Catégorie : Mini baladeur (Page 19 of 20)

Sète et son port de pêche

Eglise Saint-Joseph

La Décanale de Saint-Louis

Ce 10 mai 2009, nous nous rendons à Sète et y arrivons en fin de matinée. Mais le temps se gâte soudainement. Malgré la pluie fine et le vent, nous montons au sommet du Mont Saint-Clair, à 183 mètres d’altitude. Au détour d’une rue, au niveau de l’Église Saint-Joseph, nous voyons une pratique existant également dans le Vieux-Nice: des paires de chaussures sont suspendues sur les câbles électriques.

Panorama du Mont Saint-Clair

Malgré la grisaille, nous avons une jolie vue au niveau du Panoramique des Pierres Blanches. En effet, nous avons une vue plongeante sur Sète, la Mer méditerranée, les canaux et l’étang de Thau. La commune porte bien son nom de « Venise du Languedoc ».

Chapelle Notre Dame de la Salette

Nous visitons ensuite la Chapelle Notre Dame de la Salette datant de la fin du XIXe siècle et ses jolies fresques.

Théâtre de la Mer

Fort Richelieu

Puis nous redescendons vers le port de pêche et faisons une pause déjeuner dans un des restaurants du port avec au menu une paella de la mer. Nous repartons en longeant le bord de mer. Nous passons devant le Théâtre de la Mer, ancien fort, le cimetière marin dans lequel est enterré Paul Valéry, le Fort Richelieu… Dans le cimetière Le Py, se trouve la tombe de Georges Brassens.

MIAM – Sète

Nous finissons cette journée par le Musée International des Arts Modestes (MIAM). Dans le musée, nous pouvons regarder de nombreuses œuvres d’art pour le moins colorées et parfois très enfantines : peintures, sculptures, planches de bandes dessinées, anciens jouets…

Gignac

Pont de Gignac

Ce 9 mai 2009, en fin d’après-midi, nous partons de Saint-Guilhem-le-Désert pour nous rendre à Gignac, à un peu plus de 10 kilomètres de là. Avant d’arriver dans la commune, nous faisons une pause pour regarder de plus près le Pont de Gignac. Comme indiqué sur la plaque apposée sur le pont, ce dernier a été jugé comme le plus beau pont du XVIIIe siècle. Construit entre 1776 et 1810, il est à trois arches. Un sentier est aménagé le long des berges du fleuve Hérault.

Puis nous nous rendons à Gignac et commençons notre déambulation dans les rues et les places de la commune. A l’instar du pont de Gignac, plusieurs sites sont classés monuments historiques: la Grande Rue, l’église Notre Dame de Grâce, la place Saint-Pierre…

Tour de Gignac

A quelques jours près, nous aurions pu assister à une fête annuelle à Gignac. En effet, chaque année, le jour de l’Ascension est fêté l’âne Martin qui aurait, selon la légende, prévenu les villageois d’une attaque imminente des Sarrasins en l’an 719 et leur aurait permis de les repousser.

La nuit commence à tomber et nous reprenons la route à travers les vignobles pour rentrer à Montpellier, laissant derrière nous Gignac et son passé médiéval. Le lendemain, nous irons à Sète et son port de pêche.

Balade à Saint-Guilhem-le-Désert

Ce 9 mai 2009, nous allons à Saint-Guilhem-le-Désert, situé  à une trentaine de kilomètres de Montpellier. Nous nous garons sur le parking en contrebas de la commune et suivons le ruisseau Verdus qui nous offre une jolie petite cascade. La forêt avoisinante est remplie de pins noirs, les pins de Salzmann.

Abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert

Nous arrivons bientôt à l’Abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert que nous visitons. Cette abbaye bénédictine fut fondée en l’an 804 puis reconstruite au XIe siècle en même temps que le cloître. De style roman languedocien, elle est une étape pour les pélerins faisant les chemins de Saint-Jean-de-Compostelle, inscrite à ce titre au patrimoine mondial de l’UNESCO. A l’intérieur, s’y trouve un orgue datant du XVIIIe siècle et fabriqué par Jean-Pierre Cavaillé de 1782 à 1789, juste avant la Révolution française. Cet édifice religieux était autrefois appelée Abbaye de Gellone du nom du vallon dans lequel le village a été construit.

Cloître de Saint-Guilhem-le-Désert

Puis nous continuons notre visite par le cloître qui, avec le temps, fut démantelé, des éléments sculptés ayant été même achetés par un collectionneur américain au début du XXe siècle. Il est ainsi possible de voir une reconstruction du cloître à New York, au musée The Cloistrers. Après être passés sous les galeries, nous nous rendons dans le réfectoire des moines.

