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Au fil des pages avec Les Disparues de Nellie Bly

J’ai lu Les Disparues de Nellie Bly d’Isadora et Samuel Avril (éd. Prisma, mai 2024, 299 pages), un roman historique s’inspirant, de façon romancée, d’une partie de la vie d’Elizabeth Cochrane, de ses premiers pas de journaliste d’investigation au sein du Pittsburgh Dispatch jusqu’à son départ pour relever le pari d’un tour du monde en moins de 80 jours. Ce n’est pas une biographie en tant que telle, le couple d’auteurs ayant fait le choix d’une trame narrative avec pour fil conducteur la motivation de la jeune femme à découvrir, envers et contre tous, le sort des femmes disparues, celles de sa première infiltration au sein d’une fabrique de conserves, à Pittsburgh puis au sein de l’asile sur l’île de Blackwell, à New York, en 1887, sans pourtant, volontairement, respecter les années réelles, le roman commençant en 1885 et non en 1880 (lorsqu’elle avait 21 ans et non 16). 

Après avoir envoyé au Pittsburgh Dispatch une lettre virulente après y avoir lu un article misogyne sur ce que à quoi seraient bonnes les jeunes femmes, Elisabeth Cochrane rencontre son rédacteur en chef Madden. Ce dernier accepte de l’engager comme journaliste à condition qu’elle écrive un article convaincant sur le divorce, ce qui est le cas puis il lui propose d’infiltrer l’usine de fabriques dirigée par M. O’Sullivan afin d’y dénoncer les conditions de travail des ouvrières: pénibilité, cadences au mépris de la sécurité et de la santé, froid, faible salaire… Dès son arrivée, elle est formée par Ruby Spreers, une jeune femme chaleureuse et accueillante qui semble résignée à travailler ainsi, lui assurant un salaire, si dérisoire soit-il, pour vivre avec son père malade, et ne pas finir comme tant d’autres à la rue, à mendier ou même disparaître comme la veuve Bowe qui avait été congédiée de l’usine. Elisabeth Cochrane parviendra-t-elle à écrire son premier reportage d’investigation?

Ce roman est un bel hommage à Nellie Bly, déterminée à être journaliste, courageuse, engagée quant aux droits des ouvriers et des femmes. On la retrouve dans ses premières années professionnelles avec ses doutes et questionnements sur le travail même de journaliste. Comment rester neutre et objective sans se faire démasquer face aux conditions de travail au sein de l’usine puis les mauvais traitements à l’asile? La jeune femme tente de rester détachée et objective, en tant que journaliste, afin de dénoncer, en temps voulu, ce qu’elle voit et endure, malgré des rencontres amicales qui ne la laissent pas indifférentes, que ce soit Ruby, une ouvrière au sein de l’usine de conserves ou Tillie, à l’asile. Dans les deux cas, ce sont les corps des femmes qui sont malmenés dans un monde patriarcal. Il y est ainsi question de la condition de la femme, des droits des ouvriers, des inégalités sociales…

Certes, je n’ai rien appris de plus avec ce roman sur cette célèbre journaliste, ayant déjà lu encore dernièrement par exemple le tome 1 de Pionnières, Nellie Bly de  Nicolas Jarry, Guillaume Tavernier et Guillaume Lopez (éd. Soleil, août 2020, 60 pages), une BD revenant sur son enquête de 10 jours, en 1887, alors qu’elle était âgée de 23 ans, au Blackwell’s Island Hospital de New York en vue d’être engagée par Joseph Pullitzer comme journaliste d’investigation au New York World ou Globe-trotteuses, Le tour du monde de Nellie Bly et Elizabeth Bisland de Julian Voloj et Julie Rocheleau (éd. Dargaud, octobre 2024, 184 pages), un roman graphique dans lequel la jeune femme décide de battre le record de Phileas Fogg et de faire en moins de 80 jours le tour du monde en 1889, et avant qu’une autre journaliste n’en fasse autant, Elizabeth Bisland. 

Mais j’ai apprécié l’arc narratif autour de Ruby qui rêve d’un avenir meilleur. Le récit aurait été d’ailleurs, à mon avis, encore plus intéressant et moins décousu s’il s’était contenté de la seule enquête au sein de le fabrique de conserves et de l’aciérie, la ville de Pittsburgh étant un « personnage » à part entière, surnommée la ville de l’acier, son essor au XIXe siècle étant lié l’industrie sidérurgique avec la présence du charbon et du minerai de fer, avec en arrière-fonds les tensions sociétales, suite aux grèves sanglantes de 1877, la peur de nouvelles révoltes couvant alors, entre les ouvriers des usines, mineurs des mines de charbon comme Ruby et Jimmy d’un côté et les industriels ayant fait fortune comme la famille O’Sullivan. Un bon moment de lecture dans l’ensemble!

