Étiquette : littérature japonaise (Page 1 of 4)

RAT a week Un mois au Japon 2025

Cette semaine, du 12 au 18 mai 2025, Hilde et Lou nous proposent un RAT a week dans le cadre de leur challenge Un Mois au Japon 2025, l’occasion de prolonger notre escale japonaise. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs, rejoindre le fil de discussion sur Instagram et/ou le groupe FB: ici.

Alors que vais-je lire pendant ce read-a-thon (un marathon de lectures mais pas que)? Je ne sais pas encore même s’il y a bien sûr la lecture commune facultative qui est depuis le mois dernier sur ma liseuse et qui m’attend: Le restaurant des recettes oubliées de Hisashi Kashiwai (éd. Nami, avril 2023, 256 pages) comme Âme brisée d’Akira Mizubayashi (éd. Gallimard, coll. Folio, mai 2021, 244 pages). J’alternerai sans doute dans la semaine avec des lectures pour le Mois Italien devant rendre deux romans italiens à la médiathèque cette semaine. J’ai également réservé, la semaine dernière, à la médiathèque Tokyo Home de Thierry Gloris et Cyrielle (éd. Kana, juin 2010, 224 pages), une BD/manga. Côté visionnage, je pense regarder quelques animes.

Ce billet de suivi sera actualisé tout le long du marathon et sera ponctué aussi par les passages sur les blogs et/ou réseaux sociaux des autres participantes.

Pour d’autres idées autour du Japon (lectures, recettes et autres activités), les autres participantes: Hilde, Lou (IG), Audrey, L’Orouge, Nathalie…

Belle semaine à tous!

Lundi 12 mai 2025

Après le travail, je commence cette semaine en rédigeant ce billet de suivi. Puis curieuse de découvrir cette nouvelle adaptation, j’ai regardé La Rose de Versailles, un film d’animation réalisé par Ai Yoshimora et sorti le 30 avril 2025. Quelle déception! On est bien loin de l’anime des années 1979/1980, Lady Oscar. Là où le travestissement de la jeune femme est caché dans l’anime permettant de nombreux quiproquos et rebondissements de l’intrigue, ici, l’information est sue dès le départ, même au sein de la garde royale. Et que de pleurnichements des personnages principaux, que ce soit Oscar, André, Marie-Antoinette ou Axel de Fersen! Il y en a quasiment autant que les chansons qui servent très souvent de transition dans les sauts dans le temps. Compte-tenu du format, certaines intrigues ont disparu et le tout m’a paru bien fade. Tout va très vite et est peu développé, tout tournant principalement sur la romance, même la prise de conscience de Lady Oscar au cœur de la Révolution française qui prend fait et cause pour le peuple, au détriment de son amitié avec la Reine.

Pour l’histoire du soir, nous continuons avec mon mini lutin le tome 2 de la trilogie fantasy: La légende de Podkin le Brave, Le trésor du terrier maudit de Kieran Larwood (éd. Gallimard Jeunesse, coll. Folio Junior, octobre 2020, 304 pages).

En soirée, j’ai commencé à lire Les cerisiers fleurissent aussi la nuit de Garance Solveig (éd. Charleston, février 2025, 480 pages), un roman paru auparavant en autoédition sous le titre La sœur retrouvée (le nouveau titre étant bien plus poétique et énigmatique) et dont le récit alterne entre le point de vue de Yuna, médecin de 45 ans vivant au Japon, à Kyoto, en 1993, qui en cherchant un donneur compatible de moelle osseuse pour sa sœur aînée, Ama, qu’elle n’avait plus vu depuis 30 ans va se lancer sur les traces de son passé et celui de Hiromi, une journaliste âgée de 28 ans, marié à un médecin militaire vivant à Harbin, en Chine en 1944, la Mandchourie étant alors sous occupation japonaise (Mandchoukouo) et qui fait la connaissance du prince Yuren. Je suis curieuse d’en savoir plus même si au vu du prologue, je me doute bien que de sombres secrets vont être dévoilés.

