Étiquette : romans adulte (Page 47 of 51)

Un premier RAT de Noël 2020

Ce 11 décembre 2020 à 21h débute un premier RAT de Noël organisé par Samarian et Chicky Poo dans le cadre du challenge « Il était 8 fois Noël », et ce jusqu’au 13 décembre minuit avec au moins une lecture sur le thème de l’hiver et/ou de Noël. Alors on se glisse sous les plaids, au coin du feu du chalet.

Nos deux elfes de Noël coorganisatrices proposent cette année, à la place des catégories, des défis à relever (ou non) pendant le marathon de lectures, un même livre pouvant valider plusieurs défis: lire un livre qui se passe à Noël, lire dans un lieu inattendu, lire près du sapin lire au coin du feu (même virtuel), lire le livre de la Lecture Commune, lire une relique de la PAL, lire un livre avec le mot « joyeux » dans le titre, lire un livre reçu en cadeau à Noël, lire un livre dans lequel le personnage principal est un enfant, lire un livre à la couverture rouge, lire un livre à la couverture vert sapin, lire un livre à la couverture enneigée, lire un livre avec une boisson chaude sur la couverture, lire un livre à la couverture brillante/dorée, lire un livre dans lequel les personnages s’embrassent sous le gui et enfin, faire une photo de sa lecture en cours, avec une gourmandise.

Allons-nous avoir quelques points sur les 15? Nous ne le serons qu’à la fin du week-end! D’ailleurs, ce billet de suivi sera actualisé tout le long du marathon et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participants.

Pour d’autres idées de lectures, les autres participants du RAT: Samarian, Chicky Poo, NathChoco, LilasViolet, Touloulou, Elora, Lou, Didine, Bidib, Jelydragon, Northanger, Sookee, L’Orouge et MissyCornish. Sans oublier les grelots-pompons de FondantGrignote.

En attendant ce soir 21h, j’ai commencé à préparer notre PAL qui pourra évoluer en fonction de nos envies de (re)lectures ou du temps que nous pourrons consacrer au RAT. Alors voici nos lectures envisagées pour tous les âges, des plus petits au plus grands en passant par des albums jeunesse bien sûr ou des romances de Noël par exemple:

  • Où est le renne au nez rouge? de Sophie Adriansen et Marta Orzel (éd. Gulf Stream éditeur, 2017), un album jeunesse cartonné à flaps à partir de 10 mois
  • le tome 14 de Zouk, Un Noël ensorcelé de Serge Bloch et Nicolas Hubesch (éd. Bayard Jeunesse, coll. Mini BD Kids, 2016), une BD jeunesse (LU)
  • Les douze indices de Noël et autres récits de P.D. James (éd. Fayard, 2016), des nouvelles pour le côté policier de Noël
  • Lettres du Père Noël de J.R.R. Tolkien (éd. Pocket, 2010), un recueil de lettres qu’il a écrites pour ses enfants
  • Le Noël de Nicodème d’Agnès Laroche et Stéphanie Augusseau (éd. Alice Jeunesse, 2015), un album jeunesse à partir de 3 ans (RELU)
  • Papy, il neige! de Sam Usher (éd. Little Urban, 2014), un album jeunesse à partir de 3 ans (RELU)
  • la lecture commune: Mission Hygge de Caroline Franc (éd. Pocket, 2019), une romance de Noël (LU)
  • et L’exquise clarté d’un rayon de lune de Sarah Morgan (éd. Harper Collins Poche, 2020), le tome 2 de la trilogie Snow Crystal, une romance de Noël (EN COURS DE LECTURE)

A ce soir pour le début du RAT!

Vendredi 11 décembre 2020, avant 21h mais pour l’histoire du soir, nous avons lu Un toit pour Noël de Rebecca Harry (éd. Gründ, 2020), un album jeunesse à partir de 3 ans. Puis en soirée, j’ai continué de lire La curiosité est un péché mortel d’Ann Granger (éd. 10/18, 2014), un roman policier commencé la veille et jusqu’au chapitre 9.