Challenge Petit Bac d’Enna #2 Catégorie Personnes célèbres: « Nellie Bly »

Participation # (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2025 de Bidib #Suisse

 

Au fil des pages avec Moi, Méduse

J’avais lu le 5e tome de cette collection mythologique: Moi, Méduse de Sylvie Baussier (éd. Scrineo, coll. Mythologie, janvier 2021, 112 pages), un court roman jeunesse à partir de 10 ans avec dans les premières pages de jolies illustrations en noir et blanc de Tristan Gian et qui se place du point de vue des monstres de la mythologie grecque et non des héros mais ne prends le temps de le chroniquer que ce mois-ci.

Très belle jeune fille dont on loue la beauté de la longue chevelure brune ondulée, Méduse ne se sent pas prête à se marier et refuse tout demande au point d’être considérée comme une humaine orgueilleuse, rendant fou de désir Poséidon, un de ses nombreux prétendants dont elle repousse, comme elle peut, les avances et provoquant la jalousie d’Athéna. Mais alors qu’elle est violée par Poséidon dans un temple dédié à Athéna, cette dernière punit Méduse en la transformant en un monstre hideux, sa chevelure devenant des serpents et pouvant transformer en statue quiconque croise son regard.

Comme lors de ma lecture de Moi, Charybde, piégée avec Scylla (éd. Scrineo, coll. Mythologie, février 2022, 111 pages), j’ai, une nouvelle fois, apprécié le parti pris de l’autrice qui se place du point de vue de Méduse, bien plus victime du Destin, des manigances et jalousies des Dieux et Déesses (ici la jalousie d’Athéna et le désir non réciproque de Poséidon) que « monstre » qui pétrifie les hommes de son regard, surtout au regard de la mythologie grecque et des droits de la femme. Persée est son pendant masculin qui, lui en tant que « héros », a le soutien et la protection des divinités, en particulier d’Athéna. Comme dans les autres tomes de cette collection, il y a la fin un petit dossier documentaire sur le mythe de Méduse ainsi qu’un cahier de jeux sur la compréhension de l’histoire. Un bon moment de lecture instructif et qui questionne sur la condition de la femme dans la Grèce antique!

Participation #8 Challenge Contes & Légendes 2025 de Bidib#Mythologie grecque

Challenge Petit Bac d’Enna #2 Catégorie Animal: « Méduse »

Point lecture hebdomadaire 2025 #19

En cette presque fin de semaine, voici mon point lecture hebdomadaire avec un retour sur nos lectures (mais pas nos relectures) de la semaine dernière.

Nos lectures du 5 au 11 mai 2025:

Des lectures jeunesse:

Nous avons fini de lire le tome 1 d’une trilogie fantasy : La légende de Podkin le Brave, Naissance d’un chef de Kieran Larwood (éd. Gallimard Jeunesse, coll. Folio Junior, octobre 2019, 272 pages), un roman jeunesse à partir de 9 ans avec les aventures de Podkin, Paz et Pook face aux Gorms et qui se termine sur la découverte de l’identité du barde racontant, des décennies plus tard, leur histoire. Nous avons enchaîné avec le tome 2, Le trésor du terrier maudit (octobre 2020, 304 pages), reprenant quelques mois après le premier tome, le barde repartant avec un apprenti-barde, Rutsi.

Des lectures adulte:

  • (Roman graphique) La vie d’adulte de Sophie Adriansen, Eloisa Scichilone et Mauro Gandini

J’ai lu, pour une lecture commune du Mois Italien 2025, La vie d’adulte de Sophie Adriansen, Eloisa Scichilone et Mauro Gandini (éd. First Editions, coll. La vie en bulles, octobre 2022, 216 pages), un roman graphique avec l’histoire de Marina, une jeune femme touchante et en pleine crise existentielle, à l’aube de ses 30 ans, et qui interroge sur le fait de devenir adulte. Graphiquement, il m’a bien plu. Un bon voire très bon moment de lecture avec ce roman graphique feel good dont l’épigraphe en résume bien l’esprit et qui donne envie, si besoin était, de repartir en Italie ou en Charente-Maritime tant pour les yeux que pour les papilles!