Mardi 13 mai 2025

J’ai repris le visionnage de la saison 1 des Carnets de l’Apothicaire en regardant les épisodes 4 à 9, le 9e allant un peu plus loin que le tome 3 du manga Seinen éponyme de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (éd. Ki-oon, mai 2021, 194 pages). J’apprécie cette adaptation en anime et hésite à regarder les épisodes suivants, n’ayant pas encore lu les tomes suivants du manga et qui ne sont pas disponibles à ma médiathèque.

En soirée, après avoir lu un nouveau chapitre du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai continué à lire Les cerisiers fleurissent aussi la nuit de Garance Solveig.

Mercredi 14 mai 2025

Dans l’après-midi, nous avons regardé Un monstre à Paris, un film d’animation français réalisé par Bibo Bergeron et sorti en 2011 et se déroulant, à Paris, lors de la crue de la Seine en 1910.

En soirée, après avoir lu un nouveau chapitre du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai fini de lire Les cerisiers fleurissent aussi la nuit de Garance Solveig. Un bon moment de lecture, même si des connexions  entre certains personnages et rebondissements m’ont paru quand même de trop et sur un sujet sombre, des crimes de guerre commis par les Japonais en Mandchourie pendant la Seconde Guerre mondiale!

Jeudi 15 mai 2025

Comme je l’avais prévu, j’ai pu aller récupérer mes réservations à la médiathèque, en particulier Tokyo Home de Thierry Gloris et Cyrielle (éd. Kana, juin 2010, 224 pages) et pris au passage pas un repas typiquement japonais mais asiatique (nouilles sautées, vermicelles de poulet, poulet au caramel, riz blanc et cocktail au litchi…).

En soirée, après avoir lu un nouveau chapitre du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai lu Tokyo Home., un manga qui se lit dans le sens d’une BD.

Vendredi 16 mai 2025

Après le travail et des courses, j’ai débuté le week-end en passant du temps sur mon blog.

En soirée, après avoir lu le chapitre 5 du tome 2 de La légende de Podkin le Brave avec mon mini lutin, j’ai lu le tome 2 d’ASPIC, Détectives de l’étrange, L’Or du vice de Thierry Gloris et Jacques Lamontagne (éd. Soleil, coll. Quadrants, février 2011, 48 pages) et qui vient clôturer l’enquête du premier tome. 

Samedi 17 mai 2025

J’ai commencé à lire le tome 1 d’une trilogie: Silo de Hugh Howey (éd. Actes Sud, coll. Babel, n°1283, novembre 2014, 640 pages), un roman post-apo se déroulant dans un futur indéterminé, des survivants vivant depuis plusieurs générations dans un immense silo creusé dans la terre, à l’abri d’une atmosphère devenue toxique.

Dimanche 18 mai 2025

Ce matin, je reprends au chapitre 20 Silo.

Bon week-end à tous!

Participation #7 Un Mois au Japon 2025 de Lou et Hilde #RAT

Billet de suivi: Un Mois au Japon 2025

Hilde et Lou coorganisent encore cette année Un Mois au Japon 2025 avec comme l’année dernière un programme libre. Le challenge se déroule donc du 1er au 30 avril avec possibilité de continuer à partager jusqu’au mois d’août 2025 sur les blogs ou réseaux sociaux selon nos envies (livres, films, photos, loisirs créatifs, recettes japonaises…). Sans oublier la Brigade des Marmitonnes, les gourmandises se faisant aussi japonaises pour l’occasion. Pour plus d’infos, n’hésitez pas à aller sur leurs blogs ou rejoindre le fil de discussion sur Instagram ou le groupe FB: ici.

Ce billet sera actualisé au fil du mois en tenant compte uniquement de nos lectures sur le Japon tout en faisant un billet séparé pour chaque participation.