Samedi 12 décembre 2020, je n’ai finalement pas pu lire comme je le pensais. Nous avons passé la matinée à jouer à des jeux de société. En fin de journée, nous avons lu des albums jeunesse: La maison des amis de Patricia Hegarty et Greg Abbott (éd. Larousse, 2017) et L’affaire des cookies disparus d’Eoin McLaughlin et Marc Boutavant (éd. Nathan, 2020), sous-titré L’anti-abécédaire, des albums jeunesse à partir de 3 ans.

Puis pour les histoires du soir, nous lisons deux histoires avec des souris: Un Noël sous la neige de Diana Hendry et Jane Chapman (éd. Mijade) et Le premier Noël de Nina de Christine Leeson et Gaby Hansen (éd. Milan Jeunesse, 2003).

Un peu avant 21h, j’actualise mon billet avec beaucoup de retard et prends connaissance des commentaires. Puis après mon tour chez les autres participantes, je retournerai sans doute dans la suite de la deuxième aventure policière d’Elisabeth Martin et Benjamin Ross. Il est plus de 22h30 quand je me replonge dans la lecture de La curiosité est un péché mortel d’Ann Granger et avance de quelques chapitres.

Dimanche 13 décembre 2020 commence, comme les jours précédents, vers 6h/6h30, avec l’ouverture des calendriers de Noël et une première lecture matinale puisque pour le J13 de notre calendrier livresque, nous avons lu Joyeux Noël, Splat! Rob Scotton (éd. Nathan,), un album jeunesse à partir de 3 ans et que nous avions découvert l’année dernière en l’empruntant à la médiathèque. Et déjà un premier défi relevé au saut du lit (« lire un livre avec le mot « joyeux » dans le titre »)! Puis, comme hier matin, nous enchaînons les parties de jeux de société en variant les jeux.

Puis je lis Mission Hygge de Caroline Franc, un feel-good se déroulant à Gilleleje, un petit port de pêche danois, en période des fêtes de fin d’année. Il s’agit d’un premier roman court de l’autrice et qui me permet de relever un autre défi (« lire le livre de la Lecture Commune »). J’avoue que je regrette d’avoir laissé de côté Lizzie et Ben pour ce roman très (trop) convenu. Mais j’attendrai la LC pour peut-être en parler un peu plus et voir les avis de ceux qui l’ont apprécié.

En début d’après-midi, nous relisons Le Noël de Nicodème d’Agnès Laroche et Stéphanie Augusseau (éd. Alice Jeunesse, 2015) et Papy, il neige! de Sam Usher (éd. Little Urban, 2015), des albums jeunesse à partir de 3 ans. Puis nous lisons une BD jeunesse avec le tome 14 de Zouk, Un Noël ensorcelé de Serge Bloch et Nicolas Hubesch (éd. Bayard Jeunesse, coll. Mini BD Kids, 2016). Sans oublier l’histoire du soir avec Le flocon de Noëlle de Benji Davies.

Puis, pour cette dernière soirée de marathon, je lis le tome 2 de la trilogie Snow Crystal, L’exquise clarté d’un rayon de lune de Sarah Morgan (éd. Harper Collins Poche, 2020), une romance de Noël dont j’avais bien apprécié le tome 1 à Noël dernier.

Bilan de ce premier marathon noëlesque: encore beaucoup d’albums jeunesse et une plongée très agréable dans presque la moitié du roman de Sarah Morgan (bon j’avoue j’ai dépassé minuit avant de refermer le livre pour dormir). Je le finis d’ailleurs lundi soir avant d’enchaîner le lendemain sur le tome 3. Dois-je dire que j’ai bien apprécié ces histoires au sein de la famille O’Neil?! Et côté défis relevés, je regrette juste de n’avoir pas pris le temps de faire des sablés de Noël. Peut-être au prochain RAT!