  • (Roman historique) Vous ne connaissez rien de moi de Julie Héraclès

J’ai lu Vous ne connaissez rien de moi de Julie Héraclès (éd. JC Lattès, août 2023, 384 pages), un roman historique s’inspirant du cliché pris par Robert Capa de « La Tondue de Chartres » le 16 août 1944 dans une rue de Chartres, à la Libération, une femme tondue et marquée au fer rouge serrant contre elle son nourrisson et qui est conspuée par la foule qui l’entoure, Simone Touseau, alors âgée de 23 ans. Le parti pris de l’autrice est fort déstabilisant puisque même s’il ne s’agit pas d’une biographie, elle en reprend des dates et des événements de la vraie vie de cette sympathisante nazie (secrétaire-traductrice pour la Kommandantur de Chartres, adhésion au Parti populaire français collaborationniste, travailleuse volontaire en Allemagne dans le cadre du Service du travail obligatoire (STO) mis en place par le régime de Vichy…). Le récit romancé et fictif de la vie de Simone Grivise alterne entre la journée du 16 août 1944 au cours de laquelle a été arrêtée avec ses parents par les FFI et le passé de la jeune femme avec son adolescence, son admiration pour la culture allemande, son amour interdit pour un officier nazi, Otto. La jeune mère est rendue attachante, bien naïve et ses liens entretenus avec le régime nazi n’étant finalement pas par idéologie et antisémitisme mais de façon opportuniste, pour survivre en temps d’occupation nazie, par revanche sociale ou par amour. Certes l’épuration est fort détestable et m’a toujours choquée mais l’autrice aurait pu éviter certains écueils et situations ubuesques comme par exemple lorsque Simone rejoint Otto, blessé sur le front de l’Est et en convalescence en Allemagne en ne se basant pas sur une personne ayant véritablement existé et dont on sait qu’elle a été une collaboratrice avérée pendant la Seconde Guerre Mondiale.

  • (Roman court d’apprentissage) Le vent passe et la nuit aussi de Milena Agus

J’ai lu Le vent passe et la nuit aussi de Milena Agus (éd. Liana Levi, janvier 2025, 176 pages), un court roman d’apprentissage se déroulant à Cagliari, en Sardaigne, pour une lecture commune facultative proposée par Eimelle dans le cadre d’Un mois en Italie 2025. Il s’agit de l’histoire de Cosima, une lycéenne, qui « littérature » sa vie. Il y est ainsi question du pouvoir de la lecture et de l’écriture, de quête initiatique, de la complexité des liens familiaux, d’amitié, d’éveil au sentiment amoureux, de transmission… La jeune femme, à peine majeure, se révèle naïve et poétique, en pleine apprentissage de la vie, trouvant sa source d’inspiration dans les livres. Une lecture certes agréable qui fait la part belle à l’imagination et à la lecture et qui rend hommage à Grazia Deledda, Prix Nobel de littérature en 1926 mais qui se lit vite et déjà vue et revue!

  • (Romance historique) Les fiancées de Bellaire Gardens, La fille du débauché d’Anne Gracie (T3)

J’ai lu le tome 3 des Fiancées de Bellaire Gardens, La fille du débauché d’Anne Gracie (éd. J’ai lu, coll. Aventures et Passions, mai 2025,  386 pages), une romance historique se déroulant en Angleterre, quelques jours après le départ d’Isobel Studley, la sœur de Clarissa pour son voyage de noces de Léo Thorne, comte de Salcott. Cette fois-ci, la romance concerne Clarissa qui souhaite avoir des enfants et se marier mais avec un homme bien différent de son propre père, ce que ne pourrait être le meilleur de son beau-frère, Race, lord Randall dont la réputation de débauché n’est plus à faire. Et si les apparences étaient trompeuses? Un ancien blessé de guerre serait-il un prétendant plus convenable? Une lecture bien agréable et un duo Clarissa/Race qui fonctionne bien! J’ai apprécié retrouvé les personnages vivant à Bellaire Gardens. La série ne semble pas terminée puisqu’une nouvelle demi-sœur illégitime dont la mère était une aristocrate française est découverte.

