Étiquette : Un Mois au Japon 2025 (Page 1 of 2)

Au fil des pages avec le tome 1 de Hikaru no Go

Après un passage en médiathèque avec mon mini sorcier, nous sommes revenus avec plusieurs mangas dont les quatre premiers tomes de Hikaru no Go dont j’ai lu le premier tome, Résurrection d’un génie du go de Yumi Hotta et Takeshi Obata (éd. Tonkam, rééd. février 2007, 191 pages), un manga shonen à partir de 12 ans et paru pour la première fois au Japon en 1999. Hikaru, âgé de 11 ans, découvre un jour, avec son amie Akari, dans le grenier de son grands-parent, une vieille table de go, libérant sans le vouloir le fantôme qui y était enfermé et qui prend possession de son esprit. Saï Fujiwara était le professeur de go de l’Empereur à l’époque Heïan (du VIIIe à XIIe siècle). En quête du « coup divin », ce génie du go est bien décidé à initier le collégien à ce jeu. En se rendant dans un club de go de son quartier, Hikaru fait la connaissance d’un garçon de son âge plus introverti, Akira Toya, le fils du Meijin, le plus fort joueur de Go actuel qui voit en lieu un adversaire à sa hauteur. Et si finalement Hikaru commençait à apprécier ce jeu?

Dès ce premier tome très rythmé, le personnage d’Hikaru évolue positivement, passant d’un collégien peu enclin à travailler en classe, surtout en cours d’histoire et recherchant à se faire de l’argent de poche à un jeune plus posé et mature en participant à des tournois de go. Mais est-il vraiment libre de ce choix ou est-ce l’esprit de Saï qui a pris le contrôle de son corps? Même si on est dans un manga jeunesse, j’ai apprécié les interactions entre Hikaru et Saï dont les caractères sont bien différents, la découverte par Saï des nouvelles règles du go, le jeu ayant évolué au fil des siècles. Mais je ne suis pas sûre de poursuivre ce manga qui compte 23 tomes et qui ne sont pas tous disponibles à ma médiathèque. Il y a ainsi question de quête initiatique, de jeu de go, de compétition, d’amitié, de confiance en soi, de patience, de transmission… Sur le même thème, j’avais lu il y a longtemps La joueuse de go de Shan Sa.

Participation # Challenge Halloween 2025 de Hilde et Lou #Fantôme

Participation #10 Un Mois au Japon 2025 de Lou et Hilde #Manga Shonen

Challenge Petit Bac d’Enna #3 Catégorie Sport/Loisirs: « Go »

Participation # (Parcours illustré) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2025 de Bidib #Japon

 

 

Au fil des pages avec La Petite Confiserie de l’allée nocturne

J’ai lu, en e-book, La Petite Confiserie de l’allée nocturne de Hiyoko Kurisu (éd. Hauteville, coll. Kibun, mars 2025, 192 pages), un court roman japonais avec une touche fantastique et à la magnifique illustration de couverture au cœur d’une confiserie tenue par Kogetsu. En 6 chapitres, on suit la vie de jeunes gens à un moment-clé de leur vie, alors qu’ils se sentent perdus ou égarés, comme une jeune lycéenne en mal d’amour, un jeune agent immobilier complexé par son apparence, une jeune femme délaissée par son mari après la naissance de leur premier enfant… Et si l’achat de quelques confiseries avait le pouvoir de changer leur vie?

On retrouve la même structure narrative que dans d’autres romans qui ont été publiés ces dernières années autour d’un café, d’un restaurant ou d’une librairie avec des tranches de vie introspectives convenues et déjà-vues. Les cinq clients de cette confiserie particulière remettent en perspective leur vie. Mais est-ce lié à la magie de la confiserie? Ou, comme dans Le Magicien d’Oz, chacun d’eux n’avait-il pas déjà la réponse en eux-mêmes sans oser se le dire? Il y est ainsi question de la nature humaine, de la condition de la femme, de la jeunesse ou de la place du travail, de la vie de couple, d’amitié… Chaque chapitre se termine sur une petite morale à laquelle je n’ai pas forcément adhéré mais qui reflète la société japonaise contemporaine, très inégalitaire et compétitive dans certains domaines. 