Pour des idées japonaises chez les autres participantes: Hilde, Lou, Isabelle, Bidib, Katell, Eimelle, Nathalie, Audrey

Semaine 1 du Mois au Japon

Pour cette première semaine de notre escale japonaise, il n’y a pas encore eu de lectures mais des visionnages, la lecture commune avec Nathalie du Maître du Haut Château de Philip K. Dick m’ayant donné également envie de revoir la série éponyme dont je n’ai pas vu la dernière saison. Jeudi soir, nous avons ainsi revu les trois premiers épisodes. 

Vendredi après-midi, j’ai regardé les deux premiers épisodes de la saison 1 des Carnets de l’Apothicaire, l’adaptation anime du manga Seinen dont j’avais commencé à lire les premiers tomes.

Samedi 5 avril 2025, premier jour des vacances scolaires, après un réveil matinal, nous avons commencé la journée avec mon mini lutin par une partie de Pokémon, un jeu de plateau de cartes, moi avec un deck Dracaufeu et lui avec un deck Mewtwo, la partie ayant duré presque 30 minutes tant elle a été serrée.

  • 6 avril/Album jeunesse: Au lit Miyuki de Roxane Marie Galliez et Seng Soun Ratanavanh (éd. de La Martinière, février 2017, 32 pages), un album jeunesse grand format à partir de 4/5 ans
  • 6 avril/Les Gourmandises d’Isabelle et Syl

Dimanche soir, j’ai lu , en version numérique via ma médiathèque, Hibakusha de Thilde Barboni et Olivier Cinna (éd. Dupuis, coll. Aire libre, mai 2017, 64 pages), une BD historique se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale. 

Semaine 2 du Mois au Japon

  • 9 avril/BD adulte: Hibakusha de Thilde Barboni et Olivier Cinna (éd. Dupuis, coll. Aire libre, mai 2017, 64 pages), une BD historique à partir de 15 ans selon l’éditeur.
  • 10 avril/Atelier créatif
  • 13 avril/Les Gourmandises d’Isabelle et Syl

J’ai regardé cette semaine la saison 1 d’un autre anime, Violet Evergarden.

Semaine 3 du Mois au Japon

J’ai lu, cette semaine, le premier tome de la dernière pentalogie, celle du 4e cycle, Une clochette sans battant: Suzuran d’Aki Shimazaki (éd. octobre 2020, 168 pages), un court roman japonais contemporain dans lequel on suit Anzu, une céramiste divorcée âgée de 35 ans et qui vit avec son jeune fils et dont le quotidien calme et rythmée par son travail dans lequel elle s’épanouit est remis en question par l’annonce des fiançailles de sa sa sœur aînée, Kyôko. Même si j’ai apprécié le style épuré de l’autrice, j’ai moins été emballée par l’histoire des deux sœurs. 

J’ai également lu Pour qu’il neige de Jessica Au (éd. Grasset, mars 2023, 180 pages), un court roman contemporain, la narratrice racontant son voyage avec sa mère à Tokyo, en automne.

Semaine 4 du Mois au Japon

J’ai lu, en version numérique via ma médiathèque, Shamisen de Guilherme Petreca et Tiago Minamisawa (éd. Ankama, avril 2023, 160 pages), un roman graphique s’inspirant de la vie de la musicienne itinérante non-voyante, Haru Kobayashi.

J’ai également lu, en e-book, La Petite Confiserie de l’allée nocturne de Hiyoko Kurisu (éd. Hauteville, coll. Kibun, mars 2025, 192 pages), un court roman japonais avec une touche fantastique et à la magnifique illustration de couverture. 

  • 23 avril/Roman graphique: Shamisen de Guilherme Petreca et Tiago Minamisawa (éd. Ankama, avril 2023, 160 pages)
  • 27 avril/Les Gourmandises d’Isabelle et Syl

Dimanche soir, j’ai fini la semaine en lisant le tome 3 des Carnets de l’Apothicaire de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (éd. Ki-oon, mai 2021, 194 pages), un manga Seinen à partir de 15 ans et qui reprend là ou le tome précédent s’était arrêté. 

