois sœurs, mais pas la dernière, oubliant de lui fermer son troisième œil. 

Ce conte m’a fait penser à Cendrillon. Comme elle, Khavroshka est une souillon orpheline qui deviendra princesse, la fée étant ici la vache protectrice. Il est assez sombre et dur, malgré la fin heureuse, surtout pour les jeunes spectateurs puisqu’on voit la mort des parents de la petite fille emportés dans l’autre monde et que la vache est tuée puis mangée avant de revivre sous la forme d’un pommier. Nous en avions déjà lu une autre version de ce conte, Févronia la douce dans Contes de Russie de Robert Giraud et Sébastien Pelon (éd. Flammarion Jeunesse, coll. Père Castor, 2013) avec la vache magique mais en rendant moins omniprésente la mort des parents de la petite fille.

  • Gare aux loups! de Natalia Berezovaya (2005)

Un bouc se sauve avec un bélier qui était sur le point d’être tué par leur propriétaire pour être mangé. Alors qu’ils cherchent un endroit pour la nuit, ils aperçoivent un feu de camp entretenu par des loups. Finiront-ils manger? Ou arriveront-ils à vivre paisiblement avec leurs prédateurs?

Comme dans Le chat et la renarde, nous retrouvons la même mécanique comique autour d’un duo cette fois bouc/bélier, le bouc faisant preuve de beaucoup de ruse et de courage, rattrapant même la niaiserie du bélier, pour finir plus fort que les loups et même que l’ours appelé en renfort par ces derniers. Une histoire rigolote qui renverse les codes établis entre prédateur/proie!

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller sur le site des Films du Préau (extraits/photos, jeux et activités…).

Participation #49 au Challenge Contes & Légendes 2021 de Bidib

Nos lectures Pinocchio

Dans le cadre du Mois italien 2021, j’ai lu la semaine dernière Pinocchio de Carlo Collodi dans plusieurs versions illustrées, adaptées ou non. Il est vrai que de ce conte italien paru pour la première fois en 1881 je ne connaissais que sa version Disney, ayant vu petite le film d’animation.

  • Pinocchio de Carlo Collodi

J’ai commencé par l’œuvre originelle: Les aventures de Pinocchio, histoire d’un pantin de Carlo Collodi et illustré par Carlo Chiostri (éd. Gallimard Jeunesse, coll. Folio Junior, rééd. 2009, 237 pages), un roman jeunesse à partir de 10 ans. Il s’agit d’un roman d’apprentissage et d’un conte initiatique, Pinocchio passant de pantin en bois immature, insolent et menteur à bon petit garçon à force d’épreuves, plus ou moins dures et humiliantes.

Dans ce conte moralisateur, Carlo Collodi fait l’éloge de l’instruction, de l’école et du travail, l’enfant étant considéré comme un être mauvais par nature et qu’il faut éduquer. Il doit être un bon enfant obéissant et docile pour finir par être un adulte travailleur. Si un individu est pauvre c’est parce qu’il est fainéant et qu’il ne travaille pas assez pour réussir. Les illustrations en noir et blanc de Carlo Chiostri montrent un Pinocchio plus adolescent que petit enfant.

D’autre part, l’histoire s’ancre dans une Italie pauvre et rurale. Geppetto est un travailleur pauvre qui offre le peu qu’il a pour permettre à Pinocchio d’aller à l’école. Ce dernier mettra du temps à s’apercevoir des sacrifices de son père, préférant dans un premier temps l’oisiveté plutôt que l’école. Mais en même temps, quel enfant ne préférerait pas aller voir un spectacle de marionnettes (avec les personnages de la Commedia dell’arte), de jouer tout le temps comme au Pays des Jouets plutôt que de s’enfermer dans une salle de classe pour étudier? A chaque fois que Pinocchio choisit la facilité, l’oisiveté et/ou les petits larcins, il s’éloigne de sa famille et finit puni en prison, attaché comme un chien, pendu et même transformé en âne. Il apprend ainsi ce qu’est l’amour inconditionnel des parents car quoi qu’il fasse, il peut compter sur la bonne fée aux cheveux bleus et Geppetto et aussi l’entraide avec le chien et le thon. Finalement, en étant courageux, sage et honnête, Pinocchio finira par devenir un vrai petit garçon.