Mais ce qui fait le charme de ce roman, c’est bien sa touche fantastique qui permet de réfléchir, aux côtés de Kogetsu, sur la nature humaine, de façon certes assez rapide, compte-tenu du format « nouvelle », ce dernier récupérant des fragments d’émotions. J’ai particulièrement apprécié ce personnage mi-humain mi-renard, inspiré du kitsune, un yokai du folkore japonais. Sa présence énigmatique et pourtant rassurante et bienveillante apporte une touche de douceur et de réconfort. Au fil des pages, j’ai eu envie d’en apprendre plus sur lui, l’autrice ayant (fort heureusement) réservé le dernier chapitre à son histoire. Un bon voire très bon moment de lecture! Je serai bien restée aux côtés de Kogetsu un peu plus longtemps.

Pour d’autres avis sur ce roman: Mélissande qui a eu un coup de cœur comme Carfax.

Participation #9 Un Mois au Japon 2025 de Lou et Hilde #Roman

Participation #1 Challenge Halloween 2025 de Hilde et Lou #Roman fantastique

Participation # Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2025 de Bidib et Fondant #Friandises japonaises

Participation # (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2025 de Bidib #Japon

Participation # Challenge Contes & Légendes 2025 de Bidib #Folklore japonais

Challenge Petit Bac d’Enna #4 Catégorie Lieu: « Confiserie »

Au fil des pages avec Le Restaurant des recettes oubliées

J’ai lu, en e-book, Le Restaurant des recettes oubliées de Hisashi Kashiwai (éd. Nami, avril 2023, 256 pages), un roman contemporain très gourmand et paru pour la première fois au Japon en 2013 et qui avait été proposé, en avril dernier, comme lecture commune pour le challenge Un mois au Japon 2025. Nagare Kamogawa, un ancien policier veuf à la retraite et sa fille Koishi tiennent un restaurant discret, sans enseigne ni menu, à Kyoto mais avec un chat facétieux. Seuls les habitués et ceux qui arrivent à découvrir leur adresse en lisant un court encart publicitaire d’une ligne sibylline paru dans une revue culinaire viennent y déguster de savoureux repas faits maison ou les recruter afin de retrouver un plat qui a marqué intensément leur vie mais dont ils ignorent la recette. 

Ce qui est rare pour moi, je n’ai pas lu d’une traite ce roman mais sur plusieurs jours, l’ayant lu comme si chaque partie était une nouvelle indépendante dans le même univers. En effet, la structure narrative d’une partie à l’autre est similaire en deux temps (deux chapitres): on fait la connaissance d’un client qui se remémore difficilement un plat, d’après ses souvenirs et les émotions qu’il lui évoque encore, tant d’années après, mais sans pouvoir en donner la recette puis celui-ci revient, souvent 15 jours après, afin de déguster le plat ainsi retrouvé. Sera-t-il autant apprécié qu’autrefois? Quelle sera la répercussion future de cette nouvelle dégustation?

C’est ainsi que défilent dans leur bureau d’enquête: un ancien collègue de Nagare pour son plat préféré que lui préparait autrefois sa défunte épouse et que n’arrive pas à refaire sa nouvelle femme, une femme âgée dont la fille est sur le point de se marier pour un plat qu’elle avait mangé lors d’un dîner avec un homme dont elle avait rejeté sa demande en mariage, un homme politique pressé pour un plat ayant marqué son enfance solitaire, une femme de 50 ans pour un plat préparé par son ex-mari qui est gravement malade et dont la vie est comptée, une jeune étudiante de 19 ans pour partager une dernière fois un plat avec son grand-père atteint d’Alzheimer et qu’ils avaient tous les deux dégusté lors d’un voyage de jeunesse et un jeune entrepreneur trentenaire pour un plat cuisiné par sa mère avant qu’elle ne décède lorsqu’il est encore petit.