Nous sortons ensuite de ces lieux pour déambuler dans les ruelles du village. Puis nous faisons une pause rafraîchissante sur la place de la Liberté où de nombreux touristes sont assis en terrasse, admirant l’immense platane de près de 150 ans d’âge. Nous ne nous attardons pas trop et repartons pour faire une balade. En effet, la commune est le lieu de départ de nombreuses randonnées.

Château du Géant

Nous choisissons la randonnée allant à l’ermitage Notre-Dame-du-Lieu-Plaisant. Nous remontons la rue du Bout du Monde pour sortir du village et suivons ensuite, sur notre droite, le GR74 en direction des ruines du Château du Géant qui surplombe Saint-Guilhem-le-Désert. Une légende entoure ce château. On raconte qu’un géant y aurait vécu avec une pie et qu’il aurait terrorisé les habitants du village. Il aurait envoyé quotidiennement une servante chercher de l’eau au puits du village. Un jour, le chevalier Guilhem, déguisé en servante, aurait réussi à le tuer. Nous ne pouvons pas visiter ces ruines, le site étant une propriété privée.

Plus d’une heure après le début de notre balade, nous faisons demi-tour et redescendons au village, après avoir fait une petite pause pour admirer la vue plongeante sur Saint-Guilhem-le-Désert et ses remparts. En effet, nous n’avions pas prévu une tenue pour randonner. Nous regagnons notre voiture pour nous rendre à Gignac.

L’île d’Oléron, son phare et ses oiseaux

Île d’Oléron – Phare de Chassiron

Île d’Oléron – Phare de Chassiron

Ce 30 décembre 2007, nous quittons Marennes pour emprunter en voiture le pont-viaduc menant à l’île d’Oléron. Nous commençons par le Phare de Chassiron et ses 224 marches. Au sommet, nous avons une vue magnifique à 360 degrés sur Oléron, les rochers d’Antioche, les îles d’Aix et de Ré mais aussi les écluses à poissons et leurs murs de pierre. Nous pourrions rester des heures à contempler ce panorama.

Nous redescendons et allons marcher sur les rochers où l’océan s’est, pour quelques heures encore, retiré.

Île d’Oléron – bernache cravant

Île d’Oléron – aigrette garzette

Île d’Oléron – grand cormoran

Nous avons de la chance d’être à marée basse ; ce qui nous permet d’observer de nombreux oiseaux comme des bernaches cravants qui viennent hiverner sur l’île et qui en profitent pour se nourrir de zostères. Nous verrons également des aigrettes garzette, des mouettes rieuses, des grands cormorans…

Île d’Oléron – citadelle

Île d’Oléron à marée basse

Île d’Oléron – pont-viaduc

Nous finissons enfin notre sortie par Château-d’Oléron, ancienne place forte au XVIIe siècle et plus spécifiquement par la citadelle  qui avait été voulue en son temps par le Cardinal de Richelieu en lieu et place des vestiges du château médiéval détruit par les guerres de religion.

Balade autour du lac de Castillon à Saint-Julien-du-Verdon

Ce 20 mai 2007, nous nous rendons à Saint-Julien-du-Verdon et plus exactement à sa base nautique et ses plages qui sont situées sur la rive gauche du lac de Castillon. Ce lac est un des lacs artificiels du Verdon, en amont du lac de Sainte-Croix. Il existe depuis la création du barrage de Castillon en 1948. D’ailleurs, lorsque l’eau du lac est basse, il est possible d’apercevoir l’ancien pont Julien qui permettait de gagner le village de Castillon qui a été recouvert par les flots.

Muscari à toupet – Saint-Julien-du-Verdon

Mélisse des bois

Nous nous garons sur le parking jouxtant la base nautique. Pour une fois, nous n’irons pas nous détendre sur une des plages. Nous choisissons de prendre le sentier arboré offrant de jolis points de vue sur le lac sur lequel quelques voiliers sont de sortie. Nous marchons ainsi un petit moment, nous arrêtant soit pour regarder le lac soit pour observer fleurs et papillons de toutes les couleurs.

Polygale commun blanc

Polygale commun bleu

En effet, tout a fleuri autour de nous, que ce soit le long du sentier ou près de l’eau : mélisse des bois, muscari à toupet, polygale commun…

Puis nous choisissons de nous installer dans un endroit isolé, sans personne aux alentours. En effet, la plupart des gens se sont groupés sur les plages autour de la base nautique. Nous aurions presque pu nous baigner si nous avions eu la tenue adéquate… Nous y restons une bonne partie de l’après-midi avant de regagner notre voiture.

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