Semaine 5 du Mois au Japon

  • 30 avril/Manga: le tome 3 des Carnets de l’Apothicaire de Natsu Hyuuga et Itsuki Nanao (éd. Ki-oon, mai 2021, 194 pages), un manga Seinen
  •  

Belle semaine à tous!

Au fil des pages avec Au prochain arrêt

J’ai lu, le mois dernier, Au prochain arrêt de Hiro Arikawa (éd. Actes Sud, mai 2021, 192 pages), un court roman choral à la magnifique couverture printanière et se déroulant sur la ligne ferroviaire reliant Takarazuka à Nishinomiya et suivant le temps de leur trajet, des passagers montant et descendant, au gré des 8 gares (chacune donnant le titre des chapitres) que dessert le train de banlieue, à l’aller puis au retour, quelques mois plus tard, d’une saison à l’autre (du printemps à l’automne), chacun à un moment de leur existence, avec ses pensées et choix futurs à rêver ou à accomplir. Et si certaines de ces rencontres fortuites pouvaient changer le cours de leur vie?

J’ai apprécié suivre cet entrelacement de tranches de vie de passagers du train quel que soit leur âge ou leur situation personnelle ou professionnelle, avec leurs pensées, leurs doutes et leurs préoccupations (amitié, rupture, comportement malpoli, embarras, prémisses amoureux…), comme par exemple Shōko, revenant, tout de blanc vêtu du mariage de son ex-fiancé et qui se demande comment elle pourra mettre un terme à sa rancœur, Tokié et sa petite fille, la vieille dame ayant toujours voulu avoir un chien mais qui s’y refuse en mémoire de son défunt mari qui en avait peur ou bien encore Misa prise dans une relation toxique avec son petit ami violent et qui hésite encore à le quitter, le début d’une histoire amoureuse entre deux habitués de la bibliothèque municipale…

Derrière ces destins croisés, il est fait la part belle au transport par train avec ses règles spécifiques (règles que j’avais fait d’ailleurs découvrir avec mon mini lutin en lisant Japorama). Y est également dépeint un tableau de la société japonaise, que ce soit la condition de femme, de la place de la jeunesse ou des personnes âgées, des conditions de travail, des relations amicales ou amoureuses… Un très bon moment de lecture feel good tout en douceur, moins léger qu’il n’y paraît et qui permet de se questionner sur notre propre chemin de vie!

Pour d’autres avis sur ce roman qui avait fait l’objet d’une lecture commune lors de l’édition 2022 d’un Mois au Japon à laquelle je n’avais pas réussi à participer: Hilde, Tiphanya (IG), Rachel et Bianca.

Participation # Un Mois au Japon 2024 de Hilde et Lou #Roman choral

Participation #11 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #Japon

Au fil des pages avec Les délices de Tokyo

J’avais lu, en 2021, Les Délices de Tokyo de Durian Sukegawa (éd. Albin Michel, février 2016, 239 pages), un roman que je n’avais pas pris le temps de chroniquer mais que je fais désormais pour une lecture commune avec Isabelle.

Afin de rembourser une dette et malgré l’ennui qu’il chasse par la boisson, Sentarô gère, en face d’un cerisier, une échoppe de dorayaki, des pâtisseries japonaises à base de pancakes et fourrées de purée de haricots rouges confits, sa clientèle étant surtout des collégiennes dont une qui va attirer son attention, plus réservée que les autres et qui envisage d’arrêter ses études, Wakana. Il passe une petite annonce pour embaucher quelqu’un pour l’aider. Une vieille dame aux doigts déformés, Tokue, se présente et insiste pour être embauchée. Bientôt, les talents de pâtissière de Tokue font la renommée de l’échoppe de Sentarô. Mais le secret qu’elle cache ne va-t-il pas tout venir arrêter?