En lisant le 4e de couverture, j’avais trouvé l’idée intéressante, gourmande et nostalgique mais j’ai trouvé le roman un peu trop répétitif et finalement assez plat (sans mauvais jeu de mots). Il m’a manqué ce petit quelque chose qui fait le charme et la délicatesse de la littérature japonaise. J’ai eu du mal à m’attacher à Nagare Kamogawa et à sa fille Koishi, le premier veuf et dont le deuil perdure malgré les années, la seconde, la trentaine semblant éprise de Hiroshi, un des clients réguliers du restaurant et qui tient lui-même un restaurant de sushis. Derrière leurs gestuels et chamailleries, on ressent pourtant bien l’amour paternel/filial qu’il se voue l’un à l’autre tout comme leur volonté de retrouver les plats si fort émotionnellement pour leurs clients. Mais je n’ai pas trouvé leur présence plus marquante que cela, surtout que tout ce qui aurait pu être vraiment intéressant, à savoir l’enquête culinaire menée par le père est juste rapportée et finalement peu détaillée.

Quant aux clients, j’en ai trouvé certains fort égoïstes, en particulier l’ancien collègue de Nagare (et in fine la condition précaire et peu enviable de la femme japonaise). Il y est ainsi question de non-dits, de solitudes, de malentendus irréparables, de choix de vie déterminée par un plat du passé, de regrets, de remords, de veuvage, de maladie, du poids de la famille, d’épiphanie lors de la redécouverte du plat ainsi retrouvé… 

J’aurai également apprécié découvrir en fin d’ouvrage la recette de ces plats. Une lecture fort gourmande mais qui ne m’a pas plus emballée que cela! Cela ne m’a pas donné envie de lire les suites qui sont depuis parues: Deuxième service et A la carte. Sur un procédé narratif similaire, j’avais lu récemment La Petite Confiserie de l’allée nocturne de Hiyoko Kurisu et dont j’ai bien plus apprécié l’histoire du personnage servant de fil conducteur, Kogetsu. Mais il y a également, par exemple, un autre roman que j’avais repéré il y a un moment mais que je n’ai toujours pas lu avec la possibilité de voyager dans le passé le temps d’un café: Tant que le café est encore chaud de Toshikazu Kawaguchi. 

Pour d’autres avis plus enthousiastes sur ce roman: Nathalie et Hilde.

Participation #8 Un Mois au Japon 2025 de Lou et Hilde #LC

Participation #20 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2025 de Bidib #Japon

Participation #16 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2025 de Bidib et Fondant #Cuisine japonaise

RAT a week Un mois au Japon 2025

Cette semaine, du 12 au 18 mai 2025, Hilde et Lou nous proposent un RAT a week dans le cadre de leur challenge Un Mois au Japon 2025, l’occasion de prolonger notre escale japonaise. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs, rejoindre le fil de discussion sur Instagram et/ou le groupe FB: ici.

Alors que vais-je lire pendant ce read-a-thon (un marathon de lectures mais pas que)? Je ne sais pas encore même s’il y a bien sûr la lecture commune facultative qui est depuis le mois dernier sur ma liseuse et qui m’attend: Le restaurant des recettes oubliées de Hisashi Kashiwai (éd. Nami, avril 2023, 256 pages) comme Âme brisée d’Akira Mizubayashi (éd. Gallimard, coll. Folio, mai 2021, 244 pages). J’alternerai sans doute dans la semaine avec des lectures pour le Mois Italien devant rendre deux romans italiens à la médiathèque cette semaine. J’ai également réservé, la semaine dernière, à la médiathèque Tokyo Home de Thierry Gloris et Cyrielle (éd. Kana, juin 2010, 224 pages), une BD/manga. Côté visionnage, je pense regarder quelques animes.

Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du marathon et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes.

Pour d’autres idées autour du Japon (lectures, recettes et autres activités), les autres participantes: Hilde, Lou (IG), Audrey, L’Orouge, Nathalie…

Belle semaine à tous!