  • lire un livre qui se passe à Noël: oui, quasiment tous les livres lus durant ce week-end
  • lire le livre de la Lecture Commune : oui, Mission Hygge
  • lire un livre avec le mot « joyeux » dans le titre: oui, Joyeux Noël, Splat!
  • lire un livre reçu en cadeau à Noël, lire un livre dans lequel le personnage principal est un enfant: oui et même plusieurs dont Le Noël de Nicodème et Le flocon de Noëlle
  • lire un livre à la couverture enneigée: oui et même plusieurs
  • lire un livre à la couverture brillante/dorée: oui et même plusieurs dont L’exquise clarté d’un rayon de lune.

Challenge Il était 8 fois Noël de Chicky Poo et Samarian #RAT de Noël

Au fil des pages avec Une saison au bord de l’eau

J’emprunte à la médiathèque, lors du RAT gourmand des 21 au 23 août 2020, Une saison au bord de l’eau de Jenny Colgan (éd. Prisma, 2018), le premier tome de sa dernière série de romans. A la fin du RAT, dimanche soir, je m’arrête au chapitre 19. Puis le lendemain, accompagnant L’Orouge qui poursuit le marathon le lundi, je termine par intermittence en journée et surtout en soirée, de 21h45 jusqu’à 1h20 le roman.

Flora MacKenzie, Assistante juridique dans un important cabinet d’Avocats londonien est contrainte, pour des raisons professionnelles, de retourner sur Mure, l’île écossaise de son enfance. En effet, Colton Rogers, un client important du cabinet exige sa présence en tant qu’originaire de cette île pour influencer la décision du conseil municipal afin qu’aucune éolienne ne soit installée sur sa propriété. Au décès de sa mère, elle avait pourtant décidé de ne plus jamais y mettre un pied. Les retrouvailles avec son père et ses trois frères ne sont pas des plus chaleureuses. Pourtant, après avoir découvert le carnet de recettes de sa mère, Flora va peu à peu retrouver sa place au sein de la communauté de Mure, lui permettant d’accomplir sa mission professionnelle. Cela lui permet également de se rapprocher de Joël, l’Avocat en charge du dossier et pour lequel elle a un grand faible. Entre romance et recettes de cuisine, les jours passent sur l’île, Flora se sentant de plus en plus épanouie. Et si ce retour à Mure était l’occasion de changer de vie pour Flora?

L’intrigue de ce feel good est classique et déjà vue mais l’histoire reste plaisante pour une lecture estivale, sous fond de légende écossaise/celte des selkies ou femmes-phoques! L’aspect juridique de l’histoire est vraiment accessoire puisque, comme d’autres livres de Jenny Colgan, c’est la « reconversion professionnelle » dans la cuisine – pâtisseries et petits plats traditionnels – qui importe. Dans cette histoire, bien qu’employée comme Assistante juridique, Flora se retrouve à la tête d’un petit commerce de plats à emporter concoctés à partir du livre de recettes de sa mère pour peser sur la décision du conseil municipal dans le vote du lieu d’implantation des éoliennes sur l’île. C’est bien loin de la  gestion d’un dossier dans un cabinet d’avocats! J’espère pouvoir lire la suite rapidement, Une rencontre au bord de l’eau, lorsque celle-ci sera disponible à la médiathèque. Cela m’a également donné envie d’en savoir plus sur les selkies.

Pour un autre avis sur ce roman: Syl.

Participation #44 Contes & Légendes 2020 de Bidib #légende écossaise/celte

Participation #8 au challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant

Au fil des pages avec Là où chantent les écrevisses

J’ai lu, lors du Mois Américain 2020, Là où chantent les écrevisses de Delia Owens (éd. du Seuil, janvier 2020, 480 pages), un premier roman que j’avais déjà repéré dans les sorties littéraires de 2020 pour sa couverture et son titre intrigant. L’histoire débute par le décès mystérieux d’un jeune homme, Chase Andrews, en 1969 au pied d’une tour de guet dans les marais, à côté de la petite ville ségrégationniste de Barkley Cove, en Caroline du Nord. Puis retour dans le passé, en 1952 avec l’histoire d’une jeune enfant de 6 ans, Kya abandonnée par sa mère Ma et laissée à son père Pa, un homme alcoolique et violent, avec Jordie, l’un de ses frères un peu plus âgé qu’elle et qui ne s’est pas encore enfui, dans une cabane insalubre au fonds des marais. 

