Étiquette : cuisine (Page 3 of 5)

Au fil des pages avec Le carnaval de l’ogre

Dans nos derniers emprunts à la médiathèque sur le thème du carnaval, nous lisons Le carnaval de l’ogre de Catherine Tamain et Marjorie Béal (éd. Âne bâté, 2018), un album jeunesse à partir de 3 ans. Pour le carnaval organisé à l’école maternelle de Margotte, un ogre ne sait pas quel déguisement choisir. Il demande conseil auprès de ses amis bien occupés mais qui lui font cadeau de morceaux de tissus. Quel déguisement portera-t-il?

Quelle chouette histoire tendre et rigolote avec un gentil ogre! Les illustrations sont colorées et invitent à faire la fête. Il y est aussi question du Bonhomme Hiver, symbolisant une fois brûlé le passage de l’hiver au printemps. Un très bon moment de lecture! J’ai vu qu’il existait d’autres histoires de l’ogre et Margotte avec la soupe: La bonne soupe de l’ogre et la galette: L’ogre, Margotte et la galette.

Pour prolonger la lecture, nous faisons des activités trouvées sur le blog de La Maternelle de Bambou (associer les personnages à leur lieu de travail et un arlequin à colorier) et aussi des bugnes en suivant la recette insérée sur la dernière page de garde de l’album. La recette est toute simple puisqu’il faut remuer tous les ingrédients avec les doigts jusqu’à obtenir une pâte assez élastique. Une fois la pâte reposée, j’ai découpé des morceaux légèrement épais pour les faire dorer dans une friteuse. Délicieux saupoudrés de sucre glace! Je pense que la prochaine fois à la place du zeste de citron je mettrai de la fleur d’oranger voire même reprendrai la recette pour des beignets à la pomme.

Participation #21 au Challenge Contes & Légendes 2021 de Bidib #Traditions

Participation #21 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant #Bugnes

Participation #2 Les Gourmandises de Syl 2021 #Bugnes

challenge 2021 lire au féminin

Participation #5 au Challenge Lire au féminin de Tiphanya #Auteure européenne

Au fil des pages avec Le bonhomme de pain d’épice

Lors du RAT de St-Valentin, nous avons lu deux versions du conte-randonnée gourmand du bonhomme de pain d’épice, un conte traditionnel paru pour la première fois aux États-Unis en 1875. Puis le week-end dernier, nous en avons lu une troisième version.

  • Le bonhomme de pain d’épice

  Nous commençons par lire Le bonhomme de pain d’épice de Jim Aylesworth et Barbara McClintock (éd. Circonflexe, 1998), un album jeunesse à partir de 3 ans. L’histoire se présente comme un conte-randonnée nous rappelant le conte slave avec une galette, Roule Galette. Une vieille et un vieux préparent ensemble un bonhomme de pain d’épice. Mais en cours de cuisson, le bonhomme de pain d’épice s’échappe du four. S’ensuit une course-poursuite, le biscuit chantant un petit refrain se vantant de ne pas être attrapé. Il croise alors un renard. Ce dernier sera-t-il plus rusé que les autres poursuivants pour manger le bonhomme de pain d’épice?

Les illustrations sont vintage pour ne pas dire vieillottes et rappellent des albums beaucoup plus anciens, nonobstant le fait que cet album jeunesse soit paru en 1998. Le bonhomme de pain d’épice avec ses jolies couleurs a une bouille mignonnette. Outre le biscuit, les autres animaux sont aussi anthropomorphes. 

  •  Malicieux pain d’épice

Puis nous enchaînons avec une autre version que j’ai préférée à la précédente: Malicieux pain d’épice de Jan Brett (éd. Gautier-Languereau, 1999), un album jeunesse à partir de 3 ans. Martin, un petit garçon prépare avec sa mère un bonhomme de pain d’épice. Mais il ouvre le four avant la fin de la cuisson et le bonhomme de pain d’épice s’échappe. Tandis que Martin reste en cuisine pour relire le livre de recettes, le biscuit tente d’échapper à ses poursuivants comme le chat ou le renard.