 

 

 

Au fil des pages avec Le vent passe et la nuit aussi

J’ai lu Le vent passe et la nuit aussi de Milena Agus (éd. Liana Levi, janvier 2025, 176 pages), un court roman d’apprentissage se déroulant à Cagliari, en Sardaigne, pour une lecture commune facultative proposée par Eimelle dans le cadre d’Un mois en Italie 2025. Cosima, une lycéenne, « littérature » sa vie, revendiquant le droit de rêver, prenant pour précepte les propos de sa professeure de littérature. Elle enchante ainsi son quotidien au sein d’une famille pauvre en l’enjolivant de ses lectures favorites, que ce soit avec son meilleur ami ou le voisin de sa grand-mère qu’elle rejoint tous les week-ends dans un petit village côtier pour réviser, le berger Costantino Sole de 10 ans son aîné. Mais à force de rêver sa vie, ne passe-t-elle pas à côté de ce qu’elle lui offre déjà? Sa façon d’être au monde ne lui permettrait-elle pas d’en faire son métier?

Il y est ainsi question du pouvoir de la lecture et de l’écriture, de quête initiatique, de la complexité des liens familiaux, d’amitié, d’éveil au sentiment amoureux, de transmission… La jeune femme, à peine majeure, se révèle naïve et poétique, en pleine apprentissage de la vie, trouvant sa source d’inspiration dans les livres et faisant l’expérience de ses premiers émois amoureux. Elle est également bien entourée, que ce soit par son meilleur ami ou la professeure de littérature. Mais elle ne m’a pas autant touché que Anne de Green Gables de Lucy Maud Montgomery (éd. Monsieur Toussaint Laventure, 2020, 384 pages) par exemple.

Cette lecture commune m’aura permis de découvrir cette autrice italienne mais aussi une autre dont ce roman rend hommage, Grazia Deledda, Prix Nobel de littérature en 1926 et dont le titre de ce roman s’inspire d’une citation de l’un de ses romans. Une lecture certes agréable qui fait la part belle à l’imagination et à la lecture mais qui se lit vite et déjà vue et revue!

Pour d’autres avis sur ce roman: Eimelle.

Participation #3 Le Mois Italien 2025 d’Eimelle #LC

Participation #11 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2025 de Bidib #Italie

 

RAT a week Un mois au Japon 2025

Cette semaine, du 12 au 18 mai 2025, Hilde et Lou nous proposent un RAT a week dans le cadre de leur challenge Un Mois au Japon 2025, l’occasion de prolonger notre escale japonaise. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs, rejoindre le fil de discussion sur Instagram et/ou le groupe FB: ici.

Alors que vais-je lire pendant ce read-a-thon (un marathon de lectures mais pas que)? Je ne sais pas encore même s’il y a bien sûr la lecture commune facultative qui est depuis le mois dernier sur ma liseuse et qui m’attend: Le restaurant des recettes oubliées de Hisashi Kashiwai (éd. Nami, avril 2023, 256 pages) comme Âme brisée d’Akira Mizubayashi (éd. Gallimard, coll. Folio, mai 2021, 244 pages). J’alternerai sans doute dans la semaine avec des lectures pour le Mois Italien devant rendre deux romans italiens à la médiathèque cette semaine. J’ai également réservé, la semaine dernière, à la médiathèque Tokyo Home de Thierry Gloris et Cyrielle (éd. Kana, juin 2010, 224 pages), une BD/manga. Côté visionnage, je pense regarder quelques animes.

Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du marathon et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes.

Pour d’autres idées autour du Japon (lectures, recettes et autres activités), les autres participantes: Hilde, Lou (IG), Audrey, L’Orouge, Nathalie…

Belle semaine à tous!

Lundi 12 mai 2025

Après le travail, je commence cette semaine en rédigeant ce billet de suivi. Puis curieuse de découvrir cette nouvelle adaptation, j’ai regardé La Rose de Versailles, un film d’animation réalisé par Ai Yoshimora et sorti le 30 avril 2025. Quelle déception! On est bien loin de l’anime des années 1979/1980, Lady Oscar. Là où le travestissement de la jeune femme est caché dans l’anime permettant de nombreux quiproquos et rebondissements de l’intrigue, ici, l’information est sue dès le départ, même au sein de la garde royale. Et que de pleurnichements des personnages principaux, que ce soit Oscar, André, Marie-Antoinette ou Axel de Fersen! Il y en a quasiment autant que les chansons qui servent très souvent de transition dans les sauts dans le temps. Compte-tenu du format, certaines intrigues ont disparu et le tout m’a paru bien fade. Tout va très vite et est peu développé, tout tournant principalement sur la romance, même la prise de conscience de Lady Oscar au cœur de la Révolution française qui prend fait et cause pour le peuple, au détriment de son amitié avec la Reine.