Les années passent et à 10 ans, Kya se retrouve définitivement seule, après le départ de son père, trouvant ses seules ressources en elle-même et dans les marais. Petit à petit, grâce à sa rencontre avec un  garçon un peu plus âgé qu’elle, Tate qui lui apprend à lire et à écrire, elle arrive à trouver sa place dans les marais. Elle apprend ainsi les sciences et à percer les mystères de la faune et de la flore des marais, ramassant des plumes par exemple, répertoriant les coquillages ou champignons, observant et notant les comportements des animaux et/ou en faisant des croquis ou des aquarelles, etc.

Mais la solitude continue de lui peser, année après année, avec son lot d’abandons comme lorsque Tate part à l’université pour ses études de biologiste et malgré la présence maternante à sa façon du couple de Noirs, Jumping et Mabel qui a veillé sur elle, d’autant que Kya reste pour la communauté blanche de Barkley Cove, la Fille des marais, cette sauvageonne pauvre et analphabète.

Devenue une jeune femme, Kya cherche, malgré ses peurs et sa timidité, à rompre cette solitude en se laissant alors séduire par Chase, leurs deux vies s’entremêlant irrémédiablement. Y a-t-il un lien entre cette toute jeune fille abandonnée dans les marais et ce décès survenu des années plus tard et qui a tout l’air d’être un meurtre?

L’autrice alterne entre des chapitres suivant le déroulement de l’enquête sur le décès de Chase et ceux consacrés à la vie de Kya dans les marais sur une vingtaine d’années. Je me laisse plongée dans l’atmosphère si particulière des marais, dans cette Nature tour à tour hostile et bienveillante. Kya est une héroïne très attachante, très forte malgré son jeune âge et sa solitude et qui fait preuve d’incroyables capacités d’adaptation en arrivant à trouver des moyens de survivre et de manger, son père lui ayant laissé un moyen de locomotion indispensable, une petite barque à moteur. Kya arrivera-t-elle à avoir ce petit bout de bonheur malgré tout? Coup de cœur pour ce roman mélangeant roman policier, roman initiatique, romance avec un trio amoureux et roman naturaliste! J’aurai pu le choisir tant pour les journées « Nature » que « First Ladies » ou encore « Roman policier », voire même « Désir » de ce Mois Américain.

Pour d’autres avis sur ce roman: Eva, Sabrina et Carine

america

Le Mois Américain de Titine #roman policier

Challenge Petit Bac d’Enna #10 Catégorie Animal: « Écrevisses »

Au fil des pages avec Désir de chocolat

Lors du RAT gourmand du week-end dernier, j’avais emprunté à la médiathèque des romans dont Désir de chocolat de Care Santos (éd. Robert Laffont, 2015) et que j’ai lu en à peine deux jours. Le roman se décompose en trois actes. Il s’agit en réalité plutôt de trois nouvelles autour de fragments de vie de trois femmes sur trois siècles différentes et dans une même ville: Barcelone. Un objet commun les unit pourtant, une chocolatière en porcelaine blanche et sur laquelle une inscription en lettres bleues et en français a été apposée: « J’appartiens à Madame Adélaïde de France ». En suivant la « vie » de la chocolatière, je remonte le temps et découvre également différentes façons de boire le chocolat.