Lundi 12 mai 2025

Après le travail, je commence cette semaine en rédigeant ce billet de suivi. Puis curieuse de découvrir cette nouvelle adaptation, j’ai regardé La Rose de Versailles, un film d’animation réalisé par Ai Yoshimora et sorti le 30 avril 2025. Quelle déception! On est bien loin de l’anime des années 1979/1980, Lady Oscar. Là où le travestissement de la jeune femme est caché dans l’anime permettant de nombreux quiproquos et rebondissements de l’intrigue, ici, l’information est sue dès le départ, même au sein de la garde royale. Et que de pleurnichements des personnages principaux, que ce soit Oscar, André, Marie-Antoinette ou Axel de Fersen! Il y en a quasiment autant que les chansons qui servent très souvent de transition dans les sauts dans le temps. Compte-tenu du format, certaines intrigues ont disparu et le tout m’a paru bien fade. Tout va très vite et est peu développé, tout tournant principalement sur la romance, même la prise de conscience de Lady Oscar au cœur de la Révolution française qui prend fait et cause pour le peuple, au détriment de son amitié avec la Reine.

Pour l’histoire du soir, nous continuons avec mon mini lutin le tome 2 de la trilogie fantasy: La légende de Podkin le Brave, Le trésor du terrier maudit de Kieran Larwood (éd. Gallimard Jeunesse, coll. Folio Junior, octobre 2020, 304 pages).

En soirée, j’ai commencé à lire Les cerisiers fleurissent aussi la nuit de Garance Solveig (éd. Charleston, février 2025, 480 pages), un roman paru auparavant en autoédition sous le titre La sœur retrouvée (le nouveau titre étant bien plus poétique et énigmatique) et dont le récit alterne entre le point de vue de Yuna, médecin de 45 ans vivant au Japon, à Kyoto, en 1993, qui en cherchant un donneur compatible de moelle osseuse pour sa sœur aînée, Ama, qu’elle n’avait plus vu depuis 30 ans va se lancer sur les traces de son passé et celui de Hiromi, une journaliste âgée de 28 ans, marié à un médecin militaire vivant à Harbin, en Chine en 1944, la Mandchourie étant alors sous occupation japonaise (Mandchoukouo) et qui fait la connaissance du prince Yuren. Je suis curieuse d’en savoir plus même si au vu du prologue, je me doute bien que de sombres secrets vont être dévoilés.

Mardi 13 mai 2025

J’ai repris le visionnage de la saison 1 des Carnets de l’Apothicaire en regardant les épisodes 4 à 9, le 9e allant un peu plus loin que le tome 3 du manga Seinen éponyme de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (éd. Ki-oon, mai 2021, 194 pages). J’apprécie cette adaptation en anime et hésite à regarder les épisodes suivants, n’ayant pas encore lu les tomes suivants du manga et qui ne sont pas disponibles à ma médiathèque.

En soirée, après avoir lu un nouveau chapitre du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai continué à lire Les cerisiers fleurissent aussi la nuit de Garance Solveig.

Mercredi 14 mai 2025

Dans l’après-midi, nous avons regardé Un monstre à Paris, un film d’animation français réalisé par Bibo Bergeron et sorti en 2011 et se déroulant, à Paris, lors de la crue de la Seine en 1910.

En soirée, après avoir lu un nouveau chapitre du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai fini de lire Les cerisiers fleurissent aussi la nuit de Garance Solveig. Un bon moment de lecture, même si des connexions  entre certains personnages et rebondissements m’ont paru quand même de trop et sur un sujet sombre, des crimes de guerre commis par les Japonais en Mandchourie pendant la Seconde Guerre mondiale!

Jeudi 15 mai 2025

Comme je l’avais prévu, j’ai pu aller récupérer mes réservations à la médiathèque, en particulier Tokyo Home de Thierry Gloris et Cyrielle (éd. Kana, juin 2010, 224 pages) et pris au passage pas un repas typiquement japonais mais asiatique (nouilles sautées, vermicelles de poulet, poulet au caramel, riz blanc et cocktail au litchi…).