Pour l’histoire du soir, nous continuons avec mon mini lutin le tome 2 de la trilogie fantasy: La légende de Podkin le Brave, Le trésor du terrier maudit de Kieran Larwood (éd. Gallimard Jeunesse, coll. Folio Junior, octobre 2020, 304 pages).

En soirée, j’ai commencé à lire Les cerisiers fleurissent aussi la nuit de Garance Solveig (éd. Charleston, février 2025, 480 pages), un roman paru auparavant en autoédition sous le titre La sœur retrouvée (le nouveau titre étant bien plus poétique et énigmatique) et dont le récit alterne entre le point de vue de Yuna, médecin de 45 ans vivant au Japon, à Kyoto, en 1993, qui en cherchant un donneur compatible de moelle osseuse pour sa sœur aînée, Ama, qu’elle n’avait plus vu depuis 30 ans va se lancer sur les traces de son passé et celui de Hiromi, une journaliste âgée de 28 ans, marié à un médecin militaire vivant à Harbin, en Chine en 1944, la Mandchourie étant alors sous occupation japonaise (Mandchoukouo) et qui fait la connaissance du prince Yuren. Je suis curieuse d’en savoir plus même si au vu du prologue, je me doute bien que de sombres secrets vont être dévoilés.

Mardi 13 mai 2025

J’ai repris le visionnage de la saison 1 des Carnets de l’Apothicaire en regardant les épisodes 4 à 9, le 9e allant un peu plus loin que le tome 3 du manga Seinen éponyme de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (éd. Ki-oon, mai 2021, 194 pages). J’apprécie cette adaptation en anime et hésite à regarder les épisodes suivants, n’ayant pas encore lu les tomes suivants du manga et qui ne sont pas disponibles à ma médiathèque.

En soirée, après avoir lu un nouveau chapitre du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai continué à lire Les cerisiers fleurissent aussi la nuit de Garance Solveig.

Mercredi 14 mai 2025

Dans l’après-midi, nous avons regardé Un monstre à Paris, un film d’animation français réalisé par Bibo Bergeron et sorti en 2011 et se déroulant, à Paris, lors de la crue de la Seine en 1910.

En soirée, après avoir lu un nouveau chapitre du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai fini de lire Les cerisiers fleurissent aussi la nuit de Garance Solveig. Un bon moment de lecture, même si des connexions  entre certains personnages et rebondissements m’ont paru quand même de trop et sur un sujet sombre, des crimes de guerre commis par les Japonais en Mandchourie pendant la Seconde Guerre mondiale!

Jeudi 15 mai 2025

Comme je l’avais prévu, j’ai pu aller récupérer mes réservations à la médiathèque, en particulier Tokyo Home de Thierry Gloris et Cyrielle (éd. Kana, juin 2010, 224 pages) et pris au passage pas un repas typiquement japonais mais asiatique (nouilles sautées, vermicelles de poulet, poulet au caramel, riz blanc et cocktail au litchi…).

En soirée, après avoir lu un nouveau chapitre du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai lu Tokyo Home., un manga qui se lit dans le sens d’une BD.

Vendredi 16 mai 2025

Après le travail et des courses, j’ai débuté le week-end en passant du temps sur mon blog.

En soirée, après avoir lu le chapitre 5 du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai lu le tome 2 d’ASPIC, Détectives de l’étrange, L’Or du vice de Thierry Gloris et Jacques Lamontagne (éd. Soleil, coll. Quadrants, février 2011, 48 pages) et qui vient clôturer l’enquête du premier tome. 

Samedi 17 mai 2025

J’ai commencé à lire le tome 1 d’une trilogie: Silo de Hugh Howey (éd. Actes Sud, coll. Babel, n°1283, novembre 2014, 640 pages), un roman post-apo se déroulant dans un futur indéterminé, des survivants vivant depuis plusieurs générations dans un immense silo creusé dans la terre, à l’abri d’une atmosphère devenue toxique.

Dimanche 18 mai 2025

Ce matin, je reprends au chapitre 20 Silo.

Bon week-end à tous!

Participation #7 Un Mois au Japon 2025 de Lou et Hilde #RAT

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