J’ai beaucoup apprécié cette lecture où il est question de cuisine bien sûr avec la préparation des dorayaki, Tokue ayant l’art de si bien les préparer depuis plus de 50 ans. J’ai ainsi noté quelques passages gourmands comme lorsque Tokue apprend à Sentarô à préparer les dorayaki avec les bons ustensiles (p.34/35, p.42/43).

Mais derrière cette passion pour la pâtisserie, il est question d’un passé plus sombre du Japon, la société japonaise étant bien peu tolérante à l’égard des personnes malades ou handicapées. Il y est en effet question de préjugés, de discrimination mais également d’amitié intergénérationnelle, de transmission, de résilience et in fine d’espoir, malgré une fin plus dramatique.

Par cette lecture, j’ai, en effet, découvert le traitement des lépreux au Japon qui, jusqu’encore récemment, était isolés du reste de la population, retirés de leur famille et internés dans des sanatoriums en raison d’une politique de ségrégation encore en vigueur jusqu’en 1996. 

A côté des 3 personnages principaux qui sont, chacun, à une étape particulière de leur vie et portant comme ils le peuvent leurs blessures et leur mal-être, l’auteur fait du cerisier un « personnage à part entière », témoin du temps qui passe et des liens qui se nouent entre eux. Un très bon moment de lecture!

Pour prolonger cette lecture, j’ai repéré que le film éponyme adapté du roman et sorti en 2015 était disponible à ma médiathèque. Je suis bien tentée également de préparer des dorayaki comme Hilde l’avait déjà fait et Isabelle qui va réessayer dimanche.

Pour un autre avis sur ce roman: Isabelle.

Participation # Un Mois au Japon 2024 de Hilde et Lou #Roman

Participation #10 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #Japon

Challenge Petit Bac d’Enna #4 Catégorie Lieu: « Tokyo »

Participation # Challenge Des livres (et des écrans) en cuisine 2024 de Bidib et Fondant#Cuisine japonaise/Dorayaki

Au fil des pages avec Nipponia Nippon

Dimanche dernier, pendant le RAT du Mois au Japon 2024, j’ai lu Nipponia Nippon d’Abe Kazushige (éd. Philippe Picquier, mai 2016, 143 pages), un court roman qui suit Haruo Tôya, un adolescent de 17 ans qui a un projet lié à l’ibis japonais, oiseau en voie d’extinction et symbole de la Nation japonaise, les derniers spécimens ayant été réintroduits grâce à la coopération du Japon avec la Chine, sur l’île de Sadô, centre de sauvegarde. Son projet est-il de les libérer ou de les tuer?

Reclus seul dans un appartement de Tokyo, loin de sa famille et sans travail comme peut l’être un hikikomori, il prépare mois après mois son projet, grâce à de nombreuses recherches et achats sur Internet. Il y est ainsi question du poids de la solitude, du passage à l’âge adulte, de l’éveil à la sexualité, de harcèlement scolaire, de la condition de la jeunesse dans la société japonaise… 

Ce récit a une certaine « étrangeté » que j’ai pu constater dans d’autres livres d’auteurs japonais, entretenant une part de malaise, les pensées de Haruo étant troublantes, agressives voire dérangeantes, ce dernier, pathologiquement instable, liant son destin à celui des ibis qui l’obsèdent comme une adolescente Sakura dont il est épris et dont il a été séparé. Rien ne semble pouvoir le tirer de cette spirale obsessionnelle, pas même ses parents. Tout cela ne peut que mal finir, le style d’écriture renforçant le mal-être et le passage à l’acte inéluctable. Un roman un brin insolite qui permet de rentrer dans la peau d’un adolescent japonais perturbé et qui se termine sur une fin ouverte et quelque pessimiste, son cas ne semblant pas isolé!

Participation #3 Un Mois au Japon 2024 de Hilde et Lou #Roman court

Participation #7 (Parcours littéraire) Challenge Le tour du monde en 80 livres 2024 de Bidib #Japon

 

« Older posts

© 2025 JOJO EN HERBE

Theme by Anders NorenUp ↑