Comme dans d’autres albums jeunesse de Jan Brett, les illustrations sont vintage avec une mise en page dynamique et annonçant dans des petits cadres les illustrations suivantes. Nous avions déjà vu ce même procédé de cette autrice dans Le parapluie. Dans cette version, le bonhomme de pain d’épice a une fin heureuse, la chute de l’histoire se faisant avec un rabat à soulever.

  • Le petit bonhomme de pain d’épice

Nous lisons enfin, quelques jours plus tard, Le petit bonhomme de pain d’épice d’Anne Fronsacq et Gérard Franquin (éd. Flammarion Jeunesse, coll. Père Castor, 1999), un album jeunesse à partir de 3 ans et qui reprend la même trame narrative que Le bonhomme de pain d’épice de Jim Aylesworth et Barbara McClintock.

Une vieille femme prépare un petit bonhomme de pain d’épice qui s’enfuit lors de sa cuisson. Le couple le poursuit puis d’autres animaux. Mais arrivant au bord d’une rivière, il ne peut aller plus loin. Un renard lui propose son aide. Les illustrations sont plus douces que les précédents versions, rondes et colorées. 

***

Pour prolonger la lecture, nous avons également confectionné un petit bonhomme en pain d’épice avec sa maisonnette. J’avais acheté pour l’occasion un kit Baker Ross de décorations de pain d’épice à coudre à partir de 4/5 ans. Le kit comprend des aiguilles en plastique pour les enfants, des fils, des décorations à coller et de la nicofibre pour rembourrer les objets que nous pourrons suspendre sur notre sapin de Noël.

Participation #20 au Challenge Contes & Légendes 2021 de Bidib #conte traditionnel

Participation #7 au challenge 2021, cette année sera classique de Blandine et Nathalie

Participation #20 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant #Pain d’épice

Challenge Petit Bac d’Enna #4 et #5 Catégorie Être humain: « Bonhomme » et #4 Catégorie Aliment/Boisson: « Pain d’épice »

challenge 2021 lire au féminin

Participation #4 au Challenge Lire au féminin de Tiphanya #Auteure d’Amérique du Nord

Semaine 5 du Projet 52-2021: Pliage(s)

Pour la semaine 5 du Projet 52-2021 de Du côté de chez Ma’, le thème est « Pliage(s)« . Voici une photo de nos activités « crêpes party », la Chandeleur ayant eu lieu ce mardi. C’est vrai qu’au départ le thème de la semaine m’a fait penser aux origamis mais j’en avais déjà montré un lors d’une année précédente. Et puis en pliant une crêpe au sucre ce matin, je me suis dit que c’était une façon gourmande de montrer des pliages, avec aussi le dé du jeu de crêpes qui a été aussi plié pour le former avec une feuille de papier (un jeu de société DIY trouvé sur Ma Tchou team).

A noter aussi nos deux lectures autour des crêpes avec une relecture, le tome 1 de P’tit Boule & Bill, La partie de crêpes de Laurence Gillot et Jose Luis Munuera (éd. Dargaud, 2017), une BD jeunesse pour les 3-6 ans et Kiki, King de la banquise, fait des crêpes de Vincent Malone et Jean-Louis Cornalba (éd. Seuil Jeunesse, 2015), un album jeunesse à partir de 4 ans.

Au fil des pages avec Patou la mêle-tout

Nous empruntons à la médiathèque Patou la mêle-tout de Lieve Baeten (éd. Mijade, 1990, rééd. 2004), un album jeunesse à partir de 3 ans. Lors d’une nuit de pleine lune, Patou, une petite sorcière en herbe s’approche d’une maison éclairée et, trop curieuse, tombe dans le grenier en cassant son balai. Elle descend alors tous les étages de la maison jusqu’à la cave, rencontrant à chaque étage une sorcière. Une d’entre elles pourra-t-elle l’aider à réparer son balai magique?