En soirée, après avoir lu un nouveau chapitre du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai lu Tokyo Home., un manga qui se lit dans le sens d’une BD.

Vendredi 16 mai 2025

Après le travail et des courses, j’ai débuté le week-end en passant du temps sur mon blog.

En soirée, après avoir lu le chapitre 5 du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai lu le tome 2 d’ASPIC, Détectives de l’étrange, L’Or du vice de Thierry Gloris et Jacques Lamontagne (éd. Soleil, coll. Quadrants, février 2011, 48 pages) et qui vient clôturer l’enquête du premier tome. 

Samedi 17 mai 2025

J’ai commencé à lire le tome 1 d’une trilogie: Silo de Hugh Howey (éd. Actes Sud, coll. Babel, n°1283, novembre 2014, 640 pages), un roman post-apo se déroulant dans un futur indéterminé, des survivants vivant depuis plusieurs générations dans un immense silo creusé dans la terre, à l’abri d’une atmosphère devenue toxique.

Dimanche 18 mai 2025

Ce matin, je reprends au chapitre 20 Silo.

Bon week-end à tous!

Participation #7 Un Mois au Japon 2025 de Lou et Hilde #RAT

Au fil des pages avec le tome 3 des Carnets de l’Apothicaire

J’étais restée en plein suspense après ma lecture en mars 2024 du tome 2 et ai finalement réussi à emprunter à la médiathèque le tome 3 des Carnets de l’Apothicaire de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (éd. Ki-oon, mai 2021, 194 pages), un manga Seinen à partir de 15 ans et qui reprend le récit juste après la tentative d’empoisonnement déjoué par Mao Mao lors du banquet d’hiver.

Comme dans les deux premiers tomes, il y a de nombreux sauts dans le temps, au fil des chapitres et des enquêtes menées par Mao Mao qui est désormais une jeune adulte, dame de compagnie et goûteuse de l’une des concubines préférées de l’Empereur, Gyokuyo. En effet, le retour de la jeune femme chez elle, auprès de son père adoptif au sein du quartier des plaisirs a lieu 10 mois après son enlèvement. Elle se rend compte que sa vie au sein du palais impérial n’est pas si différente de sa vie passée. Bien que très perspicace et observatrice, la jeune femme a encore bien à apprendre auprès de son père adoptif lorsqu’ils sont amenés à intervenir sur un double suicide suspect d’une courtisane et de son client. L’absence de Mao Mao ne passe d’ailleurs pas inaperçue auprès de Jingshi dont la réaction amuse beaucoup Gyokuyo qui voit bien au-delà des deux jeunes gens, à l’instar de nous lecteur.

J’ai une nouvelle fois bien apprécié les intrigues de ce troisième tome, même si comme je l’avais déjà mentionné pour le tome 2, je trouve que certains aspects auraient pu être moins survolés et plus matures. J’ai également apprécié en découvrir plus sur le passé de Mao Mao qui n’était pas si enviable que cela et la tournure prise par la « relation » avec Jingshi qui en dévoile également un peu plus sur lui, après le décès suspect d’un militaire de haut-rang qu’il connaissait bien. Encore un bon moment de lecture! Mais je devrai une nouvelle fois patienter pour connaître les tomes suivants, ces derniers étant pour le moment déjà empruntés par d’autres usagers de ma médiathèque. J’ai déjà commencé à regarder les premiers épisodes de la saison de son adaptation en anime et envisage de lire les romans éponymes.

J’ai enfin noté quelques passages gourmands, comme par exemple les brochettes mangées par son amie servante ou le saké offert en récompense par Jingshi et sans tenir compte des plats ou boissons empoisonnées.

La BD de la semaine chez Blandine pour cette semaine

Participation #6 Un Mois au Japon 2025 de Lou et Hilde #Manga

Participation #9 (Parcours illustré) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2025 de Bidib #Japon

Challenge Petit Bac d’Enna #2 Catégorie Métier: « Apothicaire »

Participation #11 Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2025 de Bidib et Fondant #Cuisine japonaise

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