J’ai enfin noté des passages gourmands pour le challenge Des livres (et des écrans) en cuisine lorsque Pinocchio dévore les poires rapportées par Geppetto ou bien encore quand il est pris pour un poisson rare. Il y a également le copieux repas pris à l’auberge de l’Écrevisse rouge par Pinocchio, le Renard et le Chat (p.63/64).

  • Pinocchio illustré par Quentin Gréban

Je lis ensuite ensuite la version abrégée et illustrée par Quentin Gréban, d’après Carlo Collodi (éd. Mijade, 2010), un album jeunesse grand format à partir de 6/7 ans et se découpant en 36 chapitres comme le roman originel.

Les magnifiques illustrations aux couleurs pastel de Quentin Gréban adoucissent la dureté du texte, tout en en décrivant les moments les plus marquants comme par exemple la rencontre avec le Renard et le Chat (et leur copieux repas) ou la Fée aux cheveux bleus qui se comporte envers Pinocchio comme une véritable mère. Pinocchio est plus enfantin et naïf. Le grand format de l’album accentue également le côté épique et lyrique des dernières péripéties du parcours initiatique de Pinocchio avec l’effrayant requin et ses retrouvailles avec Geppetto. J’ai été plus touchée par les illustrations de Quentin Gréban que celles de Carlo Chiostri. Il est vrai que c’est un illustrateur que j’apprécie déjà beaucoup.

  • Pinocchio d’Anne Royer et Aline Bureau, d’après Carlo Collodi

Je continue avec une autre version abrégée du roman de Carlo Collodi avec Pinocchio d’Anne Royer et Aline Bureau (éd. Lito, 2011), un album jeunesse à partir de 6 ans et présentant l’histoire en 7 chapitres de façon plus édulcorée que celle du roman originel.

Pinocchio a des traits ronds et plus enfantins le rendant déjà plus enfant que pantin en bois. Les illustrations mettent surtout en avant les liens familiaux avec Pinocchio, Geppetto et la fée aux cheveux bleus. Les autrices ne mentionnent pas les décès du roman originel comme celui du Grillon parlant ou de Lumignon.

  • une version Disney de Pinocchio

Je passe ensuite une adaptation libre du film d’animation de Walt Disney de Pinocchio par Vezio Melegari (éd. Hatier, 1973), un album jeunesse reprenant des illustrations en noir et blanc et en couleurs issues du film.

Dans la version Disney, Pinocchio est un pantin de bois beaucoup moins polisson et plus candide et naïf que celui décrit par Carlo Collodi. Ce n’est pas de son fait qu’il se détourne de l’école mais à cause de mauvaises rencontres. Alors qu’il est tué très rapidement dans le roman par Pinocchio, le Grillon parlant est ici un des personnages principaux puisqu’il devient la Conscience du Pantin, cette petite voix intérieure qui doit guider le pantin de bois sur le bon chemin et qui le sauve à chaque fois in extremis. En effet, ce n’est pas en apprenant de ses erreurs ou par l’entraide que Pinocchio échappe au pire mais grâce au Grillon Parlant. Le redoutable requin est devenu une baleine.

  • une version Disney de Pinocchio pour les plus jeunes

Je lis également la version adaptée pour les plus jeunes lecteurs, d’après le film d’animation de Disney de 1940: Pinocchio (éd. Hachette, 1998), un album jeunesse à partir de 5 ans. Sont reprises en les simplifiant les grandes lignes du film.

En effet, les illustrations en couleurs reprennent celles du film. On y retrouve le naïf Pinocchio qui enchaîne les bêtises et les mensonges, la fée bleue, Geppetto avec son chat Figaro et son poisson rouge Cléo et aussi Jiminy Criquet, la voix de la conscience que n’écoute pas Pinocchio.

Pour d’autres versions de ce roman: celle illustrée par Nathalie Novi chez Marilyne.

Challenge Contes & Légendes 2021 de Bidib

Challenge 2021, cette année sera classique de Blandine et Nathalie

Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant

Participation #1 au Mois italien 2021 de Martine

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