Un chouette moment de lecture avec cette nouvelle histoire rigolote en attendant Halloween avec ces gentilles sorcières et en particulier la sorcière cuisinière! Les illustrations sont remplies de détails et les sorcières très expressives.

Pour prolonger la lecture, je trouve de nombreuses activités sur des blogs pour le niveau maternelle comme Materalbum ou La Maternelle d’Isabelle. En effet, il y a de nombreuses pistes d’exploitation pédagogique avec les quatre sorcières confirmées (musicienne, cuisinière, dormeuse et bricoleuse). Nous nous amusons par exemple à associer à chaque sorcière leurs objets. Puis en graphisme, nous faisons du découpage et du collage en alternant pour le fond bleu bande claire et bande foncée. Nous y collons un rond jaune pour la lune et Patou sur son balai avec son chat que nous colorions. Nous finissons en écrivant Patou en lettres majuscules et en posant des gommettes d’étoiles argentées.

Challenge Halloween de Hilde et Lou #Sorcière

Participation #16 au challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant

Challenge Petit Bac d’Enna #12 Catégorie Animal: « Patou »

Au fil des pages avec Une saison au bord de l’eau

J’emprunte à la médiathèque, lors du RAT gourmand des 21 au 23 août 2020, Une saison au bord de l’eau de Jenny Colgan (éd. Prisma, 2018), le premier tome de sa dernière série de romans. A la fin du RAT, dimanche soir, je m’arrête au chapitre 19. Puis le lendemain, accompagnant L’Orouge qui poursuit le marathon le lundi, je termine par intermittence en journée et surtout en soirée, de 21h45 jusqu’à 1h20 le roman.

Flora MacKenzie, Assistante juridique dans un important cabinet d’Avocats londonien est contrainte, pour des raisons professionnelles, de retourner sur Mure, l’île écossaise de son enfance. En effet, Colton Rogers, un client important du cabinet exige sa présence en tant qu’originaire de cette île pour influencer la décision du conseil municipal afin qu’aucune éolienne ne soit installée sur sa propriété. Au décès de sa mère, elle avait pourtant décidé de ne plus jamais y mettre un pied. Les retrouvailles avec son père et ses trois frères ne sont pas des plus chaleureuses. Pourtant, après avoir découvert le carnet de recettes de sa mère, Flora va peu à peu retrouver sa place au sein de la communauté de Mure, lui permettant d’accomplir sa mission professionnelle. Cela lui permet également de se rapprocher de Joël, l’Avocat en charge du dossier et pour lequel elle a un grand faible. Entre romance et recettes de cuisine, les jours passent sur l’île, Flora se sentant de plus en plus épanouie. Et si ce retour à Mure était l’occasion de changer de vie pour Flora?

L’intrigue de ce feel good est classique et déjà vue mais l’histoire reste plaisante pour une lecture estivale, sous fond de légende écossaise/celte des selkies ou femmes-phoques! L’aspect juridique de l’histoire est vraiment accessoire puisque, comme d’autres livres de Jenny Colgan, c’est la « reconversion professionnelle » dans la cuisine – pâtisseries et petits plats traditionnels – qui importe. Dans cette histoire, bien qu’employée comme Assistante juridique, Flora se retrouve à la tête d’un petit commerce de plats à emporter concoctés à partir du livre de recettes de sa mère pour peser sur la décision du conseil municipal dans le vote du lieu d’implantation des éoliennes sur l’île. C’est bien loin de la  gestion d’un dossier dans un cabinet d’avocats! J’espère pouvoir lire la suite rapidement, Une rencontre au bord de l’eau, lorsque celle-ci sera disponible à la médiathèque. Cela m’a également donné envie d’en savoir plus sur les selkies.

Pour un autre avis sur ce roman: Syl.

Participation #44 Contes & Légendes 2020 de Bidib #légende écossaise/celte

Participation #8 au challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant

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