  • Acte I: « Piment rouge, gingembre et lavande »: le trio amoureux entre Sara Rovira, Max Frey et Oriol Pairot à l’époque contemporaine, lors d’un dîner de retrouvailles en 2010. Sara, à la tête d’une chocolaterie artisanale est mariée à Max mais vit une passion adultérine avec le meilleur ami de ce dernier, Oriol Pairot, un chocolatier de renom. Les trois se sont rencontrés plusieurs années auparavant lors de cours de pâtisserie. C’est d’ailleurs, en ce temps-là que Sara avait acheté une chocolatière chez un brocanteur en pleine nuit et qui permet de servir trois tasses de chocolat chaud.
  • Acte II: « Cacao, sucre et cannelle »: le destin croisé, sous fond d’opéras, d’Aurora, sœur de lait et dame de compagnie de Cándida Turull, épouse d’un fabricant chocolatier, Antoni Sampons et qui s’est enfuie avec un chanteur napolitain, laissant derrière elle sa toute petite fille, Antònia Sampons alors qu’Aurora a été placée comme gouvernante auprès d’un médecin veuf. Je fais ainsi un bond dans le passé, en 1899, la chocolatière ayant appartenu à la famille Sampons puis conservée indûment par Aurora.
  • Acte III: « Poivre, clous de girofles et roucou »: la rencontre, sous fond de complots historiques entre Français et Anglais, du jeune Victor Philibert Guillot et de Marianne. Le premier fait partie d’une délégation française se rendant à Barcelone avec comme présent, une chocolatière. La seconde est la belle et jeune épouse du Maître Chocolatier Fernandes absent et inventeur d’une machine à fabriquer une délicieuse pâte au chocolat – mélange de fèves de cacao, de sucre et d’épices – dont raffole Madame Adélaïde de France et sa sœur, en 1777.

L’écriture de Care Santos se lit facilement et comme une enquête historique à travers la « vie » inversée de la chocolatière avec un mélange des styles et des genres (contemporain dans le titre I, style direct et apostrophant le lecteur par la voix d’Aurora dans le titre II et enfin et épistolaire sous la plume de Victor dans le titre III). La vie des protagonistes est faite de va-et-vient dans le passé à l’intérieur même de chaque acte. Un très bon moment de lecture en compagnie de cette chocolatière qui a vu et entendu tant d’histoires à raconter!

Participation #5 au challenge Des livres (et des écrans) en cuisine de Bidib et Fondant

Challenge Petit Bac d’Enna #9 Catégorie Amour et relations amoureuses: « Désir »

Au fil des pages avec Beloved

Pour cette journée « Lady First » du 4 septembre 2020 du Mois Américain, j’ai choisi Beloved de Toni Morrison (éd. 10/18, 1986, rééd. 2009), un roman ayant reçu le Prix Pulitzer Fiction en 1988. C’est l’histoire d’une ancienne esclave Sethe, hantée par son passé d’esclave au sein de la plantation du Bon-Abri, dans le Kentucky et par le fantôme de sa fille aînée Beloved décédée et qui tente de se reconstruire en femme libre avec sa fille cadette Denver en 1873 à Cincinnati, dans l’Ohio, quelques années après la Guerre de Sécession. Comment Sethe peut-elle se sentir libre et faire son deuil sans tomber dans la folie alors qu’elle a commis l’irréparable par amour pour ses enfants et qu’elle est traumatisée par des années d’esclavage?

Une lecture dense, poignante et faite de nombreux flash-backs dans le passé des protagonistes et de non-dits, l’autrice étant partie d’un fait divers d’infanticide survenu en 1856 pour dénoncer l’esclavagisme. L’autrice dévoile petit à petit au fil des pages le passé douloureux de Sethe et qui l’amènera à ce qu’elle est devenue en 1873, reprenant parfois un même évènement présenté plusieurs pages précédentes de façon laconique voire presque elliptique pour y revenir un peu plus loin avec un peu plus de détails soit sous les souvenirs de Sethe elle-même ou du point de vue d’autres protagonistes, comme par exemple celui de sa fuite du Bon-Abri.

Pour un autre avis sur ce roman: Enna (dans sa version audio).

america

Le Mois Américain de Titine #First Ladies (auteure/féminisme/héroïne)

Challenge Petit Bac d’Enna #8 Catégorie Amour et relations amoureuses: « Beloved »

« Older posts Newer posts »

© 2025 JOJO EN HERBE

Theme by Anders NorenUp ↑